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Cènt an après plaço dóu Clastro Sant-Pèire

Cent ans après place du Cloître St-Pierre
A hundred years after Cloître St-Pierre square

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Charles Alexandre Chartier "Place du Cloître St-Pierre" aquarelle et fusain

Merci Tilia !

Lien permanent 16 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Le platane survivant est tout à fait reconnaissable.
    Mais la maison derrière lui a perdu ses couleurs !

  • Ou comment défigurer un coin de ville et faussement l’embourgeoiser. J’avais fait le constat ici même à propos de la galerie couverte (en commentaire d’une photo de la place) et ses horribles balustres. C’est encore flagrant avec ces fenêtres trop alignées et trop grandes. (Merci aux responsables du Plan de sauvegarde qui disposent pourtant de toutes les données rue par rue ! ).
    Bravo pour le pastel de Chartier que j’étais tenté d’acheter, mais je préfère ses œuvres cubisantes.

  • C'est charmant tout cela et plein de lumière.
    Bien sûr que la balustrade faux-Grand Siècle aurait pu être aisément évité : une faute de goût. Plus, une erreur.

  • Une place qui semble pourtant avoir gardé son cachet, la preuve ici que non. Une œuvre haute en couleurs, j'aime surtout le traitement des arbres.

  • + fusain (ou pierre noire).

    Difficile de savoir si les maisons de gauche ont été démolies puis reconstruites en arrière, ou bien si c'est un effet de la perspective dû l'artiste...
    Je pencherai pour la première hypothèse.

  • Pour moi, en dehors du bâtiment aux fenêtres dispersées (souvenir moyenâgeux ?), ce qui a été démoli c'est toute la partie qui surmonte le toit de l'immeuble derrière le platane, là où il y a maintenant une véranda.
    Il y a souvent une différence de focale entre les photos d'archives et celles d'aujourd'hui, il me semble que ce doit être une différence du même genre qui joue ici entre l'aquarelle et la photo...

  • Dessin aquarellé, rehaussé peut-être...il fait parti du lot vendu le 20 octobre:
    http://www.artprecium.com/fiche-dun-lot_17.php?sid=11&oid=1836

    J'aime bien Chartier mais 250 € hors frais c'est un peu cher pour une oeuvre classique de ce peintre trop méconnu. Le platane près du charreton a disparu (?). Noter le fruit des murs, la coiffe provençale de la mamée. Suis intrigué par les touches de bleu de la maison du fond. Affiches ? Maison que l'on a aussi dotée d'une terrasse vitrée en scalpant la toiture. Me souviens pas d'avoir vu le moindre PC ou déclaration de travaux à ce sujet....

  • Faute de goût ?! Vous rigolez !... Les boulangers de la place (dont le mari travaillait à la mairie) sont fiers de leurs balustrades tout comme de leur pain d'ailleurs (beurk!)
    Beati pauperes spiritu

  • La maison Trouillas n'est plus ce qu'elle était. Quand je pense que l'on venait de loin y acheter les fameuses fougasses ! Ah, le patrimoine..Mais que fait poupée Barbie ???

  • Encore une fois, liberté d'artiste et réalité géographique ne font pas toujours bon ménage.

    Troublée par la perspective et les proportions. La distance entre le platane (bien reconnaissable) et la façade en retrait ne colle pas, comme le fait remarquer Michel.

    Sinon, faute de goût pour les balustres, certes. Sinon, la façade n'est pas si moche que veulent le dire les esprits chagrins.

    Quant à la publicité peinte (ou collée) sur la façade du fond, nous manque-t-elle tant ? Je reconnais que les quelques-unes qui restent ailleurs sont bien sympathiques...

    La boulangère a des écus, elle est propriétaire de mon immeuble.

  • Nat': On n’est pas dans Pitt Street mais à Avignon, en Provence. Et quand on a les moyens (je pense à qui vous savez) on essaie de respecter quelques règles architecturales qui participent de l’harmonie des formes (elles correspondaient parfois, en ville, s’agissant des hauteurs sous plafond à différents statuts des occupants). Notamment au dernier étage. Parmi ces règles il y a chez nous la diminution de la hauteur des ouvertures au fur et à mesure de ces étages. Pour des raisons d’économie, et de structure les ouvertures sont cependant parfois identiques. La proportion ouvertures/façades n’est pas non plus respectée ici ; les fenêtres «mangent» le mur. Regardez bien si vos hauteurs de fenêtres sont de la même dimensions que celles d’en dessous. Regardez les autres immeubles de la place des Châtaignes. C’est subtil mais au bout du compte essentiel pour la qualité architecturale d’ensemble, pour "l'oeil".
    Ceci dit Le Requin Chagrin (rue Mouffetard) est un des mes endroits favoris et j’y serai probablement jeudi soir. Mais ils ne servent pas de Victoria Bitter...

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