Soixante-dix ans après 2 rue Bonneterie
Seventy years after Bonneterie street 2
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Soixante-dix ans après 2 rue Bonneterie
Seventy years after Bonneterie street 2
Commentaires
des détails différent mais ce n'est rien à côté de la place derrière
Du chevreuil au crocodile...
je préfère le sac à main au gigot :)
Bien conservée cette demeure à la poutre sculptée (ou pas ?)
Dommage que Lacoste, trop clinquante, casse l’harmonie de la façade. Plutôt années 50. Pas de souvenir des immeubles rasés derrière. A gauche c’est probablement la Boucherie Centrale qui était rue du Vieux Sextier. Les commerces de bouche étaient nombreux (la preuve ici), signe d’une population tout aussi nombreuse et qui n’avait pas à faire des km pour se ravitailler. «Au Chevreuil», un trait de ruralité dans la ville…Avec ce côté «Maison» des meilleurs commerces comme ici «chez Gruat».
Cette maison, Tilia, a deux poutres sculptées :
http://avignon.midiblogs.com/archive/2010/01/26/li-fusto-escultado-8.html
L'immeuble rasé, Lou, de la place de la Principale :
http://avignon.midiblogs.com/archive/2012/04/08/cinquanto-an-apres-placo-de-la-principalo.html
Lacoste vise trop haut et mange le bas des fenêtres du premier étage. Je préfère la devanture " Au chevreuil " sans discuter.
Le nettoyage de la façade serait à refaire...
Lou la boucherie centrale serait elle celle de M galina ?Apres il y a eu Boland Sport et chez Lacoste " Hello"
Cet immeuble dont la façade fait retour vers la place de la Principale a été étudié par Michel Hayez et Jean-Pierre Locci. Je n' arrive par à retrouver l'article... ni le nom de l'hôtel (Thomas de Place ??? mais c'est pas sûr du tout).
Outre le décor particulier des fenêtres, ce qui m'a toujours captivé dans cette construction, c'est la très faible largeur des trumeaux, à l'"étage noble" la façade est toute en ouvertures... nos maçons du XVII° connaissaient leur métier, ça tient toujours....
On peut rapprocher ce style de linteaux à une maison au 38 rue de la Masse de même époque et dans un plus mauvais état encore.
Ce sont les deux seules maisons que je connaisse dans ce style.
La boucherie de Pierre Galinat était plus bas, vers les Fourbisseurs.
Hello, Hélas a fermé...Mais je crois que Martine et son mari font les marchés (?)
C'est bien l'Hôtel Thomas de Place, XVIIème. Mais je n'ai pas l'article.
Non ils se sont retires en partie sur la côte....Mais je la vois parfois le jeudi aux halles .
A l'angle de la rue vers la Principale en hauteur il y a une plaque sous verre que je n'arrive pas à lire.....
C'est peut-être Roland et non son frère qui fait les marchés. Je ne vois pas du tout où est cette plaque. En allant vers chez José le coiffeur (enfin, l'ex-coiffeur puisqu'il a arrêté) ?
C'est peut-être Roland, et non son frère, qui fait les marchés. Je ne vois pas du tout où est cette plaque. En allant vers chez José le coiffeur (enfin, l'ex-coiffeur puisqu'il a arrêté) ?
Trouvé en "plain text" sur http://www02.us.archive.org/stream/inventairesommai01vauc/inventairesommai01vauc_djvu.txt (archives de Vaucluse) :
— par demoiselle Jeanne de Carrât, femme de
Jean-Thomas de Place, pour une maison sise paroisse Notre-
Dame-la-Principale et rue de la Pelleterie-Vieille, moyennant
une redevance de 6 sous 8 deniers (17 février 1668, f° 88) ;
Voui Voui... C'est une reconnaissance au profit de l'archevêché d'Avignon.
Un droit féodal, un peu l'équivalent de notre moderne taxe foncière... 6 sous 8 deniers, ça fait 35 centimes... Il y en a encore qui croient que la pression fiscale était phénoménale sous l'ancien régime !!!!
Merci Michel de ce document... qui transite outre Atlantique pour mieux nous revenir.
Réponse à Alain Breton: C est bien Thomas de Place, article de l annuaire des amis du Palais des Papes 1979, pages 17-23
F.C