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I'a eisatamen cinquant'an

Il y a exactement cinquante ans
Exactly fifty years ago
Vor genau fünfzig Jahren

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Photo Viallon, 14 décembre 1974.

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Lien permanent 19 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Cinquante ans pour un centenaire, le compte n'y est pas !

  • Déjà, on aurait pu attendre 1991 pour la déménager, le symbole aurait été fort ! ^_^

  • "Depuis la statue est un peu tombé dans l’oubli."
    Des milliers de voitures lui tournent autour quotidiennement sans parler des promeneurs et de la piste cyclable.

  • L'article n'en est pas à une approximation près... A commencer par la date du rattachement, qui est franchement fausse (ce n'est pas une simple coquille), et en poursuivant par le poids de la statue annoncé à 800 tonnes... Une telle masse n'aurait jamais pu être soulevée par une grue !

  • Pour mémoire, la statue de la Vierge du clocher de la Métropole, qui est en plomb et non pas en fonte, pèse moins de 5 tonnes.

  • oui, bien dommage que l'article multiplie les erreurs ou coquilles

    et donc le lion représenterait le suffrage universel ?
    je l'ignorais, et ne vois pas franchement le rapport

    la statue a tout de même encore son public, même si beaucoup ne doivent pas trop savoir de qui ou de quoi il s'agit : mais les croisiéristes passent forcément devant, ainsi que les personnes qui cherchent une place pour se garer...

  • Pour moi c'est de la trahison pour nos anciens ! Etre remplacé par un manège ?

  • De mémoire, le manège est arrivé bien plus tard. Après 1981 sous JP Roux.

  • Ce remplacement est un symbole très bien venu ! :D

  • Allusion au cirque politique actuel, où l'on attend que les lions dévorent le dompteur... au milieu de tout ça, un manège ne dépare pas ?

  • Moins au cirque politique actuel qu'aux gouvernements en général. Les ministres, tournent – dans les deux sens ! – et essaient d'attraper le pompon présidentiel. Ce beau monde est observé par ceux qui ne sont pas sur le manège, chacun attendant l'occasion d'y prendre place.
    Quand au cirque politique actuel, il démontre, s'il le faut encore, que pour évoluer l'alternance est inévitable. Comme pour les ministres du manège.

  • C'est comme les portes  : elles ne peuvent pas rester tout le temps ouvertes ou tout le temps fermées sinon elles ne servent à rien. L'alternance est une porte.

  • Michel, j'aime bien ton image du pompon présidentiel :-)
    Mais qui est la personne qui tire la ficelle ?...

  • Pas une personne, mais trois... qui s'appellent Clotho, Lachésis et Atropos.

  • Au risque de déplaire :
    Dans l'affaire de la place de l'Horloge, Henri Duffaut a fait aussi bien que Pourquery de Boisserin à la fin du XIXe siècle : saccager un patrimoine et défigurer une place.
    Avec la destruction du Grand Bar et des immeubles de la rue Molière (ilot P) pour y construire l'affreux immeuble dit Campana, l'exil du monument du Centenaire achevait un vandalisme édilitaire des plus dommageables.
    La place de l'Horloge terminée avec l'installation du monument de Charpentier formait un ensemble XIXe digne d'admiration, aboutissement d'une percée haussmanienne toit à fait discutable également. Mais le tout prenait cohérence en 1891 Sylvain Gagnière m'a dit plusieurs fois combien il déplorait ces aménagements urbains, sacrifiant à une modernité affairiste (c'est moi qui complète).

  • Tout le monde s’en fiche sans doute, et à raison, mais cette statue, dont j’admire sincèrement l’esthétique académique, me touche particulièrement car le nom de mon arrière-arrière-grand-père y est inscrit et qu’il est sur le point de s’effacer : GUERIN.

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