Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

│ˉˉˉˉ│∩│ˉˉˉˉ│ AVIGNON │ˉˉˉˉ│∩│ˉˉˉˉ│ - Page 264

  • Vestige d'aubourage 20

    Vestiges de levage 20
    Remains of lifting 20


    1 rue du Petit-Change

    15 rue de la Rappe

    3 rue Saint-Bernard

    7 rue Mijeanne

    6 passage Saint-Agricol

    4 rue Bouquerie

    Avec la collaboration de Tilia. Merci !

    Lien permanent 8 commentaires Pin it!
  • Role di coumpagnoun passagié coupaire de pèiro d'Avignoun

    Rôle des compagnons passants tailleurs de pierre d'Avignon
    Role of stonemason companions of Avignon

    3054456644.jpg

    Rôle des compagnons passants tailleurs de pierre d'Avignon
    Document des Archives départementales de Vaucluse 1J467/4.

    Document de 1782, avec sa tringle de bois, sur papier entoilé de 54,5 par 73,5 cm, illustré en forme de temple classique.
    L'en-tête
    À gauche les armoiries de la ville d’Avignon avec sa devise "À bec et griffes". Au centre les armes du Roi de France. À droite les symboles du compagnonnage : compas posé sur l’équerre posée sur la règle et serpent entrelacé. Une couronne ornée de rameaux d'olivier domine les outils, comme pour la franc-maçonnerie, le tout surmonté de la devise "Labor et honor". Curieusement, les trois symboles — compas, équerre et règle — semblent un monogramme pour Avignon. Sous les trois armoiries, l'étoile flamboyante ornée de la lettre G et encadrée par une devise latine — sub hoc signo non œquivoca latet virtus : sous ce signe se tient une vertu non équivoque.
    L'image
    Une grande image sur fond de paysage maritime intitulé "mer d'Asie" représentant différents outils et travaux, un compagnon taillant un bloc de pierre avec un maillet et un ciseau, le salut des compagnons pied droit contre pied droit comme reconnaissance rituelle, etc., qui évoquent le métier.
    Le texte
    La Règle du Saint Devoir, règlement de la société, le rôle des amendes en cas de mauvaise conduite et, sur les piédestaux qui soutiennent les colonnes, les noms et surnoms des compagnons passants d'Avignon.

    Lire :
    https://decoder-eglises-chateaux.fr/demystifier-compagnons-devoir-interview-jean-michel-mathoniere/
    Et bien sûr :
    http://compagnonnage.info/

    Lien permanent 8 commentaires Pin it!
  • Vestige d'aubourage 19

    Vestiges de levage 19
    Remains of lifting 19


    18 rue Palapharnerie

    8 rue Cabassole

    5 rue du Chat

    Rue Grande-Meuse

    1 rue Saint-Bernard

    1 rue Saint-Bernard

    Avec la collaboration de Tilia. Merci !

    Lien permanent 7 commentaires Pin it!
  • Vestige d'aubourage 18

    Vestiges de levage 18
    Remains of lifting 18


    1 rue des Griffons

    4 rue des Griffons

    18 rue du Rempart-St-Lazare

    34 rue du Rempart-St-Lazare

    40 rue du Rempart-St-Lazare

    37 bis rue Sureau

    Avec la collaboration de Tilia. Merci !

    Lien permanent 5 commentaires Pin it!
  • Li porto...

    Les portes...
    The doors...

    2087661228.jpg

    Les portes de Saint-Pierre si justement admirées, — en Provence, il n'y a que les portes de la cathédrale d’Aix qui puissent leur être comparées, — ont été données par un riche marchand, Michel Lopis, dont la famille d'origine espagnole était arrivée à Avignon vers le milieu du xv° siècle. Le prix-fait en fut passé, en 1551, à Antoine Volard, "menuisier de bois", originaire du Dauphiné, qui s’engagea à les exécuter pour 60 écus d'or sol au coin du roi.
    Ces portes, en noyer massif, hautes de près de quatre mètres frappent par le puissant relief et la richesse de leur décoration. L’imposte est chargée de reliefs d'où se détachent une corbeille et des chutes de fruits et que surmonte un mascaron entre deux figures d’enfants tenant des cornes d’abondance renversées. Chaque vantail, encadré de deux cariatides à gaines, présente deux portiques à plein cintre où des figures se détachent sur un fond d’architecture en perspective, d’un côté : saint Jérôme, saint Michel ; de l’autre, la Vierge et l’Ange de l'Annonciation.
    De Champeaux, dans son livre sur Le Meuble, reconnaissait dans les entrelacs qui séparent les panneaux une influence lyonnaise et faisait remarquer que les cariatides rappelaient les thermes antiques d’Hugues Sambin. Il n'est pas impossible qu’Antoine Volard ait travaillé à Lyon ou à Dijon. N’est-il pas vraisemblable également que le dessinateur de ces belles portes ait pu s’inspirer des modèles gravés qui circulaient en dehors des ateliers créateurs et portaient au loin leur influence ?

    Joseph Girard "Évocation du vieil Avignon" Les Éditions de Minuit 1958 p.269.

    Lien permanent 31 commentaires Pin it!