Quatre-vingts ans après 13 place des Corps-Saints
Eighty years after Corps-Saints square 13
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Quatre-vingts ans après 13 place des Corps-Saints
Eighty years after Corps-Saints square 13
Commentaires
tout change sauf l'essentiel
Après le Met'Issé
Exit le CorpSaint
Bonjour le Macadam
la roue tourne !
bonjour cher MIchel, c'est magnifique ta photo et la comparaison. la porte est toujours ouverte.
je t'embrasse.
Ben, je crois que j'avais raison...???
Métissé, Corps Saints…quand je parlais de turn-over…Depuis l’été dernier sympathique équipe (sur cette photo le patron a cependant l’air de vous voir «arriver de loin») dont on se demande tout de même ce qu’elle veut dire quand elle met à la carte des «légumes provençaux» ou «la pièce du Boucher » (comme chez Flunch ?). Quant aux assiettes zébrées de sauce M. Chef pour faire chic je les laisse à mes copains festivaliers, tout comme l’enseigne et l’ardoise à la présentation stéréotypée. Perso elles me font plutôt fuir mais elles peuvent tenter les zurbains et rurbains en mal de bitume et de bouffe sans surprise. Dommage si cette bouffe est meilleure que l'air qu'elle se donne. Quant à Lolo Ferragut il y a longtemps que son fantôme a quitté les lieux.
Personnes presque dans la même position ....Nous dirons donc 'la pose des Corps Saints '
Le personnel se réduit...
ça change du tout au tout.
J'aime bien le mobilier très bistrot de ce bistrot.
Joli le port de plaisance.
La place des Corps-Saints est encore le seul endroit où l'on trouve autant de bistrots qu'il pouvait y en avoir rue de la République en 1900 !
Si, si, Lou, son fantôme est encore là : on voit ses pieds lumineux à droite...
Bonjour,
Cela est bien confirmé, sans aucun doute que les FERRAGUT étaient bien au N° 13?
Oui, Guima. L'étude des appuis de fenêtres du premier étage me l'a bien confirmé.
Les espacements et les décalages verticaux correspondent exactement.
Donc bravo pour avoir été le premier à avoir discerné un chiffre 13 sur la photo !
Mais Lou y était aussi dont le commentaire suit celui de Guima de 5 minutes !
M. Michel, je ne suis à Avignon que depuis quelques années mais s'il y a une chose qui manque ce sont bien des bistrots, des vrais, comme peut etre dans la ruede la république il y a 100 ans. Je ne vois que des petits stands ou restaurants de cuisine médiocre, tous pareils. Mes enfants vont au Halogène pour l'ambiance mais nous regrettons les bistrots parisiens que nous connaissions et qui eux aussi disparaissent.
Bonjour et bienvenue ici Corinne ! (ou Daniel ?)
On ne peut être que d'accord avec vous !
Le gars du Macadam a la carrure et l'attitude des joueurs de rugby que l'on prend en photo.
J'ai loupé l'énigme de cette photo. En y regardant bien, même si je lis moi aussi 18 et non 13, on peut penser qu'il y a bien un 13 le 3 se rapprochant assez du 8 selon le style de police de caractère ou les défauts de cette ancienne photo. Tout ce qui a été dit sur les fenêtres, différences de hauteurs, espacements, alignement par rapport à la porte... me semble aussi très juste.
En mettant en parallèle la peinture de Lesbros et l'image déjà publiée par Michel (http://avignon.midiblogs.com/archive/2008/05/13/cent-ans-apres-place-des-corps-saints.html#comments) on peut aussi peut-être penser que l'on a un bar à coté d'une épicerie. Et le fantôme, certes plus diffus et plus à droite sur l'ancienne photo, est aussi présent sur les 2 photos ;)
J'ai envoyé à Michel une amélioration photo du numéro de chez Ferragut qui prouve qu'il s'agit bien d'un 3.
Pour moi c'était plié tout de suite comme je l'avais indiqué: Mathieu Ferragut 13 place des Corps Saints, annuaire Capeau 1912. Obsédé ensuite par le n° 18 je t'ai envoyé un scan en mentionnant "18" alors que c'était le 4. Je n'ai trouvé que deux épiceries côté n° pairs dont celle dite des Corps Saints. Lesbros habitait en face le 13, facile pour lui de représenter ce qu'il avait sous ses fenêtres...
Nos bistrots disparaissent effectivement les uns après les autres. C'est pourtant là que l'on échange, que l'on prend le pouls de la ville, de ses habitants, que l'on refait le monde ou un petit bout de son quartier. Exit le Bar des Quatre Coins, Vivancos (ah, le rugby !) c'est à dire Les Célestins, le Régina, chez Aldo, le Reinitas (n'en déplaise à notre amie blogueuse qui doit aimer les prolos, de loin...sourire et sans malice)...Jamais pu me faire à notre ami zèbre, ni à la Civette (qui n'est plus ce qu'elle était). Nous reste Mon Bar, le Tom Tip, le tabac du Limas (hors festival...), La Navigation (chez Mario), St Lazare, les Halles (quelques soiffards tout de même), Le Domus (à l'heure de l'apéro only), et quelques autres...
La CIVETTE et son truculent patron: Monsieur ANDRE.
Mais je vous parle d'un temps que...................
À propos de macadam
on dirait que le sol a été refait devant le restaurant depuis que le CorpSaint a fermé ? ....