13 juillet 1793
July 13, 1793
13. Juli 1793
autographes
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13 de juliet 1793
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La farandoulo
La farandole
The farandole -
Lis Amadou d'Avignoun
Les Amants d'Avignon
The Lovers of AvignonSemi-biographique, Les Amants d'Avignon est publié illégalement aux Éditions de Minuit en 1943 sous le pseudonyme de Laurent Daniel, en hommage à Laurent et Danielle Casanova*. Elsa Triolet, qui était alors entrée avec Aragon dans la clandestinité, avait effectué des "missions" à Avignon. Cette nouvelle, réunie avec trois autres sous le titre "Le premier accroc coûte deux cents francs" (phrase qui annonçait le débarquement en Provence) obtint le prix Goncourt 1945 au titre de l'année 1944. Elsa Triolet fut ainsi la première femme à obtenir ce prix littéraire.
Juliette, qui travaille pour la Résistance, se rend à Avignon. Elle rencontre Célestin, jeune garçon qui rejoint la Résistance. Ils vont travailler ensemble et jouer, comme elle lui dit : « On va jouer comme si on s’aimait »...* Au moment où cette nouvelle a été écrite, Laurent Casanova, évadé d'Allemagne, travaillait dans la Résistance en France et sa femme venait d'être déportée en Silésie, où elle devait périr au camp d'Auschwitz.
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Leo Larguier en 1943
Léo Larguier en 1943
Leo Larguier in 1943
« En Avignon, le temps ne pèse pas, il ne se traîne point comme dans beaucoup de villes où je me suis ennuyé. Il me semble plus léger et plus court. C'est un joli temps ! » Léo Larguier Parfums d'Avignon
Avignon, septembre 1943Léo Larguier en 1939 ►
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Amé li coumplimen de Blanco Barretta
Avec les compliments de Blanche Barretta
With the compliments of Blanche BarrettaLe vin Mariani fut créé par le pharmacien Angelo Mariani en 1863 à partir de feuilles de coca du Pérou. Sa recette aurait été copiée aux États-Unis en supprimant le vin et en remplaçant la cocaïne par de la caféine pour devenir le Coca-Cola. La production du vin Mariani a été relancée en 2014 (décocaïnisée !) -
Franz Liszt à-n-Avignoun
Franz Liszt à-n-Avignon
Franz Liszt in AvignonLISZT Franz (1811-1886) lettre autographe signée "F. Liszt", Avignon 6 mai 1845, adressée à Joseph AUTRAN. Importante lettre relative à son projet d’oratorio d’après l’Enfer de Dante sur un poème d’Autran. Huit jours plus tard, Liszt adressera au poète un exemplaire annoté de La Divine Comédie. La lettre commence par deux lignes de points témoignant d’une « foule de remerciements indicibles […] Déjà l’année dernière je vous étais tout acquis ; mais aujourd’hui il me semble qu’il se mêle encore quelque chose de plus sérieux et de plus tendre dans l’amitié que je vous garderai toujours. Mais pour suivre le nouveau précepte de Mr le marquis de Forbin-Janson qui veut qu’on garde de justes termes en toutes choses, passons (non pas outre ou dessus) mais au fait, et ce fait nous conduit droit en Enfer. Je viens de relire le DANTE, et je suis entièrement de votre avis quant au récit impersonnel. Mais en revanche je crois qu’il faudra faire parler personnellement (en chœur et aussi en solos plus brefs) au moins plusieurs catégories de damnés... » Il cite un vers d’Autran : « Nous sommes les flots et les ondes », avec, en écho : « Nous sommes les hérésiarques », et propose, « pour varier, peut-être serait-il bon que dans un cercle ou 2 les esprits invisibles chargés de tourmenter ces pauvres âmes se chargent eux-mêmes d’expliquer au public les crimes des réprouvés ; — quelque pont-neuf littéraire et musical dans ce genre “Malheur à vous, qui passiez vos nuits dans les festins et les orgies (suit l’indication du supplice comme contraste) ; malédiction sur vous” ; etc. etc... » Il développe cette idée de répétition en rappelant un exemple dans la Lucrèce Borgia de Victor HUGO, repris dans l’opéra Lucrezia Borgia : « “Je suis Maff ei Orsini, dont vous avez assassiné... (je ne sais plus quel parent et à quel degré)... Je suis un tel, puis un tel”. Cette situation a fourni l’étoffe d’un excellent final à DONIZETTI, et dans notre œuvre cette forme sera toute naturelle et plus saisissante qu’aucune autre. Relisez donc la fin du premier acte de Lucrèce Borgia et si vous le trouvez bon servez-vous-en. Il y aura matière à un chœur très piquant des prodigues et des avares attachés ensemble et se choquant les uns contre les autres et se maudissant mutuellement... Presqu’à tous les cercles, le cadre me paraît excellent — à vous à le remplir. Bien entendu qu’il faut garder et faire chanter les vers suprêmes : "Per me si va nella città dolente "Per me si va nell’eterno dolore ; "Lasciate ogni speranza, etc. et puis ceux-ci encore "Nessun maggior dolor "Che ricordarsi del tempo felice "Nella miseria – En général ne craignez pas non plus de dessiner épiquement les principales figures ; ne reculez même pas devant Homère et Alexandre au besoin... Je tâcherai bien de les barbouiller de couleur du mieux que je pourrai. — Pardonnez-moi, cher ami, de vous parler ainsi à tort et à travers d’une œuvre aussi sérieuse. Il y a un proverbe français je crois qui dit "Bête comme un musicien". Je me consolerai parfaitement de ma bêtise à la condition d’être un véritable musicien, et de vous faire un bel enfer... »
Vente Aguttes "Les collections Aristophil" lot 1312.
Vendredi 20 novembre 2020 à 16h00
9 Rue Drouot 75009 Paris et sur Interenchères Live. -
Autougrafe de juliet
Autographes de juillet
Autographs of july18 juillet 1952 : première du "Prince de Hombourg" (reprise de 1951).
Autographes de Jeanne Moreau, Jean Deschamps, Gérard Philipe, Monique Chaumette, Jean-Vilar, Jean-Negroni et Jean-Pierre-Jorris. Ce dernier n'a pas joué en 1952 "Le Prince de Hombourg", mais "Lorenzaccio" d'Alfred de Musset ; son autographe a été obtenu à l'issue de cette représentation.Source Wikipedia.