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A ce propos, je me suis farci l'hiver dernier l'intégralité du visionnage de ce chef d'œuvre immortel... (il repassait sur je ne sais plus quelle chaîne). En dehors de la séquence bien connue dans la cour de l'hôtel particulier de la rue Félix Gras, il n'y a vraiment rien qui tente, sinon à dose homéopathique, de mettre en valeur notre ville. Même l'abbaye Saint-André est filmée d'une manière atrocement banale.
bon la ville se suffit ... a-t-elle vraiment besoin de ces faiseurs de piètre qualité ?
Bonjour,
sans compter que le titre et le prénom, ne serait-ce qu'au niveau subliminal, laisse à penser quand on connait la situation de la ville et de ses environs...Je ne connais pas la date de publication, mais sans vouloir faire mon Lacan, il y aurait quelque chose d'involontairement prémonitoire.
Elle est de 2006. Il semble qu'il n'y ait pas de tome 2 aux "Envolées de Violette" parmi plusieurs albums lui étant consacrés.
Et pour éclairer ce message subliminal , est-ce qu'il y aurait des explications infraliminales ?
Les évidences des uns sont les obscurités des autres...
Voilà la pauvre Violette habillée pour l'hiver - et il y a du travail, si l'on en croit la faible surface de tissus qui l'entoure sur la couverture !
Donc en résumé, pire que le tandem Hébrard/Velle ??? - ce qui n'enlève rien au charme de Marthe Keller, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit !
la lecture de la critique (hpps...) donne un contenu concret a la perception subliminale. Ce lecteur amusé brode lui aussi notamment en employant dès le début le terme de 'Saillie" (syllepse de sens). Pour résumé: dessin + envolée+violette...(allitération+assonance) autant d'éléments qui évoque la situation "préoccupante" dans laquelle vit la ville d'Avignon et la région tout entière, que seuls des bobos festivaleurs ou les aveugles volontaires pourraient ignorer.
Commentaires
Version BD d'un célébrissime navet ?
A ce propos, je me suis farci l'hiver dernier l'intégralité du visionnage de ce chef d'œuvre immortel... (il repassait sur je ne sais plus quelle chaîne). En dehors de la séquence bien connue dans la cour de l'hôtel particulier de la rue Félix Gras, il n'y a vraiment rien qui tente, sinon à dose homéopathique, de mettre en valeur notre ville. Même l'abbaye Saint-André est filmée d'une manière atrocement banale.
bon la ville se suffit ... a-t-elle vraiment besoin de ces faiseurs de piètre qualité ?
Bonjour,
sans compter que le titre et le prénom, ne serait-ce qu'au niveau subliminal, laisse à penser quand on connait la situation de la ville et de ses environs...Je ne connais pas la date de publication, mais sans vouloir faire mon Lacan, il y aurait quelque chose d'involontairement prémonitoire.
Elle est de 2006. Il semble qu'il n'y ait pas de tome 2 aux "Envolées de Violette" parmi plusieurs albums lui étant consacrés.
Et pour éclairer ce message subliminal , est-ce qu'il y aurait des explications infraliminales ?
Les évidences des uns sont les obscurités des autres...
Oui, je cherche encore...
Sur ce site, un commentaire de lecteur lève le voile sur les dessous... de cet ouvrage :
https://www.bedetheque.com/BD-Envolees-de-Violette-Tome-1-La-demoiselle-d-Avignon-53536.html
Voilà la pauvre Violette habillée pour l'hiver - et il y a du travail, si l'on en croit la faible surface de tissus qui l'entoure sur la couverture !
Donc en résumé, pire que le tandem Hébrard/Velle ??? - ce qui n'enlève rien au charme de Marthe Keller, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit !
la lecture de la critique (hpps...) donne un contenu concret a la perception subliminale. Ce lecteur amusé brode lui aussi notamment en employant dès le début le terme de 'Saillie" (syllepse de sens). Pour résumé: dessin + envolée+violette...(allitération+assonance) autant d'éléments qui évoque la situation "préoccupante" dans laquelle vit la ville d'Avignon et la région tout entière, que seuls des bobos festivaleurs ou les aveugles volontaires pourraient ignorer.