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L'intrado dis Alo quaranto-cinq an après

L'entrée des Halles quarante-cinq ans après
The entry of Les Halles fourty-five years after

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Archives municipales 108Fi237 - Photo Émile Marfoure.

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Commentaires

  • hé dis ! y a pas que l'entrée qui a changé, maintenant nous marchons sans crainte sous des voitures

  • Maintenant ça perd un peu du charme d'antan mais ce n'est pas mal.
    Avant, oui il y a une 2cv et un solex, toute ma jeunesse !
    Joyeuses Pâques !

  • Cela sent le sapin pour les anciennes halles et ses abords qui ne sont plus entretenus et qui seront bientôt démolies. La "marquise" extérieure est ici en Everite ou tôle ondulée peu esthétique alors qu’elle était en assemblages plats à l’origine. Sous celle-ci on voit un vendeur avec quelques cageots. S’il s’agit encore du «Petit Marché » (je le situais uniquement côté rue de l’Olivier) autorisé aux particuliers, gitans, petits producteurs, il me semble que l’heure règlementaire est largement dépassée car il est 8h30 au cadran ?

  • La façade ancienne était très belle mais l'intérieur était lamentable.
    La nouvelle mériterait elle aussi quelques rafraichissements
    Quand aux petits négoces qui étaient sous la marquise aux quatre coins des halles ils ont été supprimes je n'ai jamais su pourquoi mais remplaces par une faune qui te fais partir en courant.
    J'arrive de Menton les halles sont petites et comprimées mais très vivantes .Les extérieurs ne sont que fleurs et petits paysans (il y a foule )

  • L'ancienne façade est-elle derrière le mur végétal ?
    Ce mur de verdure vient là un peu comme un cheveu sur de la soupe.

  • Brigetoun, quand je pense aux tonnes de voitures qui pèsent au-dessus de nos têtes, je me demande comment on ose encore entrer dans les Halles !

    Jean-Marie, toute une époque !

    Lou, 8h30 du matin, pourquoi l'heure légale serait-elle dépassée ?

    Oui, Michel, il y a sûrement mieux à faire en termes d'aménagement des lieux publics...

    Jeandler, voir ici les trois époques :
    http://avignon.midiblogs.com/archive/2009/12/02/cent-an-apres-sus-l-esplanado-di-alo.html

  • Le lieu public n'est pas seul en cause, les siphons à bière et boufkébabs aussi...
    La photo montre bien l’état de décrépitude des halles que l’on allait démolir. L’intérieur n’était pas flambant, comme le souligne MB. Fallait pas trop voir certaines réserves et frigos…Je reviens sur cette histoire d’heure réglementaire: la vente aux halles étaient (et est toujours) réservée aux commerçants. Mais à l’extérieur, suivant en cela d’anciens usages, des «non professionnels » pouvaient venir proposer leurs production ou récolte. On trouvait des gitans, des retraités cultivant quelque morceau du côté de Bonnaventure ou de Baigne-Pieds, de pauvres bougres apportant le fruit de leur cueillette. Ils s’acquittaient de quelque droit de place, n’avaient pas droit à des installations fixes mais surtout devait avoir quitté les lieux avant l’heure d’ouverture des halles, en fait 7h00 ou 8h00, c’est-à-dire avant le début de l’affluence. Si quelqu’un a des lumières plus précises là-dessus je serais heureux de les lire…
    Ces petits marchands étaient surtout côté Est, rue de l’Olivier. C’est pour moi le souvenir plus précis de la marchande d’escargots. On est toujours dans ces années 60 comme sur la photo. J’avais la coqueluche et le médecin avait prescrit comme remède la prise régulière, tous les matins à jeun, de pieds d’escargots crus. Pas facile à avaler cette chair dure et baveuse alors que l’on venait de couper la bête vivante en deux…Le seul moyen de se procurer des escargots bon marché était de se fournir à ce petit marché du matin…Il m’est resté de cette histoire d’escargot tout un rapport aux gastéropodes, conforté après mon mariage avec les inévitables dégustations de tonnes d’escargots aux épinards le soir de Noël, tradition provençale rurale oblige…Alors quand à Paris je suis rue de Montorgueil je passe mon chemin devant l’Escargotière (devenu L’escargot Montorgueil) le célèbre restaurant bourré tous les jours…_

  • Exact fin à 8 h mais les personnes devaient vendre que leur récolte ou ramassage (escargots)
    Ils y avaient aussi fleuristes mercières ,cordonnier
    Mais la jalousie a fait son œuvre
    ils étaient aussi à côte du marchand de journaux Pace Pie et marche forain tous les Dimanches matin

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