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Nounanto an après li Damo de Franço

Quatre-vingt-dix ans après les Dames de France
Ninety years years after the Dames de France

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Commentaires

  • La façade a été préservée, mais pas l'ascenseur des années 50-60, ni les ferronneries des rampes et grilles de l'escalier qui l'entourait (soupir).

  • Partout les "Dames de France" avaient installé de beaux magasins. A Valence tout a été démoli pour construire un complexe commercial multi-enseignes, des logements et un parking. Un ensemble cohérent. Ici la structure existe toujours, mais sans cohésion. Tilia a raison, il y avait de beaux escaliers et de vrais grands espaces intérieurs, c'étaient des magasins où il faisait bon flâner.

  • Une belle enseigne dans (presque) toutes les villes.

    La marquise s'est développée tout en restant élégante.
    Mais qu'est-ce donc que cet "Esprit ". Un magasin de voyance. Je sors de ma campagne et ne suis plus dans le bain.

  • Effectivement, pour ceux qui l'ont connu, il est difficile d'oublier l'ascenseur des Dames de France, ses grilles bien huilées et son fonctionnement feutré... et cet espace intérieur en mezzanine, quand j'y accompagnais ma mère je me demandais si nous n'étions pas au théâtre... bien que le côté caverne d'Ali Baba (pour moi) soit sans équivoque ! Cela ressemblait tellement peu aux boutique traditionnelles !

    Mais de nos jours les unes comme les autres sont en voie d'extinction.

  • Il existe nombre de clichés (aux Archives municipales, 18Fi 39 ou 20Fi 74 et 75) qui montrent le front continu des façades de la "première" rue de la République à cet endroit. En arrière, il existait une "ruelle publique fermée par mesure de police" qui contournait l'ancien couvent des Religieuses de Notre-Dame, (puis des Augustines, puis noviciat des frères des Ecoles Chrétiennes, puis de nos jours école maternelle des Ortolans et ancienne loge maçonnique) et revenait vers la Grande Providence rue Bouquerie (plans idem, notamment 53Fi 424).

    Au début des années 1920, la partie est-ouest de cette ruelle fut très largement agrandie et prolongée jusqu'à la rue de la République, ce qui donna naissance à la rue Pourquery de Boisserin et permit l'édification des Dames de France d'un côté, et de la SMC de l'autre - deux constructions qui nous renvoient, ou nous renvoyaient, à des volumétries et des agencements d'une autre époque... ceux en vigueur fin XIX° à Paris pour les grands magasins et les banques...

  • la SMC...la banque de mes parents!, un temple pour moi, avec son comptoir, sa verrière, ses colonnes...ses marches et sa mosaïque pour accédé à la grande salle...et la salle des coffres...et ses petites tables avec des cloisons...un décor de cinema de l'Amérique...des années 30!,
    quant aux "Dames", je me souviens de l'emplacement des rayons...c'est fou!,

  • Ce qui me reste de l'ascenseur des Dames de France était le fait, comme celui des Nouvelles Galeries, qu'il y avait toujours à bord un "liftier" pour effectuer l desserte des différents étages. Autre temps aussi...

  • je ne me souviens pas de l'ascenseur à Toulon mais de la disposition des comptoirs et puis des galeries et de l'escalier - reste que la façade et je crois un magasin au rez-de-chaussée comme ici - l'était bien situé, face à la place de la Liberté au coin de la rue descendant vers le port

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