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À prepaus d'oustau de la carriero Carretiero

À propos de maisons de la rue Carreterie
About houses of Carreterie street

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Lien permanent 34 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Une jolie femme est toujours plus agréable à regarder que le cul d'une voiture... de mon point de vue !

  • Oui, mais le soleil qui traverse la rue viendrait d'où ? puisqu'il n'y a pas de rue transversale à cet endroit...

  • Et oui Tilia, je pense que c'est la rue Georges Taulier. Il y a maintenant une placette devant un immeuble qui date des années 1970. Il me semble que le bar où sont installés les personnages, est devenu en 1960, une poissonnerie tenue par M. Rocca.

  • Cette photo ancienne continue à être pour moi un vrai mystère si, comme l’attesterait la présence d’antennes de TSF relevées par certains, elle est postérieure à 1900. Le nouveau cadrage que tu nous donnes nous prive, comme le fait remarquer Tilia, du grand soleil jeté depuis une rue perpendiculaire (rue Georges Taulier). Le jeu des toitures correspond à peu près en effet. Sauf au fond, où il semble qu’il manque un immeuble (devant les frondaisons) sauf à considérer qu'il est caché par le chapeau de la dame. Cet immeuble figure bien au cadastre de 1840…(A-t-il été exhaussé ?). Comme je l’avais déjà écrit les façades (ouvertures) ont largement été remaniées dans ce coin de ville. Si on garde ton cadrage cela voudrait dire que les maisons à droite ont remplacé une rue ou une échancrure qui existait à l’époque de la photo : cela n’a pas l’air de coller avec la configuration ancienne du quartier (construit jusqu’à la rue Bourguet) mais il faudrait regarder de plus près les anciens plans.
    Je préfère le cadrage premier (avec les 3 personnages). Et là on bute sur le problème de la façade non alignée de ce qui aurait été le café (local électoral to-day).
    Enfin : j’ai épluché guides et annuaires disponibles depuis 1911 : les cafés, bars, salons rue Carreterie, on les trouve aux n° 2, 6,26,36, 62,65,101,109,113,118,125,193. Rien dans ce coin. Aucun magasin de «modes» non plus. Une autre hypothèse vient alors : le cliché est beaucoup plus ancien que l’on a pu le dire : pas de rails du tram (mais crottin de cheval à gauche…), maison après le café détruite pour agrandir la percée Taulier, on serait tout à fait à la fin du XIXe. Mais comment faire coller en ce cas la création du tram et la date de la percée Taulier (elle serait donc antérieure à 1900) ? L’immeuble abritant le café aurait donc été reconstruit en léger biais ? Si on se rend sur place on se rend bien compte que la façade actuelle (ce fut dans les années 50-60 la poissonnerie Fenateau, puis Roca selon Dume) n’est pas dans l’alignement de la photo ancienne…Mon impression première (l’angle de la rue Georges Taulier) me paraît pourtant la seule crédible (d’autant plus que gamin je fréquentais assidûment ces rues et allait jouer au «Planet cet espace où la Georges Taulier s’élargit). Avec beaucoup d’interrogations et la mise à la trappe des antennes que, personnellement, je n’arrive pas à voir clairement…

  • À priori ce sont les bonnes maisons.
    La rue ne peut être que la rue Georges Taulier sinon la rue du Fer-à-Cheval.
    Pour l'ancienne photo aura été utilisé une focale plus longue qui rapproche les plans.
    Mais la modification des maisons nous empêchera de refaire une photo avec le même cadrage, car en reculant pour utiliser une focale plus longue, la nouvelle maison cache la rue Carreterie.
    L'approche la plus plausible sera donc celle du 31 mars, avec la photo du bas :
    http://avignon.midiblogs.com/archive/2014/03/30/ounte-sian-bis-802479.html

  • bonjour,
    sur la photo actuelle, on distingue au fond les remparts, et ce qui semble être la porte Saint LAZARRE,
    nous serions alors début de la rue CARRETERIE.

  • Ces antennes évoquées par certains sont mystérieuses car elles ne collent pas du tout avec les autres éléments de ce cliché, notamment la surélévation du bâtiment abritant Jean-François notre ami légumier (début de la Carreterie). Je n'entends pas beaucoup de chose en photo et effectivement on peut être trompé par l'effet donné par l'objectif. Je crois plutôt que le volet derrière l'homme à la pipe cache l'angle que fait le café avec le reste de l'immeuble démoli depuis. Car, c'est très net, actuellement cette façade n'est absolument pas dans l'alignement de la suite...Ou alors on a tout refait...Ce café n'aurait eu qu'une existence éphémère car il n'apparaît pas au guide Fanot ni dans ceux des années 1900 et après. On est au n° 136, depuis le début de la saga racontée dans ces pages...Roca a bien succédé a Fenateau dans les années 60, je viens de vérifier.

  • Je ne peux que partager les doutes de Lou Ravi... Il y a certes une similitude entre les deux clichés, dans le rythme des hauteurs de toitures côté Nord. Mais similitude ne signifie pas identité...

    Si l'on numérote les maisons de l'état ancien à droite à partir de l'arbre (en négligeant le bout de gouttière qui dépasse), on voit que la séquence des hauteurs variables "colle" pour les maisons 1, 2, 3 et 4... mais ça se complique dès la n° 5, qui n'a qu'une largeur très limitée sur le cliché ancien, alors que celle de la rue Carreterie fait au moins 3 travées... après, c'est encore pire, et je ne pense vraiment pas que les niveaux supérieurs du bâtiment "au bout" ne datent que des années 1890/1900.

