La LEO à travers la Ceinture verte !!!
The east-west highway through the Green belt !!!
La poursuite du projet de LEO doit engloutir 50 hectares de terres agricoles parmi les meilleures du Vaucluse à travers la Ceinture verte d'Avignon. Mais d'autres solutions existent...
Un collectif d'Avignonnais habitant les différentes couronnes de la ville organise demain
DIMANCHE 14 OCTOBRE dès 9h
UN MARCHÉ PAYSAN ET FESTIF
ALLÉES ST-MARTIAL
en Ceinture verte direction médiathèque Jean-Louis Barrault et Moulin-Notre-Dame
(10 mn à vélo, 20 mn à pieds depuis les remparts sud)
Commentaires
les soutiendrais de coeur - je sais ça manque d'efficacité
Nous irons cultiver en Afrique, ça fait deux jours que la presse nous rabat avec ça, que l'Afrique peut produire plus.
Les terres agricoles, peau de chagrin.
il faut vivre avec son temps!
trop de riverains de la "ceinture verte" se sont approprié ce quartier,
créant des voies sans issues par la pose de blocs de rochers!
avec l'accord de qui? la loi stipule que le libre accés aux riviéres est obligatoire.
impossible de rejoindre les bords de durance! les pêcheurs paient un permis de pêche 85€ dont ils ne peuvent plus profiter!
OUI A LA LEO
,
demain météo pourrie
Sujet délicat…Je ne suis pas fan de la LEO non plus. Mais il faut bien constater sa nécessité au regard de l’engorgement de la périphérie de la ville. Et ceux qui combattent cette liaison rapide ne se sont guère remués quand on a urbanisé et bétonné Le Pontet, Réalpanier, Avignon Sud, Montfavet, la rive gardoise sans se préoccuper des conséquences sur la circulation. Il y a seulement une trentaine d’années on avait encore une chance de bosser près de là où l’on habitait. Aujourd’hui ce ne sont que flux pendulaires sans compter avec le phénomène des grandes surfaces contre lequel je n’ai guère vu, non plus, certains se lever alors qu’il a eu un impact majeur sur «l’explosion» de la bagnole et la disparition des circuits d’approvisionnement locaux. Bien sûr il faut encourager les circuits courts, la production locale et préserver le peu de terres agricoles qui nous reste. Mais le meilleur moyen aurait été de faire en sorte que les vrais paysans puissent vivre du fruit de leur travail ce qui les aurait maintenus sur des terres qu’ils ont été peu à peu obligés d’abandonner. Il restera cependant quelques mohicans et tant mieux si des nouveaux s’installent, mais ils sont le plus souvent sur des marchés de niche et ont fréquemment un membre de la famille qui a des revenus annexes.
Les pêcheurs: ils râlent en raison de la fermeture des voies menant ou longeant la Durance. Mais ils peuvent toujours aller sur leurs lieux favoris, tel le déversoir, à pied ou à vélo, ce qui est tout de même plus écolo…Quand aux blocs et autres barrières ils sont surtout là pour arrêter, autant que faire se peut, de voir gonfler l’immense décharge bien dégueulasse que sont les bords de la Durance, les vidanges sauvages, la faune qui fréquente les abords de la centrale à béton, vers Caumont, les voitures brûlées, les installations de nomades, les voyeurs (il n’y a pas que La Barthelasse). Sans compter que la route de la digue était devenue un raccourci pratique pour se rendre à l’hôpital ou à la gare TGV mais emprunté par des caluds roulant à tombeau ouvert…Avec un accès plus difficile on pouvait penser que les pêcheurs, gens calmes et tranquilles d’ordinaire auraient apprécié…
En réponse toute amicale à Lou Ravi:
BORD DE DURANCE
PECHE REGLEMENTE
Un arrêté municipal de la ville d'AVIGNON en date du 13 juin 2009 a défini les conditions de circulation sur le "chemin de la berge de bord de Duranc (voie paliére) entre le chemin du Viaducet, le chemin de Sourdaine".
Selon l'article 1 de l'arrété, les pêcheurs peuvent utiliser pour se rendre sur leurs lieux de pêche en Durance un véhicule motorisé (voiture,moto,etc....)
Toutefois, ils doivent garer leurs véhicules de manière à ne pas entraver le passage sur le chemin de halage.
En cas de contrôle par les services depolice, la carte de pêche constitura un justificatif de circulation.
Cet arrêté dont je conserve une copie avec mon permis m'a souvent évité un PV.
Mais c'était avant qu'un comité de quartier ne fasse sien un territoire du domaine public municipal!
PS. Je tiens à disposition une copie du dit arrêté.
Pour répondre amicalement à "jeandler" je lui ferai remarquer que du pont de Rognonas ,au pont de Bompas, toutes à 2 ou 3 exceptions, toutes les terres agricoles sont en frîches.
Alors?
Je ne connaissais pas cet arrêté qui donne un droit de passage, mais pour autant qu'il y ait passage. Le fait de supprimer matériellement l'accès n'est donc pas incompatible. Le problème vient probablement du fait qu'il n'y avait que très peu de contrôle de la circulation alors que la portion était réservée aux riverains (et ayants-droits tels les pêcheurs). Dans une ville où tout le monde s'en fout on en arrive à des mesures qui pénalisent les "zonêtes gens".
Q'un comité de quartier,confisque même "matériellement" un droit de passage attribué par un arrêté, nest pas très compatible avec la loi.
Mais coupons là cette polémique.
Laisson à l'avenir de décider.
Bonne soirée à tous.
> Guima, la jachère ou les friches ? Ces terres appartiennent à quelqu'un ou sont terrains communaux ? Il y a moult années que l'on parle de la fin des terroirs...
La ceinture verte ne doit pas devenir une réserve de Mohicans ! La LEO est indispensable et elle doit se faire :!
Oui à la LEO
Je précise bien des terres agricoles en frîche et non des jachéres; qui appartiennent toujours à de vieilles familles de paysans de la Coupe d'or, du quartier Saint Gabriel,du chemin du Moulin Notre de Notre dame, de tout les petites routes qui aboutissent au chemin de la Bouquetière,chemin des Bonnes Huiles,des Cris vert............