Place Carnot cent ans après
Carnot square hundred years after
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Place Carnot cent ans après
Carnot square hundred years after
Commentaires
assez peu de changement finalement là
Le joli belvédère sur le toit du n°4 de la rue Carnot a disparu.
Dommage.
Merci pour ces 3 clichés temporels ! ^_^
Concernant l'éclairage, moi qui en général aime bien les horloges et les réverbères, j'ai beaucoup de mal à choisir entre l'ancien et le nouveau modèle de cette horloge lampadaire.
Avec une troisième lanterne perchée sur la tête, l'ancienne avait l'air vaguement ridicule.
Et la contemporaine, avec ses boules au bout de ses deux bras trop courts, itou :-)
Finalement, avec sa calade, sa calèche et son allumeur de réverbères, c'est la vue ancienne que je préfère.
Mais la chaise à côté de la dame chapeautée, que fait-elle là ?
La perche de l'allumeur serait-elle trop courte pour atteindre la troisième lanterne perchée sur la tête de l'horloge ? ;-))
début de la rue de la "honte commerciale "
La « honte » n’est pas que commerciale elle est, par voie de conséquence (ou de cause) « sociétale ». Cette décrépitude n’est pas propre à Avignon. Voir les difficultés d’Arles, où Schiavetti essaie de faire ce qu’il peut sans grands moyens, le naufrage de Tarascon ou celui de Béziers contre lequel se bat Ménard qui, en plus, a à se démener contre une opposition d’abrutis. Tout ceci me rappelle, je crois que je l’ai déjà dit, la rue de la République à Marseille que l’on a laissée partit à vau-l’eau, coulée en terme de commerce, de population, de sécurité. Avant la vaste opération immobilière que l’on sait…
Cette horloge était tout de même fort laide. Mais est-ce parce qu’elle marquait l’heure d’une certaine prospérité de la ville que l’on y est finalement attachés ?
Le temps toujours présent. Sa base s'élargit. Envahira-t-elle la place ?
Sur la première, pas d'automobile et pas mal de gens
(moi, je l'aime bien le vieux réverbère et l'allumeur me rappelle une histoire que je ne peux pas raconter ici car trop longue)
Sur la seconde, pas mal de voitures et peu de gens
Sur la dernière, c'est le grand vide.
Dommage !
Je crois, Tilia, que la perche de l'allumeur est assez longue... S'il la tient à bout de bras. N'oublions pas que les becs s'allument par en-dessous de la lanterne.
Merci à vous d'être là, Cadillac.
Il est extrêmement rare de pouvoir rassembler plusieurs photos avec le même cadrage à des époques différentes. Dans ce cas-ci, j'aurais bien aimé trouver une photo des années 40 avec le même cadrage, mais... faut pas rêver... :D
je pense que la dame se trouve devant un rempailleur de chaises dont on aperçoit le charreton
Pourquoi les volets des premier et deuxième étages de l'immeuble de droite sont-ils fermés depuis cent ans ?
Frédéric,
Monsieur Limousin habitait au 1er étage et fleurissait son balcon :
http://avignon.midiblogs.com/archive/2014/01/14/oumage-hommage-tribute-795259.html
Mais il est décédé il y a peu.
On peut même se demander si ces fenêtres n'étaient pas murées en 1980.
Je me souviens de ce balcon merveilleusement fleuri !
Quant à la circulation, elle est nettement moins anarchique maintenant qu'en 1980. Les vastes plans de sens interdits ont découragé les traversées dans tous les sens.