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Setanto an après carriero dóu Coulège de la Crous

Soixante-dix an après rue du Collège de la Croix
Seventy years after Collège de la Croix street

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Photo Patrice Molinard (1922-2002).
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Commentaires

  • Hôtel d'Honorati de Jonquerettes, mieux conservé que son voisin l'hôtel Fortia de Montréal !
    (pour les fenêtres murées en étage : je préfère de vrais trompe-l'œil)
    Dans la rue, un commerce disparu, un théâtre à la place et le double de voitures.

  • De ce coin je connais surtout le Théâtre du Cabestan (à gauche) installé dans une ancienne cartonnerie.

  • Je vous conseille à la première occasion qui se présente allez voir les plafonds de la Livrée du Vivier
    Mais la plume d'Alain B nous en dira plus....
    Quand aux commerces? il passe plus de gens en voiture que de pietons
    La bâtisse à droite qui abrite le conseil général..elle a un blason à son entrée ( ancre marine)?

  • Un coup de jeune.
    Évidemment, pour accueillir des jeunes.
    Faire une croix sur les fils du téléphone.

  • Le grand bâtiment du Conseil Général, ancien archevêché, est à l'en pas douter une extension de l'hôtel de Crillon voisin.

    Les travaux ont du commencer peu avant la Révolution par les travées méridionales (proches de l'hôtel du XVII°) élevées seulement au rez de chaussée, et se pousuivre par la galerie au Nord de la cour d'entrée, où toutes les pièces ont une couverture de voûtes splendides et variées. Mais la construction a dû finir de s'élever vers le milieu du XIX° après que cete partie inachevée ait changé de mains. C'est sans nul doute ce dernier constructeur de l'immeuble qui a laissé ses armes sur le portail.

    En fait, autant avouer que ce bâtiment fait partie de quelques-uns dans Avignon dont l'histoire est assez ténébreuse, ce qui n'est pas sans gratouiller sérieusement les chercheurs (Autres exemples significatifs : la partie Ouest de la Préfecture, résidence du Préfet sur les jardins suspendus de la place Viala, ou encore cet hôtel particulier XVII° du tout début de la Carreterie, à gauche en allant vers le centre...)

  • Non non, c'est beaucoup plus loin du centre, au tout début de la Carreterie... C'est vrai qu'elle est longue...

    Bref, au n° 132. Belle Vierge au milieu... et façade à chainages à refends, corniches, appuis et encadrements de fenêtres finement moulurés... De la belle ouvrage, magnifiquement défigurée, mais belle ouvrage tout de même... et totalement anonyme.

  • La numérotation commençant du côté centre-ville, on a plutôt tendance à appeler l'autre extrémité : la fin. Alors que c'est par là que l'on arrive...

    Le 132, oui très belle niche :
    http://perso.numericable.fr/michbenoit/NICHES/Images/132%20rue%20Carreterie_.jpg

    Dans mon enfance, j'ai fréquenté souvent l'appartement du premier étage. C'était plutôt vétuste. Les WC étaient dans l'escalier et il n'y avait pas de salle d'eau.

    Mais que s'est-il donc passé au 132 ???

  • " Mais que s'est-il donc passé au 132 ???"

    En me relisant, je vois que mon propos n'est pas évident.

    Il ne s'est probablement rien passé de particulier au 132, rue Carreterie, mais en parlant d'immeubles "à l'histoire assez ténébreuse", je voulais juste parler de ces monument qui n'ont pas de passé connu, qu'on ne peut raccrocher à un nom de propriétaire, d'architecte, ou à une date... mais qui néanmoins montrent qu'ils ont eu une splendeur, un lustre - parfois bien fané, comme ici ! Les deux autres constructions dont je parle sont de celles-là aussi...

    Au 132 rue carreterie, c'est peut-être le contraste entre la qualité (passée) du dessin et de la réalisation, et la relative rusticité du quartier à l'époque de la construction... Demeure d'un artisan qui avait fait fortune ? D'un chirurgien de l'hôtel-Dieu, concurrent de Jean de Sudre ? Le voile de l'oubli s'est fait le complice de l'absence d'archives !

    Pour l'hôtel de la Préfecture, c'est sa qualité qui est irritante, tout autant que le flou des confronts du collège voisin du Roure, qu'achète le baron de Ste Croix au début du XVIII°...

    Enfin, pour l'hôtel "étendu" de Crillon, c'est l"énormité elle-même du projet qui rend très irritante l'absence de documents... Pourtant, il ne fait aucun doute que les travées méridiionales de la construction sont liées à la bâtisse XVII°, des combles à la toiture... sans parler des circulations sous l'escalier à l'impériale... On sait qu'il y a des travaux "par là" dans les années 1786 - 1788 (expterises de Jean-Baptiste II Péru puis de Jea-Pierre Franque), on sait que François Franque travaillait pour le Comte de Crillon à Paris, rue de la Verrerie... Et c'est tout. Et ça énerve !

  • C'est étonnant, l'histoire perdue de ce splendide immeuble.
    Reste une façade bien ravalée et des cercles de lumière dessus - les extra-terrestres seraient-ils parmi nous? Je vais publier très prochainement un billet sur le sujet. Ton image ajoute de l'eau à mon moulin.

  • Heu...Autrefois il y avait en partant de la rue Georges Taulier et en remontant la Carreterie: la poissonnerie Fenateau, la petite rue du Fer à Cheval, une mercerie-vêtements, le "salon" des frères Agricol avec le fameux Emile, roi de la pétanque (et ses jolis crachoirs à chiques au sol) puis des logements tous modestes. Voire très modestes. En face il y avait Balzagette le grainetier, marchand de foin, de volailles, d'oiseaux. J'avoue n'avoir jamais trop fait attention à cet immeuble du 132. En consultant mes documents je vois, ce que je ne savais pas, qu'un escalier "intéressant" est signalé. vestige d'une construction tout aussi digne d'intérêt ? Bien mystérieux tout cela...

  • Il serait sans doute intéressant de savoir en quoi consiste cet escalier "intéressant"... s'il existe encore. Mais souvent, c'est un élément d eplus pour la datation d'une construction, et encore pour l'appréciation de sa qualité...

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