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portrait - Page 14

  • Roubert Chave

    Robert Chave

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    En haut : au Festival d'Avignon en 1977, photo Fernand Michaud.
    En bas : photo X Diocèse d'Avignon. À droite : photo X France Bleu.

    Père Robert Chave
    Avignon 1924 - 2018
    Nonce apostolique du Vatican dans la Cité des Papes
    Chanoine titulaire de la Cathédrale Notre-Dame des Doms

    1947. Il est ordonné le 31 mai, à 23 ans, plus jeune prêtre de France et rencontre un futur compagnon de route : Jean Vilar, directeur du Théâtre National Populaire.
    1971. Il crée les Rencontres Foi et Culture. Puis avec son ami le chanoine Georges Durand, Les Messes du festival.

    Pour en savoir plus :
    Diocèse d'Avignon
    https://www.diocese-avignon.fr/Le-Pere-Robert-Chave-nous-a-quittes.html
    France Culture
    https://www.franceculture.fr/personne-pere-robert-chave.html
    La Croix
    https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/Deces-Mgr-Robert-Chave-figure-historique-Festival-dAvignon-2018-08-30-1200965080
    France Bleu
    https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/disparition-du-pere-robert-chave-figure-historique-du-festival-d-avignon-1535556980
    Le Midi Libre
    https://www.midilibre.fr/2018/08/30/avignon-le-pere-robert-chave-est-decede,4685806.php
    France Archives
    https://francearchives.fr/findingaid/f868a5722a06fe390351dd6cd66e16780c841388
    Livre
    https://www.paroleetsilence.com/Pretre-sur-des-chemins-inconnus_oeuvre_10843.html

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  • L'oustau de Zani

    La maison de Zani
    Zani's house

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    En l'honneur de Jenny Manivet chantée par T. Aubanel sous le nom de Zani les félibres d'Avignon ont mis cette plaque sur sa maison
    1961 _ Centenaire de la Grenade

    In honor of Jenny Manivet sung by T. Aubanel under the name of Zani the felibres of Avignon put this plate on his house
    1961 _ Centenary of the Grenada
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    « Elle s'appelait Jenny Manivet. Elle s'appelle depuis Zani, et elle vit pour l'éternité humaine dans la Grenade entr'ouverte du poëte... »

    Léo Larguier  

     

    1850
    Théodore Aubanel a un coup de foudre pour une cousine des Giera, Mademoiselle Jenny Manivet, dans une de ces réunions où naîtra le Félibrige, au château de Font-Segugne, à Châteauneuf-de-Gadagne. C'est une jeune fille mince, pâle et brune, connue pour sa beauté. On est un dimanche. Elle lui inspirera ses plus belles œuvres. Elle porte une robe grenat. Le symbole de son amour sera une grenade.
    1854
    Après de chastes amours, cédant à l'appel de Dieu, Zani part en Orient avec les Filles de la Charité pour se consacrer aux pauvres. Aubanel s'incline. La blessure ne guérit jamais.
    1860
    Aubanel publie La Mióugrano entreduberto (La Grenade entr'ouverte) où il chante son amour pour Zani. L'ouvrage qui reçoit un accueil enthousiaste du monde littéraire est mis à l'index par les catholiques, mettant en danger l'imprimerie familiale. Il paraît que Joseph Roumanille le dénonça à l'archevêque comme auteur de livres pernicieux.
    Le poète brûla ses vers.

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  • Antòni Trial

    Antoine Trial

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    Antoine Trial (Bertrand) dans "Le Déserteur" à l'Opéra-Comique.
    Portrait dessiné à l'aquarelle à l'encre par Chrétien (1792).
    Source : Bibliothèque Nationale de France.

    Antoine Trial est un chanteur et acteur français
    né à Avignon le 13 octobre 1737 et mort à Paris le 10 février 1795.

    E gramaci à Fifi Brindacier ! (^o^)

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  • Avignoun d'aiours 13 bis : Madamisello Avignoun (suito)

    Avignon d'ailleurs 13 bis : Mademoiselle Avignon (suite)
    Avignon from somewhere else 13 bis : Mademoiselle Avignon (continued)

    3176918405.jpg———  RENNES  ———
    LA ROSIÈRE DE 1920

    Ainsi que nous l'avions annoncé, hier a eu lieu à la Mairie la remise de la dot du legs Provost à Mlle Marguerite Avignon, rosière de 1920.
    Selon un usage établi par le légataire une 'messe fut célébrée à 9 heures à l'église Notre-Dame. Cet office fut rehaussé par une brillante audition musicale donnée sous la direction de M. Collin.
    Mlle Marguerite Avignon fut conduite, aussitôt après cette messe, à l'Hôtel de Ville, et là dans la salle des mariages, devant une assistance nombreuse et choisie, M. Janvier, maire, qui avait tenu à présider lui-même cette touchante cérémonie, remit la dot augmentée d'un don du Conseil municipal à la jeune rosière.
    M. Janvier prononça une courte allocution. Il fit l'éloge de cette jeune fille qui recevait aujourd'hui la juste récompense de son dévouement et de son abnégation. Il s'excusa de ne pouvoir donner plus d'éclat à cette fête par suite de la mort récente de M. Le Chartier. exécuteur testamentaire de M. Provost.
    Après cette cérémonie, Mlle Marguerite Avignon, accompagnée de son père, de sa tante, de ses frères et sœurs, alla déposer une couronne sur la tombe de son bienfaiteur.

