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Cènt-dès-e-vue an après plaço dóu Reloge

Cent-dix-huit ans après place de l'Horloge
Hundred and eighteen years after Horloge square

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Lien permanent 13 commentaires Pin it!

Commentaires

  • quelles sont charmantes, et puis elles pouvaient porter des chapeaux sans problème - ils étaient attachés

  • Personne n'était nue-tête dans ce temps-là.
    Même le pitchoun a un couvre-chef, et un beau ! genre chapeau niçois...

  • Maintenant les femmes sont en Jean's et ne portent plus de bibis sur la tête.
    Ah ! Et les manches bouffantes !

  • Te siès encaro engana ! Lou reloge= la plaço dóu Reloge…
    Cette photo fait penser (surtout avec la jeune femme en blanc, l’autre est d’allure plus simple) à «Conversation mondaine » le tableau de Jules Flour (que tu nous montré, je ne sais plus). Même «élégantes» qui entendent bien par leurs chapeaux ouvragés copier la mode parisienne (remember L’Epicerie Parisienne créée dans les années 1890). Il y avait des dizaines de modistes et chapelières début XXe à Avignon.
    Femmes de notables, d’employés supérieurs, filles de rentiers ces bourgeoises veulent se démarquer des autres classes et bien montrer par leur tenues, qu’elles ont un rang social plus élevé. Les chapeaux, les voilettes assurent le teint pâle des filles qui ne vont pas aux champs. Les décors et montages compliqués des coiffes signifie aussi, au-delà de la richesse, qu’elles ne travaillent pas, au mieux se «dévouent» pour des œuvres de charité. Les hommes ont tous la coiffe de ceux qui ne veulent pas finir «ensuqués» comme les paysans oublieux de leurs chapeaux…
    La discipline des gens qui traversent tranche avec ceux vus sur d’autres clichés. Derrière les deux femmes, peut-être un omnibus à cheval (avec le cocher et sa sacoche ?) d’une des lignes qui existaient avant le tram (certaines perdureront comme la ligne pour Villeneuve) ?

  • La petite dame en blanc a même une voilette à son chapeau; ce qui peut nous donner une indication sur l'époque de l'énigme de la rue Carreterie...

  • Joli cliché, dommage qu'il soit un peu "cramé" (problème d'exposition ? ou de tirage ?) .

    La mode vestimentaire me fait avancer quelques interrogatons sur le "il y a cent ans", je pense que l'on est bien avant la guerre de 14. Pour autant, la présence du monument du centenaire ne fait pas trop reculer la date... mais il me semble bien que l'angle de l'hôtel Calvet de la Palun "tombe" de façon tout à fait rectiligne, ce qui supposerait que l'on soit avant la construction de l'excroissance de la Banque de France (1899).

    Au final, donc, un cliché des années 1890...

    Sur l'omnibus, on lit distinctement "VIL", c'esr probablement la patache de Villeneuve.

  • J'ai écrit "118 ans après", Alain, car cette photo est donnée pour être "vers 1896"...
    Ceci dit, quand je titre "100 ans après", par manque d'information plus précise, il s'agit d'un titre générique qui peut englober la période de 1890 à 1910...

  • Bonjour,

    Dans les années 1880 mon arrière grand-père et mon arrière grand-oncle assuraient la patache de VILLENEUVE et desservaient les hôtels, dont l' hôtel CONSTANTIN.
    [Je possède un mors en souvenir venu de ma grand-mère!]

  • Ici je me régale, même si je ne connais rien des lieux
    Les commentaires sont aussi plaisants que les notes.
    Bonne continuation.

  • Oupssss... j'ai eu l'oeil plus acéré sur la photo que sur le titre !! Désolé... Mais au final "vers 1896", ça me va très bien !

    J'ai juste oublié un petit détail, toujours en regardant au fond, c'est le Café Coeur, qui domine encore de sa haute silhouette le monument du centenaire...

    In memoriam....

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