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Henriette "Farfantello" DIBON Avignon 09.08.1902 - Avignon 09.09.1989 écrivaine et poétesse camarguaise, une des fondatrices du Riban de Prouvènço.
« Henriette Dibon partagea son existence entre la Camargue et la haute montagne dans le Valais. Journaliste à Montpellier puis secrétaire-archiviste au Palais du Roure, tour à tour conférencière et biographe, Henriette Dibon a traversé le siècle, en prenant comme nom d'écrivain Farfantello qui signifie "éblouissement, mirage, chimère". Elle demeure une voix singulière dans la poésie provençale contemporaine. Dans son Journal, elle chroniqua les événements de son temps, en se confiant sur l'écriture de son œuvre, comme un livre de bord, précieux témoignage légué par celle qui veut "ne rien oublier". »Clément Serguier
C'est en tant que fondatrice du "Riban de Prouvènço" que je salue la mémoire de cette femme remarquable dont je découvre ici les multiples talents.
J'ai bien connu Mireille Duret (à la tête du Riban, après Farfantello et Renée d'Adhémar) comme professeur de son école de secrétariat et comme directrice du Riban dont deux de mes amies faisaient partie.
Ecole ou exerce ma fille ....Je ne connaissais pas l'origine de ce nom
La réponse est dans sa page Wikipedia, Michel.
(Lien sous la photo.)
Extrait de la biographie des sœurs Duret publiée sous la plume de Magali Pile dans "Portraits de femmes en Vaucluse" :
"[après le mariage de sa sœur Léa en 1932] Andrée (Mireille-Andrée Duret) envisage alors son indépendance professionnelle en se préparant à une formation de secrétariat avec sténotypie Grangean et comptabilité. Désormais "azertyuiop" sera sa ligne de conduite, elle crée son école à Avignon quelques années avant la guerre. Au fil du temps et de la mode, l'intitulé changera pour devenir "Cours pratique avignonnais", 27 rue des Lices. Le sérieux et la rigueur de son enseignement lui confèrent rapidement une renommée locale et départementale. Ses élèves, des filles pour la plupart, savaient qu'à l'issue de leur formation, elles auraient immédiatement un emploi. Elle avait ainsi créé une ANPE avant l'heure, tenant compte des profils employeurs - employés".
Rien à voir avec la Famille "Dibon pneu " ?
Ce n'est pas impossible,.
La notice Whyskipédia en lien cite un article de Mireille Bosqui passé dans la revue de généalogie de la Banque de France, qui est accompagné d une photo inédite d'Henriette Dibon. Ce document est en provenance d'une dame Dibon-Guérin, adhérente du Club Azertyuiop, promoteur de l'ouvrage que j'ai cité plus haut (Portraits de femmes en Vaucluse). L'ouvrage contient lui aussi la même notice de Mireille Bosqui, agrémenté d'une autre photo inédite tirée des collections du Palais du Roure, anonyme mais clairement prise le même jour que la première.
Ceci pour dire que la famille Dibon a très certainement perduré jusqu'à nos jours. De là à les assimiler à cet accessoiriste auto bien connu.... mystère !
C'est clair :
"..... Club Azertyuiop, promoteur de l'ouvrage que j'ai cité plus haut (Portraits de femmes en Vaucluse). L'ouvrage contient lui aussi la même notice de Mireille Bosqui, agrémenté d'une autre photo inédite"....
Bon oui il y a une faute de frappe (lire "agrémentéE"), mais j'ai voulu dire que la seconde photo se trouve dans "Portraits de femmes en Vaucluse", qui a connu deux éditions successives dont la seconde est très amplifiée. Sortie à l'hiver 2012 (M....!!! déjà dix ans !). pour cette seconde livraison.
Commentaires
Avignon tourne le dos à son passé.
Dommage que son journal se soit retrouvé à la Méjanes au lieu de rentrer dans les collections du Palais du Roure.
Dommage qu'Avignon n'ait plus vu un taureau depuis une éternité :-)
Et réciproquement...
Quoi qu'Avignon na jamais vu de taureaux, c'est seulement la Barthelasse, où étaient les arènes, qui a eu droit à ce spectacle !
Euh... non :
http://avignon.hautetfort.com/archive/2012/09/23/atmousfero-1928-la-soulitudo.html
Les vachettes, c'est des taureaux ?
C'est en tant que fondatrice du "Riban de Prouvènço" que je salue la mémoire de cette femme remarquable dont je découvre ici les multiples talents.
J'ai bien connu Mireille Duret (à la tête du Riban, après Farfantello et Renée d'Adhémar) comme professeur de son école de secrétariat et comme directrice du Riban dont deux de mes amies faisaient partie.
Ecole ou exerce ma fille ....Je ne connaissais pas l'origine de ce nom
La réponse est dans sa page Wikipedia, Michel.
(Lien sous la photo.)
Extrait de la biographie des sœurs Duret publiée sous la plume de Magali Pile dans "Portraits de femmes en Vaucluse" :
"[après le mariage de sa sœur Léa en 1932] Andrée (Mireille-Andrée Duret) envisage alors son indépendance professionnelle en se préparant à une formation de secrétariat avec sténotypie Grangean et comptabilité. Désormais "azertyuiop" sera sa ligne de conduite, elle crée son école à Avignon quelques années avant la guerre. Au fil du temps et de la mode, l'intitulé changera pour devenir "Cours pratique avignonnais", 27 rue des Lices. Le sérieux et la rigueur de son enseignement lui confèrent rapidement une renommée locale et départementale. Ses élèves, des filles pour la plupart, savaient qu'à l'issue de leur formation, elles auraient immédiatement un emploi. Elle avait ainsi créé une ANPE avant l'heure, tenant compte des profils employeurs - employés".
Rien à voir avec la Famille "Dibon pneu " ?
Ce n'est pas impossible,.
La notice Whyskipédia en lien cite un article de Mireille Bosqui passé dans la revue de généalogie de la Banque de France, qui est accompagné d une photo inédite d'Henriette Dibon. Ce document est en provenance d'une dame Dibon-Guérin, adhérente du Club Azertyuiop, promoteur de l'ouvrage que j'ai cité plus haut (Portraits de femmes en Vaucluse). L'ouvrage contient lui aussi la même notice de Mireille Bosqui, agrémenté d'une autre photo inédite tirée des collections du Palais du Roure, anonyme mais clairement prise le même jour que la première.
Ceci pour dire que la famille Dibon a très certainement perduré jusqu'à nos jours. De là à les assimiler à cet accessoiriste auto bien connu.... mystère !
Faites-moi penser à demander à mon garagiste !
Alain, dans cette note de wikipedia, il y a deux liens concernant Mireille Bosqui.
Le premier "Article de Mireille Bisqui" [sic] est mort.
Le second "Archive" :
https://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.genea-bdf.org%2FBibliotheque%2FGenea-BdF71.pdf%2Findex.html#federation=archive.wikiwix.com
n'offre qu'une seule photo de Farfantello.
Où as-tu vu l'autre ?
C'est clair :
"..... Club Azertyuiop, promoteur de l'ouvrage que j'ai cité plus haut (Portraits de femmes en Vaucluse). L'ouvrage contient lui aussi la même notice de Mireille Bosqui, agrémenté d'une autre photo inédite"....
Bon oui il y a une faute de frappe (lire "agrémentéE"), mais j'ai voulu dire que la seconde photo se trouve dans "Portraits de femmes en Vaucluse", qui a connu deux éditions successives dont la seconde est très amplifiée. Sortie à l'hiver 2012 (M....!!! déjà dix ans !). pour cette seconde livraison.