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Quatre-vint-e-cinq an après la tourre Trouillas

Quatre-vingt-cinq ans après la tour Trouillas
Eighty-five years after Trouillas tower

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In Wiener-Bilder n°27 du 6 juillet 1930.
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Lien permanent 7 commentaires Pin it!

Commentaires

  • gentil l'arbre (il n'y en avait pas avant) qui dissimule la fraîcheur un peu trop grande de son aspect actuel
    mais il ne nous permet pas de comparer les trois du premier plan
    (ceci dit les deux photos sont belles)

  • La photo me paraît plus ancienne que la date indiquée (peu ou pas de poêles domestiques) ?
    La Trouillas, déjà amputée, est mal en point...La grande construction ne serait-elle pas le bâtiment (ici remanié) de la poste royale ? Où ai-je lu (Moulinas ?) que c'était le seul endroit de la ville qui échappait à l'autorité des vice-légat ? On y tenait presque cabaret avec bonne chère et liberté de ton ?

  • Oui, les arbres ont bien poussé, on ne les devine même pas sur la première photo... ce qui peut laisser entendre que Lou Ravi aurait raison...

  • Merci Tilia de publier ce lien, qui était ma première tentative. Une grille cadenassée (endroit interdit au public) ne m'avait pas permis de me placer au même endroit que le photographe. Ce ne fut pas le cas cette fois-ci. La grille était ouverte, j'ai pu prendre le bon emplacement, mais végétation toujours il y avait malgré que nous fussions en hiver...

    Lou, la grande construction, dans le milieu du bas de l'image, si c'est de celle-ci dont tu veux parler, nous la connaissons comme "Manutention"...

  • A l'origine la tour de Trouilla véritable donjon, occupait l'angle nord-est du palais et possédait un toit terrasse. Elle avait initialement une hauteur de 60 mètres.
    La tour comptait un rez-de-chaussée et cinq étages. Dans la salle basse, qui communique avec le cloître, sous le pontificat de Clément VI, fut incarcéré Cola di Rienzo pendant treize mois.
    Sa fonction de défense est confirmée par l'épaisseur de ses murs, jusqu'à 4,50 mètres, et les affectations de ses étages : chambres des sergents d'armes et d'artillerie.

    Sa restauration qui débuta en janvier 2011 pour se terminer au second trimestre 2012 suscita de nombreuses critiques:(citation)

    "Dans la précipitation d’une annonce médiatiquement gratifiante, la mairie a, une fois de plus, mis la charrue avant les boeufs… Résultat : maintenant que l’échafaudage gigantesque est dressé, que les Compagnons restaurateurs sont à pied d’oeuvre, voilà que l’on découvre qu’aucun relevé n’a été programmé, comme la loi y oblige pourtant. Dans l’urgence, on procède à un appel d’offre auprès d’un labo spécialisé. 70 000 euros sont réclamés pour ce relevé. Le coût de la prestation dissuadant nos chers élus, voici que l’on se retourne vers les deux pauvres archéologues de la ville, déjà submergés de travail… Qui, bien entendu, ne sont ni assez nombreux ni disponibles pour effectuer ce travail de titan… qui leur demanderait plusieurs mois de labeur à plein temps. Une mission qui n’entre absolument pas dans leurs attributions…"

    http://2.bp.blogspot.com/_LZrY8LmeaNo/TOTuVNG9aPI/AAAAAAAAKpA/75L3Cuge8NA/s1600/17+11+10+003.jpg

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