    On peut également s'interroger sur la maison n°1. Sur la photo moderne, ses deux derniers niveaux sont séparés par un bandeau au relief bien marqué. Idem sur la maison suivante... or, malgré l'éclairage rasant, rien ne se voit sur le document ancien !

    Sauf à penser que tout a été reconstruit depuis, reste au final une question un peu iconoclaste : sommes nous vraiment à Avignon ?

  • Merci Alain Breton, je me sens moins seul...
    A gauche (n° impairs) les seuils d'entrée et les encadrements ne collent pas non plus. La bande de lumière est déjà large alors que la maison après le café n'a pas encore été démolie (dans l'hypothèse où l'on est bien au 136 de la Carreterie). Pourquoi aurait-on réalisée la percée Taulier en deux temps ? Cette rue qui arrive en face de l'entrée principale de l'Hôtel Dieu ne paraît pas avoir la largeur suffisante pour "absorber" le tracé que l'on devine sur le cliché et l'emplacement de la maison démolie...J'en reviens aux costumes qui paraissent plutôt années 30 que fin XIXe, à l'inflexion ( par rapport à la partie finale de la Carreterie) de la maison de droite (le café) qui ne se retrouve pas sur la photo ancienne. Et surtout l'absence de débit de boissons dans les guides et annuaires consultés...On est donc peut-être bien dans les années 30, il y a bien des antennes de TSF, des platanes apparaissent au fond, le tram a disparu, mais on n'est pas à Avignon ???

  • L'arbre aussi pose problème...Sur ebay il y a en ce moment une série intéressante. Taper inondations 1935 rue carreterie avignon. On y voit le n° 136 sur une des CPA.

  • il peut s'agir d'une murette destinée à délimiter le mini parking;
    sans trop m'aventurer.( à vérifier sur place.)

  • Je ne vois pas de murette mais un coup de Sirocco !Écrit par : Lou Ravi

    ??????????????

  • Sur Google Earth, on se rend bien compte que la maison du magasin de modes a disparu. Voir la découpe de l'ancienne demeure. Pour ce qui est de la maison du "bar", elle n'est plus du tout dans l'alignement du fait de la destruction de la maison qui a permis la percée Taulier. Par contre, les toitures des maisons de gauche sont toujours les mêmes. Nous sommes bien à Avignon, rue Carreterie. J'ai habité dans un immeuble neuf rue du Fer à Cheval et ma grand-mère habitait rue Conduit Perrot. L'immeuble récent devant lequel sont garées les voitures, a été construit entre 1968 et 1970. Immeuble de grand standing dont une entrée est rue Carreterie et une autre donne sur la rue Taulier. Je pense que les précédentes maisons devaient trop vétustes et ont dû être détruites pour raison de salubrité. Il ne reste de l'époque 1900 que la maison coincée entre la traverse Taulier et l'immeuble neuf, dont on voit sur la photo Google Earth, l'ancienne façade.

  • j'avais un ami d'enfance qui habitait rue Conduit Perrot.
    Il y a plus de soixante ans!!

  • Le coup de Sirocco que j'évoquais était bien sûr le vent chargé de sable qui a sali tant de carrosseries ces jours-ci. Je croyais que tout le monde avait compris...Pour ce qui est des lieux il faut s'en remettre logiquement à ceux qui ont habité le quartier. Ce qui est très étonnant c'est l'enlèvement total des rails du tram que et surtout le fait que l'immeuble abritant le "bar" est donc "neuf". J'entends par là qui a été réalisé entre 1933 (fin du tram) et 1945-47 (commerce puis poissonnerie) et construit dans le prolongement de la partie ouest de la rue malgré le décroché (d'avec la partie derrière le photographe, là où il y avait autrefois une mercerie et un peu plus loin le salon de coiffure des frères Agricol que Dume a dû connaître). J'en reviens aussi au problème de la largeur de la rue GT: si on ajoute à celle que l'on peut déduire de la jetée de lumière que l'on voit la largeur de la maison après le café n'arrive-t-on pas à quelque chose de plus large que la rue actuelle ? Par ailleurs, et de mémoire, il y a tes traces de l'immeuble démoli côté magasin de modes. Le pignon que l'on y devine est-il aussi haut que l'immeuble de la photo ancienne le suggère ? Je crois que je vais aller sur place...

  • J'oubliais: pour bien comprendre les interrogations que l'on peut avoir il faut bien sûr se reporter à la photo ancienne aux trois personnages.

  • Désolée Guima, je n'ai que 58 ans. Et mes souvenirs commencent à partir de 1960. Par contre, juste en face de la poissonnerie et faisant le coin des rues Carreterie et Conduit Perrot, des rapatriés d'Algérie Madame et Monsieur Agay tenaient une épicerie. Ils étaient formidables et généreux. Je crois qu'ils étaient revenus en 1958. Pour le salon de coiffure Agricol, je n'ai que de vagues souvenirs. Mon grand-père m'emmenait faire son tiercé au bar en face la boulangerie Damian à côté des pompiers. Par contre, l'odeur de la pissotière du coin, ça je m'en rappelle !

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