Soixante-dix ans après 1 rue Grande-Fusterie
Seventy years after Grande-Fusterie street 1
 Photo Patrice Molinard (1922-2002). |
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Soixante-dix ans après 1 rue Grande-Fusterie
Seventy years after Grande-Fusterie street 1
Photo Patrice Molinard (1922-2002). |
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Commentaires
étonnement quasi quotidien, quel est l'architecte qui a laissé faire ça. On n'était pas encore en zone protégée ? et en plus les proportions sont loupées
La transformation des fenêtre du deuxième étage n'est guère plus moche que le troisième étage, qui existait déjà dans les années quarante et qui ne semble pas d'origine...
Autre malheur, entre les deux photos la niche du n°3 a été vidée !
Quant au premier étage, je pense que ses habitants préfèrent sans doute les odeurs de cuisine indienne plutôt que celles du garagiste qui se trouvait là avant.
L’étage en plus au 3 ° pas une réussite.......
Echange deux paternes électriques contre un beau et gros câble .....
On travaillait bien sûr essentiellement le bois dans le quartier des fusteries mais aussi le fer avec quelques ateliers de paumellerie, assemblages, serrurerie…Ici le garage Allemand a probablement pris la suite d’un atelier avant de devenir Europe Garage (l’Hôtel d’Europe est à côté), sous-enseigne que l’on devine juste sous le bandeau. Il n’est pas du tout évident que les résidents aient gagné à avoir un restau à la place d’un garage. La dévaluation des immeubles affectés en partie par une activité commerciale est plus importante avec un établissement de restauration (odeurs, évacuations, bruits surtout avec la réception de la clientèle jusqu’à une heure tardive) qu’avec un simple garage (forcément sans carrosserie cette activité, relevant des installations classées ne pouvant s’installer n’importe où). Ce coin de rue méritait mieux qu’un restau «exotique» et hallal comme c’est le cas aujourd’hui. Sur la façade: effectivement on est en secteur sauvegardé et cet immeuble en particulier est classé parmi ceux dont la modification et l’altération sont interdits.
Pas top les fenêtre du second et troisième étage. Je me demande si on aurait le droit de faire ça, maintenant.
La cuisine indienne, c'est mieux que de tomber en panne de voiture.
Bon wouik, Bichel !
Et la statue était encore dans sa niche !
Statue vidée de sa niche, rehausse malheureuse, tout cela est vrai.
Pour ce qui est du garage, je pense que c'était certainement une nuisance, même si elle s'arrêtait le soir. Ce resto est très bon et fréquenté par une clientèle calme. Je doute qu'il occasionne beaucoup de tapage nocturne.