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Quatre-vint an après carriero de la Republico 2

Quatre-vingts ans après rue de la République 2
Eighty years after République street 2

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Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Sur la photo ancienne le visage d'une ville animée, riche de ses activités, conviviale (en ce sens que les habitants se connaissent, se parlent, "vivent" leur ville et son histoire, son avenir à construire) se dessine. On doit être sous la municipalité socialiste (sans guillemets) de Louis Gros. Déjà les jeunes "font" la rue de la Ré, soignent leur mise pour les filles, se réunissent en groupes animés. Les trottoirs sont emplis d'une foule de badauds qui font vitrines et emplettes. Passées les heures noires de la guerre on retrouvera cette belle ambiance jusque dans les années 80. A gauche la parfumerie La Cigale, à droite, derrière ce qui sera Gatto le chemisier, la confiserie Fournier, plus tard Cotte. Le Régina précédé du grand magasin de tissus qui deviendra Bouchara, n'a que quelques années. En face le Modern Hôtel-Touring-Club. On devine sous une bâche l'enseigne des chaussures André ("Le chausseur sachant chausser"). L'attractivité de la rue est renforcée par la récente ouverture (1926) des Dames de France que l'on devine au fond à droite.

  • A gauche on échange au plein milieu de la rue, assis sur le rebord du trottoir, des vélos circulent ou attendent, deux malheureuses voitures sont garées, un tram pourrait arriver... La vie comme le dit Lou Ravi.

  • Il est possible, Brigetoun, que l'arbre soit le même. Mais la saison diffère...

    Merci Fanatic !

    Sans aucun doute, Lou, Gros ayant été maire de 1925 à 1940.

  • Décidément j'ai un faible pour l'ancien. Je ne saurai dire pourquoi. Le NB peut-être.
    C'est curieux d'abord, parce que moi, je publiet tout en couleur.

  • Je me suis posée la question, Claude, de publier les photos contemporaines en noir et blanc afin d'améliorer la comparaison. Quelques avis m'en ont dissuadé...

  • La trois est passée avant la deux.

    Toujours autant de badauds.
    Ces rues ne changent guère mis à part l'enseigne du Petit Provençal...

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