Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

portrait - Page 13

  • Avignoun d'aiours 13 bis : Madamisello Avignoun (suito)

    Avignon d'ailleurs 13 bis : Mademoiselle Avignon (suite)
    Avignon from somewhere else 13 bis : Mademoiselle Avignon (continued)

    3176918405.jpg———  RENNES  ———
    LA ROSIÈRE DE 1920

    Ainsi que nous l'avions annoncé, hier a eu lieu à la Mairie la remise de la dot du legs Provost à Mlle Marguerite Avignon, rosière de 1920.
    Selon un usage établi par le légataire une 'messe fut célébrée à 9 heures à l'église Notre-Dame. Cet office fut rehaussé par une brillante audition musicale donnée sous la direction de M. Collin.
    Mlle Marguerite Avignon fut conduite, aussitôt après cette messe, à l'Hôtel de Ville, et là dans la salle des mariages, devant une assistance nombreuse et choisie, M. Janvier, maire, qui avait tenu à présider lui-même cette touchante cérémonie, remit la dot augmentée d'un don du Conseil municipal à la jeune rosière.
    M. Janvier prononça une courte allocution. Il fit l'éloge de cette jeune fille qui recevait aujourd'hui la juste récompense de son dévouement et de son abnégation. Il s'excusa de ne pouvoir donner plus d'éclat à cette fête par suite de la mort récente de M. Le Chartier. exécuteur testamentaire de M. Provost.
    Après cette cérémonie, Mlle Marguerite Avignon, accompagnée de son père, de sa tante, de ses frères et sœurs, alla déposer une couronne sur la tombe de son bienfaiteur.

    L'Ouest-Éclair n°7.216 du 19 juillet 1920.

    "Melle Avignon". Photo Paul Nadar. Source BNF ark:/12148/btv1b10336347d.

    N.B. : Merci à Tilia. (Toujours pas de rapport à priori entre la photo et l'article...)

    Lien permanent 5 commentaires Pin it!
  • Avignoun d'aiours 13 : lou mistèri de Madamisello Avignoun

    Avignon d'ailleurs 13 : le mystère de Mademoiselle Avignon
    Avignon from somewhere else 13 : the mystery of Mademoiselle Avignon

    3176918405.jpgDISPARITION MYSTÉRIEUSE

    La police a ouvert une enquête au sujet de la disparition, encore inexpliquée, d'une jeune fille de vingt-deux ans, Mlle Avignon, née à Fourchambault.
    Depuis peu à Paris, elle servit comme femme de chambre au 14 de la rue de Longchamp, puis au 3 de l'avenue Malakoff. Là, elle fut prise d'une maladie qui l'obligea à entrer à l'hôpital Beaujon où elle fit la connaissance d'une femme connue sous le nom de Caroline et disant habiter, 7, faubourg Saint-Honoré, mais en réalité inconnue à cette adresse.
    Elles sortirent ensemble de l'hôpital il y a une semaine environ, et depuis, l'on ne sait ce qu'elles sont devenues. Mais voici où le mystère apparaît : Hier, vers sept heures, les employés de l'octroi de la porte de Châtillon trouvèrent dans le fossé des fortifications une malle dont la serrure avait été enlevée ; la malle contenait les vêtements de Mlle Avignon. Dans une poche des habits, on découvrit un livret de la Société française des serviteurs et employés, n°473, portant son nom et son adresse.
    À Fourchambault, son pays natal, on ne sait ce qu'elle est devenue.
    A-t-elle été victime d'un guet-apens ?
    Les indices recueillis jusqu'à présent sembleraient confirmer cette hypothèse.

    Le XIXe siècle n°8020 du samedi 30 décembre 1893.

    "Melle Avignon". Photo Paul Nadar. Source BNF ark:/12148/btv1b10336347d.

    N.B. : Je n'ai pas trouvé de rapport entre la photo et l'article.

    Lien permanent 3 commentaires Pin it!
  • Jan-Batisto Brunel

    Jean-Baptiste Brunel

    2416954539.jpg 2316797942.jpg

    Jean-Baptiste Cyprien Brunel (1844-1919) est né un 3 octobre au 30 rue des Teinturiers.

    Lien permanent 2 commentaires Pin it!
  • Adrian Marcèu

    Adrien Marcel

    2787141393.png

    Photo aimablement fournie par Sylvie Constant. Merci !

    « Adrien Marcel était né à Marseille en 1848 ; après avoir fait une carrière de fonctionnaire à la Préfecture de la Seine, il avait pris sa retraite comme chef de bureau en 1909 et était venu se fixer à Avignon. Il avait été collaborateur à Paris de la Bibliothèque d'art et d'archéologie fondée par Camille Doucet. À Avignon, il se fit l'émule et le continuateur du Chanoine Requin ; vingt ans d'un travail régulier et assidu lui permirent d'accumuler une masse énorme de notes plus abondantes encore et plus détaillées que celles de Requin. Il mourut à Avignon en 1929, laissant, outre plusieurs études publiées dans les Mémoires de l'Académie de Vaucluse, une trentaine d'épais recueils comprenant un dictionnaire des artistes d'Avignon et du Comtat, des notices sur les Mignard, les Péru, les Franque et les Parrocel, un copieux dictionnaire des rues d'Avignon, des notices sur les hôtels de cette ville, des notes sur des sujets divers. Ce qui prouve l'intérêt de ces manuscrits acquis par le Musée en 1936, c'est qu'ils sont consultés presque quotidiennement par les érudits locaux. »

    (bibliotheques-calvet.org)

    "La jeunesse de Joseph Vernet peintre de marines"
    "L’orfèvre Chassenet" et "Le fléau aquatique"
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse (1915).

    "Contribution à l’histoire anecdotique d’Avignon"
    – Le Génie du christianisme à Avignon
    – Un petit neveu de Fénelon
    – La maison du crime au Portail Matheron
    – Le puits de la place de l’Horloge
    – Henri Barrelet, mosaïste en cailloux
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXV 1925 (1926).

    "La Visitation de Nicolas Mignard au Palais des Papes"
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXV 1925 (1926).

    "Le peintre Philippe Sauvan (1697-1792)"
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXVI 1926 (1927).

    "Nouvelle contribution à l’histoire anecdotique d’Avignon"
    – L’éclipse de lune
    – La Grande Demoiselle à l’hôtel de Crillon
    – Une agression nocturne en 1738
    – Le faiseur de bas qui fit le voyage de Paris en 1789
    – Bonaparte à Avignon sous le Directoire
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXVI 1928 (1927).

    Lien permanent 9 commentaires Pin it!
  • Espousicioun

    LENGO DE TERRO - LANGUES DE TERRE - TONGUES OF EARTH

    1601269673.jpg

    « Impossible de passer à côté de la spectaculaire série de sculptures de Martine Belay-Benoit.Quand elle croise quelqu'un qui l'inspire, elle lui demande de tirer la langue, le photographie et en tire une statue qu'elle transpose, par quelques atours, dans une autre époque. Le résultat est plein d'humour et d'humanité.»

    Stéphane Cerri Le Midi Libre

    Lien permanent 3 commentaires Pin it!