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Lou tèms di bagnado

Le temps des baignades
Times of bathing

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Collection Frédéric Lamouroux.

Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Ah, la belle époque ! quand le Rhône "mort n'était pas encore vif (et vice versa)..

    Ne me suis jamais baignée là. Juste une fois, dans le "vif", à l'île Pio.

  • J'ai entendu parler de ces baignades pendant 40 ans .Qui a traverse le Rhône ou autres exploits....! ( surtout par Mr Sicret peintre en bâtiment (Barbouille)qui ne craignant pas le fleuve et à plus de 80 ans a faillit s'y noyer en lavant sa voiture)
    Par contre je voyais la plage plus au Sud

  • Photo de l'extrême fin des années 50 ou tout début des années 1960, ni le grand ni le petit Palais ne sont restaurés, mais l'horizon est déjà barré par la Croix des Oiseaux...

  • Eh, Michel, cette photo a été prise...de la falaise au-dessus de chez Paule!
    C'est là que j'ai appris à nager, à traverser le Rhône, à plonger du haut de la pile du pont Saint-Bénézet, a expérimenter l'autocoïtpalmaire avec d'autre caraques...
    Plus en amont était la plage de la savoye (on dit savauhille). Et en face, un peu plus haut, côté Barthelasse, la plage du Sablas, avec l'installation de la drague et son câble qui traversait le Rhône. Plus haut, l'îlon des Castors.
    Quels formidables terrains de jeu!
    Tè, tu me donnes la nostalgie.
    Tèn té gailhard, bessoun!

  • Point de PCB dans le Rhône. Lônes et langues d'eau permettaient de rafraîchissantes baignades sans compter avec une belle végétation appréciée des calinaïres. Le danger était moindre ici, côté Rhône mort que dans le bras principal où les courants traîtres étaient nombreux. Sur les baignades à Avignon il y a un incontournable d'Alain Maureau:
    "Bains froids et écoles de natation dans le Rhône à Avignon du XVIIIe au XXe siècle". Maureau signale notamment l'existence de l'île de Roqueirol '"langue de terre aujourd'hui disparue" dite l'île des bains. Je la situe entre l'actuel débarcadère de la navette et la SNA. Et me souviens d'une petite plage en face de la Ligne. On se baignait souvent nu ou, pour ne pas heurter les pudibonds, sous des barcasses recouvertes de toiles. Sans compter avec les bateaux des bains. Sur la photo (plutôt années 60 à mon avis) on remarque le bac de gravier aval, qui nous donne aujourd'hui ces floraisons épisodiques aquatiques, une amarre de vire-vire et deux tentes de campeurs. Heureux temps où l'on pouvait faire du camping sauvage devant le Pont Saint-Bénézet...On avait évoqué ici certaines baigneurs intrépides, tels les caraques, tel Sicret dont nous parle MB² ou encore le gardien du parc de l'Equipement qui était derrière l'actuel Bokaos. La qualité de l'eau n'était pas top côté Avignon avec les eaux de la Sorguette (sortie quai de la Ligne) qui rimaient souvent avec caguette compte tenu des "branchements directs" de la plupart des maisons qui se trouvaient à proximité. Mais les anguilles et les vairons appréciaient...

  • en dessous de la tour Philippe le Bel il y avait un coin superbe.
    plus loin le long de la route d'Aramon, celle qui passait sous l'usine, on y trouver des "caisses" sorte d'enrochement pour protéger des crues où foisonnait le poisson.

  • Guima les caisses sont peut-être les épis, enrochements en épis destinés à freiner le courant et protéger les berges, surtout dans les virages, il y en a sur la rive de la Barthelasse côté Villeneuve, l’ancien bras vif et il y a quelques années un bateau a déchiré sa coque en les frottants de trop près.

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