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paix de ces frères en leur jardin - pas le temps de regarder malheureusement
Tentant…
Belle trouvaille que cette vidéo car je n’ai jamais mis les pieds dans ces lieux « hâvre de spiritualité et de simplicité» au cœur de notre ville. Je connais toutefois la chapelle. Dans mon enfance quand on repérait quelque pauvre hère perdu dans la ville on l’envoyait «chez les franciscains» où l’on s’occupait de lui. Issu d’un milieu peu pratiquant (avec père et grands-pères qui refusaient le plus souvent d’entrer dans les églises) j’ai toujours été frappé par le respect que mes parents avaient pour «les Frères». Ils n’aiment pas trop, au contraire, les confréries où, me disait mon père, il y avait des «cagoulards». Les Frères étaient alors, comme les «Bonnes Sœurs», bien plus nombreux dans la ville.
Etonnant paradoxe pour le petit avignonnais que j’étais et qui voyait souvent Henri, l’air préoccupé, sortir de chez lui : il y avait donc d’un côté de la rue l’opulence de la résidence de notre maire socialiste et de l’autre la simplicité et sérénité des religieux…Plus tard, à Mistral, Pierre Louet, mon prof de philo acheva de me mettre dans un doute salutaire.
La paix en leur jardin.
Mr Lou ouvre le debat familial sue l'eglise....
Mon Grand pere qui a fait la guerre de 14 etait anti -cures..ses enfants et petits enfants ont tous recus les sacrements de l'eglise
Mon pere a toujours servi (Seminaire Carmel)et m'a toujours dit on ne gagne rien mais nous les servons...!
Notre Provence est elle speciale...?
Des travaux importants sont entrepris actuellement dans le jardin des Franciscains.
Il va sans doute perdre de son âme...
Dans ce jardin, basse-cour, dans les années 60, j'ai appris une manière de tuer les poules !
J'ai reçu une éducation catholique très complète et suis devenu allergique aux dogmes.
Cherchons l'erreur...
L'erreur est dans le jardin.
En paralléle, puisqu elles ne sont plus au lieu de la rencontre, il faut aller rendre visite aux Clarisses à Montfavet. Ce sont des femmes d exception et les batiments ou elles résident sont intéressants à plus d un titre. Je projéte de le faire visiter dans le courant de cette année, mais je dois effectuer des recherches sur la statue conservée dans le choeur et sur le décor de la chapelle des Miracles que Raphaël mérindol évoque sur son ouvrage dernier en date, mélanges montfavétains.
F.Challiol de Cugniéres
La Verdière, Institution St Ange. Dans mon enfance c'était pour moi des lieux mystérieux car Montfavet me paraissait loin, paumée au milieu des prés à traverser. Mais j'entendais parler, au moins pour Saint-Ange, de l'aide, et plus, apportée par les "Bonnes Soeurs" aux plus démunis et aux Résistants pendant la guerre. Pour revenir à La Verdière et faire le lien avec la page de ce jour du blog je crois bien avoir lu que c'étaient les franciscains qui y étaient. Et pour revenir aux travaux actuels dont tu parles Michel, ils ne sont pas vraiment du goût de l'ami Mazet, en particulier le "bandeau noir" supérieur...
Le "bandeau noir"... Il doit s'agir plutôt de l'ancien séminaire acheté et rénové par le Conseil général, de l'autre côté de la rue, non ? C'est autre chose...
Après avoir regardé toute la vidéo en espérant revoir l'intérieur de la chapelle et son décor de rosaces sur fond bleu ciel entre les fenêtres (c'est ainsi que je la vois dans mon souvenir) j'ai été déçue de ne voir qu'un chœur rose et nu, que je n'ai même pas reconnu...
Je n'ai pas de souvenir exact de la chapelle.
C'est de revoir le vieux bassin rond du jardin qui m'a ému.
On y entend toujours les grenouilles. (Pour combien de temps ?)