    L'Ouest-Éclair n°7.216 du 19 juillet 1920.

    "Melle Avignon". Photo Paul Nadar. Source BNF ark:/12148/btv1b10336347d.

    N.B. : Merci à Tilia. (Toujours pas de rapport à priori entre la photo et l'article...)

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  • Avignoun d'aiours 13 : lou mistèri de Madamisello Avignoun

    Avignon d'ailleurs 13 : le mystère de Mademoiselle Avignon
    Avignon from somewhere else 13 : the mystery of Mademoiselle Avignon

    3176918405.jpgDISPARITION MYSTÉRIEUSE

    La police a ouvert une enquête au sujet de la disparition, encore inexpliquée, d'une jeune fille de vingt-deux ans, Mlle Avignon, née à Fourchambault.
    Depuis peu à Paris, elle servit comme femme de chambre au 14 de la rue de Longchamp, puis au 3 de l'avenue Malakoff. Là, elle fut prise d'une maladie qui l'obligea à entrer à l'hôpital Beaujon où elle fit la connaissance d'une femme connue sous le nom de Caroline et disant habiter, 7, faubourg Saint-Honoré, mais en réalité inconnue à cette adresse.
    Elles sortirent ensemble de l'hôpital il y a une semaine environ, et depuis, l'on ne sait ce qu'elles sont devenues. Mais voici où le mystère apparaît : Hier, vers sept heures, les employés de l'octroi de la porte de Châtillon trouvèrent dans le fossé des fortifications une malle dont la serrure avait été enlevée ; la malle contenait les vêtements de Mlle Avignon. Dans une poche des habits, on découvrit un livret de la Société française des serviteurs et employés, n°473, portant son nom et son adresse.
    À Fourchambault, son pays natal, on ne sait ce qu'elle est devenue.
    A-t-elle été victime d'un guet-apens ?
    Les indices recueillis jusqu'à présent sembleraient confirmer cette hypothèse.

    Le XIXe siècle n°8020 du samedi 30 décembre 1893.

    "Melle Avignon". Photo Paul Nadar. Source BNF ark:/12148/btv1b10336347d.

    N.B. : Je n'ai pas trouvé de rapport entre la photo et l'article.

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  • Jan-Batisto Brunel

    Jean-Baptiste Brunel

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    Jean-Baptiste Cyprien Brunel (1844-1919) est né un 3 octobre au 30 rue des Teinturiers.

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  • Adrian Marcèu

    Adrien Marcel

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    Photo aimablement fournie par Sylvie Constant. Merci !

    « Adrien Marcel était né à Marseille en 1848 ; après avoir fait une carrière de fonctionnaire à la Préfecture de la Seine, il avait pris sa retraite comme chef de bureau en 1909 et était venu se fixer à Avignon. Il avait été collaborateur à Paris de la Bibliothèque d'art et d'archéologie fondée par Camille Doucet. À Avignon, il se fit l'émule et le continuateur du Chanoine Requin ; vingt ans d'un travail régulier et assidu lui permirent d'accumuler une masse énorme de notes plus abondantes encore et plus détaillées que celles de Requin. Il mourut à Avignon en 1929, laissant, outre plusieurs études publiées dans les Mémoires de l'Académie de Vaucluse, une trentaine d'épais recueils comprenant un dictionnaire des artistes d'Avignon et du Comtat, des notices sur les Mignard, les Péru, les Franque et les Parrocel, un copieux dictionnaire des rues d'Avignon, des notices sur les hôtels de cette ville, des notes sur des sujets divers. Ce qui prouve l'intérêt de ces manuscrits acquis par le Musée en 1936, c'est qu'ils sont consultés presque quotidiennement par les érudits locaux. »

    (bibliotheques-calvet.org)

    "La jeunesse de Joseph Vernet peintre de marines"
    "L’orfèvre Chassenet" et "Le fléau aquatique"
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse (1915).

    "Contribution à l’histoire anecdotique d’Avignon"
    – Le Génie du christianisme à Avignon
    – Un petit neveu de Fénelon
    – La maison du crime au Portail Matheron
    – Le puits de la place de l’Horloge
    – Henri Barrelet, mosaïste en cailloux
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXV 1925 (1926).

    "La Visitation de Nicolas Mignard au Palais des Papes"
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXV 1925 (1926).

    "Le peintre Philippe Sauvan (1697-1792)"
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXVI 1926 (1927).

    "Nouvelle contribution à l’histoire anecdotique d’Avignon"
    – L’éclipse de lune
    – La Grande Demoiselle à l’hôtel de Crillon
    – Une agression nocturne en 1738
    – Le faiseur de bas qui fit le voyage de Paris en 1789
    – Bonaparte à Avignon sous le Directoire
    Mémoires de l’Académie de Vaucluse, no. XXVI 1928 (1927).

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