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Quaranto an après carriero Fèlis Gras

Quarante ans après rue Félix Gras
Fourty years after Félix Gras street

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Lien permanent 14 commentaires Pin it!

Commentaires

  • La réclame pour le pain braisé Prior (et les biscottes), j'aurais dit il y a 50 ans...

    Les lanternes en + et les bagnoles en - c'est mieux.
    Mais la ribambelle de plots, comme autant d'embûches sur les trottoirs,
    quelle calamité pour les piétons !!

  • Rue Felix Gras ou Rue de la pizzeria à Gigi...
    Je n'ai jamais compris ou était le" Restaurant Le Louvre" avec une entrée Rue St Agricol et une sortie Rue Felix Gras ..
    Il était dans une chapelle..?
    Plus une Rue de passage qu'une Rue de commerces.....

  • Et la pizza n'est plus ce qu'elle était...
    Le restau, dans la chapelle:

    http://www.e-corpus.org/notices/103049/gallery/

    Mathieu y invitait ses potes félibres pour de grandes attablées où l'on devait un peu chatouiller les filles et beaucoup la bouteille (de Châteauneuf évidemment, avec Anselme..). Un des derniers grands repas fut donné en l'honneur de notre ami catalan Victor Balaguer, celui de La Coupo.

    Des Peugeot, le magasin Pygmalion, un des Pressing84, Prior les biscottes fabriquées à Marseille, le Dr Champion (heu, le fiston ????), des fils partout et une probable mère de harki avec son petit-fils...

  • Y a moins de fils qui se baladent. Je suis un peu comme Tilia, sans les plots cela aurait été mieux. C'est aux voitures de faire attention aux piétons des trottoirs.
    Bonne journée !

  • Moins de fils... c'est peu dire ! On les a torsadés ensemble.

    Là-bas une bonne place : voilà quarante ans qu'une voiture y stationne...

  • Les plots? Des brises chevilles (Convergence d'intérêts entre la municipalité et les ostéopathes kinésithérapeutes?)

  • Merci Michel tu me fais errer de Rues en Rues ......Apres l'avis d'anciens clients au sujet de l'Hôtel du Louvre je suis parti voir la façade du dit hôtel Rue St Agricole et j'ai pas vu grand chose( les chambres étaient soi-disant de ce côte) ...Puis la Rue Felix Gras que j'ai trouve pas mal vers sa fin Rue Petite Calade ( quelques belles façades et belles portes avec surement de très beaux jardins )
    Au sujet de la pâtisserie Gouas d’après Michel Gouas le dernier pâtissier, M Pons était du métier et le créateur

  • D'après ce que j'en sais les chambres étaient en effet sur la rue St Agricol, dans les étages de ce qui est aujourd'hui au rez de chaussée le passage d'accés à la chapelle, bordé de commerces et galeries...

    Dans la rue Félix Gras, au coin en pan coupé de la rue Petite-Calade, bel hôtel particulier dû à Jean-Baptiste Franque. C'est l'hôtel de Brancas de Rochefort, dont Joseph Girard a superbement estropié l'histoire en le situant rue J.Vernet.

    Il y a bien un hôtel de Rochefort rue Joseph Vernet, mais c'est celui construit dans les années 1770 par un autre seigneur de Rochefort, un dénommé Barbier (celui de la Barbière !), sur l'emplacement du couvent de sainte-Praxède, dont les religieuses venaient de déménager pour le noviciat des Jésuites. Auparavant, elles possédaient tout l'ilôt compris entre les rues J. Vernet, Petite-Calade, Félix Gras et St Agricol... Il reste quelques souvenirs de leur présence, un mur goutterot de leur chapelle avec des fenêtres agrandies par la Valfenière (sa soeur Suzanne était supérieure du Couvent), les infirmeries élevées dans les années 1690 par Pierre Péru - superbe escalier - , et en coeur d'îlôt, une galerie à grandes arcades que je soupçonne être un vestige du cloître reconstruit par Pierre Mignard...

    Pour mémoire, le couvent des Dominicaines de Sainte Praxède avait été l'objet d'un scandale resté fameux, à la fin du XVI°...

  • La chapelle Ste-Praxède existe encore un petit peu.
    C'est une salle de réunion de la Chambre des Métiers.

    Scandale ?

  • "Un petit peu", en effet, juste le mur du Levant, plus rien du mur opposé, ni des voûtes, du sol, des façades... et si je me souviens bien, même l'abside ne se lit qu'à travers le "creux" laissé dans le mur des infirmeries...

    Quant au scandale, il touchait au fait que l'aumonier et son assistant avaient séduit à peu près toutes les religieuses en âge de l'être... Ils étaient en fuite au moment où l'Archevêque mena une enquête, mais avaient laissé des traces de leur passage... Le relèvement du couvent fut l'oeuvre des supérieures du début XVII°, dont la soeur de l'architecte de la Valfenière...

  • A l'intérieur de la chapelle, dans les années 60, il y avait l' école de danse classique de Mme. VERA CENTOWSKA.

    A cette époque nous avions réalisé de gros travaux dans l'hôtel (tenu par Mme. et Mr. BOREL), dont l'installation d'un ascenseur.

    Les chambres donnaient rue Saint Agricol , rue Félix Gras et celle de la mansarde sur les toits environnants.

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