J. Mazet: effectivement il faisait allusion aux travaux des bâtiments récupérés par le CG.
Commentaires
et bonne fête à tous les François !
paix de ces frères en leur jardin - pas le temps de regarder malheureusement
Tentant…
Belle trouvaille que cette vidéo car je n’ai jamais mis les pieds dans ces lieux « hâvre de spiritualité et de simplicité» au cœur de notre ville. Je connais toutefois la chapelle. Dans mon enfance quand on repérait quelque pauvre hère perdu dans la ville on l’envoyait «chez les franciscains» où l’on s’occupait de lui. Issu d’un milieu peu pratiquant (avec père et grands-pères qui refusaient le plus souvent d’entrer dans les églises) j’ai toujours été frappé par le respect que mes parents avaient pour «les Frères». Ils n’aiment pas trop, au contraire, les confréries où, me disait mon père, il y avait des «cagoulards». Les Frères étaient alors, comme les «Bonnes Sœurs», bien plus nombreux dans la ville.
Etonnant paradoxe pour le petit avignonnais que j’étais et qui voyait souvent Henri, l’air préoccupé, sortir de chez lui : il y avait donc d’un côté de la rue l’opulence de la résidence de notre maire socialiste et de l’autre la simplicité et sérénité des religieux…Plus tard, à Mistral, Pierre Louet, mon prof de philo acheva de me mettre dans un doute salutaire.
La paix en leur jardin.
Mr Lou ouvre le debat familial sue l'eglise....
Mon Grand pere qui a fait la guerre de 14 etait anti -cures..ses enfants et petits enfants ont tous recus les sacrements de l'eglise
Mon pere a toujours servi (Seminaire Carmel)et m'a toujours dit on ne gagne rien mais nous les servons...!
Notre Provence est elle speciale...?
Des travaux importants sont entrepris actuellement dans le jardin des Franciscains.
Il va sans doute perdre de son âme...
Dans ce jardin, basse-cour, dans les années 60, j'ai appris une manière de tuer les poules !
J'ai reçu une éducation catholique très complète et suis devenu allergique aux dogmes.
Cherchons l'erreur...
L'erreur est dans le jardin.
En paralléle, puisqu elles ne sont plus au lieu de la rencontre, il faut aller rendre visite aux Clarisses à Montfavet. Ce sont des femmes d exception et les batiments ou elles résident sont intéressants à plus d un titre. Je projéte de le faire visiter dans le courant de cette année, mais je dois effectuer des recherches sur la statue conservée dans le choeur et sur le décor de la chapelle des Miracles que Raphaël mérindol évoque sur son ouvrage dernier en date, mélanges montfavétains.
F.Challiol de Cugniéres
La Verdière, Institution St Ange. Dans mon enfance c'était pour moi des lieux mystérieux car Montfavet me paraissait loin, paumée au milieu des prés à traverser. Mais j'entendais parler, au moins pour Saint-Ange, de l'aide, et plus, apportée par les "Bonnes Soeurs" aux plus démunis et aux Résistants pendant la guerre. Pour revenir à La Verdière et faire le lien avec la page de ce jour du blog je crois bien avoir lu que c'étaient les franciscains qui y étaient. Et pour revenir aux travaux actuels dont tu parles Michel, ils ne sont pas vraiment du goût de l'ami Mazet, en particulier le "bandeau noir" supérieur...
Le "bandeau noir"... Il doit s'agir plutôt de l'ancien séminaire acheté et rénové par le Conseil général, de l'autre côté de la rue, non ? C'est autre chose...
Après avoir regardé toute la vidéo en espérant revoir l'intérieur de la chapelle et son décor de rosaces sur fond bleu ciel entre les fenêtres (c'est ainsi que je la vois dans mon souvenir) j'ai été déçue de ne voir qu'un chœur rose et nu, que je n'ai même pas reconnu...
Je n'ai pas de souvenir exact de la chapelle.
C'est de revoir le vieux bassin rond du jardin qui m'a ému.
On y entend toujours les grenouilles. (Pour combien de temps ?)
J. Mazet: effectivement il faisait allusion aux travaux des bâtiments récupérés par le CG.