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Cènt an après 3 e 5 carriero de la Republico

Cent ans après 3 et 5 rue de la République
A hundred years after Republic street 3 and 5

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Lien permanent 15 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Les steaks de chez André sont un peu durs à mâcher :D
    mais Hielly a réussi à maintenir le restaurant.

  • oui évidemment André ne vaut pas la taverne et les grands tabliers et le restaurant à la suite aurait pu garder le rez-de-chaussée - manque furieusement d'abreuvoir la rue de la République

  • Si la taverne, elle, est Alsacienne, en terrasse il n'y a QUE des "Alsaciens" !
    Autres temps autres mœurs...

  • J'aime bien ce temps où lorsque le photographe prend une image cinquante personnes le regardent!

  • Oui, Brigitte, elle manque furieusement d'abreuvoirs la rue de la République !

    Autres temps, autres tourismes je dirais, Pat ! (C'est nous les Alsaciens ? -`(0_o)´-)

    Vrai, Chri, on n'aime pas se faire photographier dans la rue aujourd'hui.
    Est-ce parce que les photographes sont des inconnus ?
    À l'époque, avec tout son matériel, le photographe était considéré autrement.

  • Non je voulais juste souligner qu'il n'y avait QUE des HOMMES en terrasse ;-)

  • Ah moi aussi j'avais remarqué le fait que tout le monde sur la photo regarde le photographe, ce qui est assez extraordinaire. Y avait-il une fête alsacienne ce jour-là?

    Je n'avais pas vu qu'il n'y avait que des hommes. Tous alsaciens sans doute ? L'Alsacienne, elle, devait être partie faire de la pâtisserie - ça ne lui a pas réussi : elle a fini par se faire manger par Belin puis par LU.

  • Comme les statues, les beaux cafés ont disparu. On pourrait faire le même constat pour les patisseries-salons de thé. On a voulu gommer ce pan d' Avignon pour faire moderne. C'est un peu comme si on avait honte de la réputation : "ville de plaisirs" qu' avait prise la ville. Il paraît qu ' à une époque , les austéres nîmois venaient faire la bamboula chez nous. Une ville d' esprit est elle une ville émasculée, sans cafés voluptueux, sans commerces de bouche après la fermeture des Halles, sans une patisserie digne de ce nom où trouver un baba,et le déguster dans une salle moulurée, sans la Balance avec ses bouges,ses gitans et ses filles de joie. C'est un peu comme si la ville avait voulu se refaire une virginité, mais c'est lassant une rue avec des banques, des opticiens, des marchands de chaussure,des agences immobilières et des chercheurs d' or .Imbibons-nous de Nyssen: " Ville mutiple,je te dépeuple tel l'amant qui dénude. Et tu m'allègres. Et je t'épouse. "

  • Belle évocation d'un passé révolu que je n'ai pas connu. Je suis intriguée et très interessée par les échanges entre M. Chailliol et Lou Ravi à propos de Picasso et Braque. Qu'est-ce c'est que cette histoire de passage de Braque à Morières ou Montfavet ? Je ne connaissais que le séjour à Sorgues. Merci si quelqu'un peut m'éclairer. Corinne.

  • Merci, pour ces liens. Mais ni M. Chailliol ni Lou Ravi ne nous en disent plus sur le pourquoi de Morières ou Montfavet. A Sorgues le séjour de ces artistes est trop peu signalé.

  • Je signale à tous ceux qui veulent en savoir plus sur les papiers faux-bois et leur influence sur le modernisme une conférence le 4 décembre à Sorgues du spécialiste J.P Jouffroy. L' histoire est la suivante. Picasso, coureur invétéré était parti avec la femme de son meilleur ami loin de l espagne, en Avignon. Au bout de quelques temps, il eut peur d'¨être repéré, et pensa que Sorgues était une planque plus discréte. Ayant loué une maison, il proposa à Braque de venir le rejoindre.Peut-être Braque a t'il vécu à Moriéres ou Montfavet avant de trouver lui aussi une maison à Sorgues. Enquête à suivre.
    F.C

  • Je signale à tous ceux qui veulent en savoir plus sur les papiers faux-bois et leur influence sur le modernisme une conférence le 4 décembre à Sorgues du spécialiste J.P Jouffroy. L' histoire est la suivante. Picasso, coureur invétéré était parti avec la femme de son meilleur ami loin de l espagne, en Avignon. Au bout de quelques temps, il eut peur d'¨être repéré, et pensa que Sorgues était une planque plus discréte. Ayant loué une maison, il proposa à Braque de venir le rejoindre.Peut-être Braque a t'il vécu à Moriéres ou Montfavet avant de trouver lui aussi une maison à Sorgues. Enquête à suivre.
    F.C

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