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Setanto an après carriero de la Principalo

Soixante-dix ans après rue de la Principale
Seventy years after Principale street

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Photo Patrice Molinard (1922-2002).

Lien permanent 14 commentaires Pin it!

Commentaires

  • des lampes que je n'avais jamais repérées à l'entrée, une annonce de pianos, la baie arrondie pour le charme du restaurant, et une rigole centrale
    et bien sûr toujours la grande vierge

  • c'est vrai il me semble que la bonne vierge a pris de l’embonpoint
    Et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : je n'accuse pas le St Esprit !
    y'a pas un Mc Do pas très loin ??? ou alors c'est l'âge....
    ;-DDDD

  • Les focales modernes arrondissent les angles.

    L'Ange gabriel est passé
    la bonne annonce
    Joie !
    et elle a retrouvé des (ou ses ?) couleurs.

  • La maison ayant été un grand commerce de bondieuseries, il n'est pas étonnant d'y trouver une vierge de grand taille, un peu comme une enseigne, non ?
    Ce commerce d'ornements d'églises était celui de la famille Michel, qui ont donné plusieurs pères jésuites, et dont mon arrière-grand-mère était une sœur. François Michel, né à Nantes en 1792, qui était vannier, épousa une fille d'Aramon et s'installa à Avignon au début du XIXe. Son fils, François également, le père de mon arrière-grand-mère, était doreur et habitait 20 rue Banasterie. Il avait épousé une toulousaine avec qui il eut 18 enfants dont des pères jésuites et des commerçants en religiosités dont plusieurs s'installèrent à Lyon.

  • Oui, la vierge a pris un sacré embonpoint !
    L'explication :
    1) soit Molinard a compressé sa photo,
    2) soit j'ai étiré ma photo. (Je ne m'en souviens plus... !)

  • Un commerce de bondieuseries qu'à Paris l'on dénommait "Sulpiceries" car avec de très nombreuses enseignes Place Saint-Sulpice !

  • « Je hais les tours de St-Sulpice
    « Aussi lorsque je les rencontre
    « Je pisse
    « Contre. »

    Raoul Ponchon (poète hydropathe)

  • Rien à voir dans cette portion de rue, place, à part la Vierge toujours là. C'est devenu un peu n'importe quoi. Comme Michel, j'ai pensé à une enseigne pour le magasin d'objets cultuels. (notez que je n'ai pas écrit culturels)

  • Il n'y a pas que la statue qui a pris de l'ampleur, les dimensions de tout le bâtiment qui la supporte sont plus importantes dans la photo actuelle que dans celle d'avant. On le voit bien en observant la taille des fenêtres. Encore une différence de focale, sans doute..

    @ Jeandler
    Cette statue n'est pas la seule à présenter cette teinte rougeâtre, qui semble être d'origine.
    Les vierges, rue du Limas, rue Mantel et rue des Trois Faucons, ainsi que le saint Joseph de la rue Peyrollerie, sont dans la même teinte (pour les voir dans "Le Peuple des Niches", cliquer sur la vierge en haut de cette page, dans la colonne de gauche).

  • Il y a soixante-dix ans peut-être avait-on l'esprit plus étroit et aujourd'hui plus large ?
    Ne serait-ce pas notre regard qui a changé ?
    :D)

  • je pense qu'elle semble plus grande à cause du changement de rapport de valeurs des tons entre la façade et elle
    Et je crois que tu as raison Michel c'était une enseigne ou elle en tenait lieu

  • j'y suis passée ce jour, et j'ai été étonnée de voir cette Madone. Donc je suis entrée dans la petite rue pour atterrir Place Principale. C'est vrai que nous allions a l'époque surtout du côté St Pierre et Carnot puis je suis partie. De temps à autre je reviens et je me fais plaisir en redécouvrant celle qui reste ""ma ville". le petit immeuble aussi est à restaurer , le " 4", je pense tout est à vendre dans le coin. puis l'immeuble avec les restaurants dessous,( suis très observatrice aussi)....

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