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Vuetant'an après 86 carriero Jousèu-Vernet

Quatre-vingts ans après 86 rue Joseph-Vernet
Eighty years after Joseph-Vernet street 86

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Commentaires

  • Rapport au numéro fantôme - le 88 -
    se pourrait-il que par le passé (bien avant la vitrine Vacca) il y ait eu là deux portes d'accès à cette maison
    qui a peut-être des appartements côté cour (vers l'impasse du Galoubet) ?
    Dans ce cas, il y aurait bien eu à un moment donné un n° 86 et un n° 88...

  • Il suffit de lever la tête pour découvrir, encore en place aujourd'hui, le nom "Terrot" inscrit en relief sur toute la largeur de la façade ! Terrot une marque absorbée par Peugeot en 1959.

  • Bonjour, je suis passée devant tout à l'heure en allant à la caisse d'épargne. Les 84 et 84 b ne paraissent pas correspondre au magasin biguine, ils sont avant. On aurait donc dédoublé le 84 et le 88 a bien disparu car il n'y a rien entre le 86 et le 90.

  • Corinne, c'est bien ce qui apparaît dans la rue.
    À regarder les façades, les 84 et 84B sont dans un seul immeuble et ne semblent pas responsables de la disparition du 88.
    Comme le suggère Lou Ravi dans les commentaires sur la publication du 13, le numéro 90 doit être l'ancien 88.
    Or, la maison d'après porte bien le numéro 92... o.O

  • J'ai essayé d'y voir un peu plus clair dans cette question de numérotation, rien n'est évident... et je me demande si ce qui suit ne va pas encore opacifier les choses, mais bon... essayons !

    Partons de la pizzeria l'Oulo, démolie au début des années 1980 pour élargir l'entrée de la rue St Charles.

    Cette démolition a laissé place à un seul immeuble, qui porte le n° 82, ce qui est cohérent avec le n° 80 qui est celui de la dernière maison avant la rue Porte-Evêque. Après ce 82, on passe au n° 84, de l'autre côté de la rue St Charles, après le bout de rempart de l'enceinte comtale...

    Mais là où le bât blesse, c'est que nous avons discuté assez récemment de la maison Leon, ce dentiste qui avait sont cabinet à peu près en face... j'ai fait passer dans le post du 25 novembre dernier une vue aérienne de 1926 où l'on aperçoit clairement que la démolition des années 1980 n'a pas fait disparaître seulement la pizzeria (qui s'avançait dans la rue, à l'alignement du caniveau du trottoir (!!), mais aussi la maison qui la précédait...

    Conclusion : le n° 82 actuel remplace DEUX maisons ! Et la continuité moderne 80, 82, 84 est aberrante.

    Et là où le mystère s'épaissit, c'est qu'au contraire le reste n'est pas aussi incohérent qu'il n'y paraît... Le n° 84 est donc l'immeuble d'angle avec les vestiges de remparts, et on compte depuis cet angle 3 vitrines avant d'arriver à l'ex-magasin des parents Benoït. Or si ce dernier porte le n° 90, visible actuellement comme dans le cliché ancien, les 3 autres forment les n° 84, 86 et 88... Donc tout va bien, ou plus exactement tout irait bien si l'actuel Biguine ne portait pas le n° 86. Qui, pour moi, est inexplicable !

    A noter pour finir que dans un autre fil toujours sur la maison Leon (le lendemain du premier, 26/11/2015), on pointait l'incohérence de la numérotation des immeubles en face de ceux-ci, côté impair. A croire que le triangle des Bermudes s'étend jusqu'à ce coin de notre ville...

  • 1910: num. 82 2 artisans Bret serrurier et Billon menuisier. Au 84 Mme Martin et au 84bis 3 familles puis plus rien jusqu'au 90. La num. ne reprend en effet qu'à ce numéro 90. Au 92 le Syndicat Agricole...
    1943 Cycles Vacca au 86 qui est apparu. Vacca jusqu'en 1966 où il migre au 3 rue St Charles (derrière) et rue Boussingault.
    1952 Benoît Emile au 82...

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