Cent ans après rue Plaisance
A hundred years after Plaisance Street
Charles Vionnet (1858-1923) "Avignon, rue de la Plaisance et
beffroi de l'Hôtel de Ville" ou "54 - 36 rue de la Plaisance Porte
de L'Oulle Avignon" huile sur panneau.
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Cent ans après rue Plaisance
A hundred years after Plaisance Street
Charles Vionnet (1858-1923) "Avignon, rue de la Plaisance et
beffroi de l'Hôtel de Ville" ou "54 - 36 rue de la Plaisance Porte
de L'Oulle Avignon" huile sur panneau.
Commentaires
il a agrandit la rue et fait glisser le beffroi
Pour moi le beffroi est à sa place, malheureusement caché par un cyprès.
Aussi, une lumière plus forte chez Vionnet
Du rustique charmant à l'aseptisé glacé...
E li gentouno filho d'Avignoun emé la poulido couifo !
Brave type que ce Vionnet. Il n'y a encore quelques années son ancien atelier (il devint le magasin Bouyer, tampons, plaques, timbre secs) de la rue Bancasse, en sortant du Délirium à droite avait les murs recouverts de ses peintures. Spécialiste des culs-de lampe et ex-libris Vionnet est peut-être présent chez vous, sans que vous le sachiez, dans quelques uns de vos livres anciens.
La peinture a sans doute été faite lors d'une saison plus chaude...
Avec de toutes charmantes Avignonnaises et leur jolie coiffe !
Dommage de ne pas avoir photographié la même saison, tu aurais retrouvé le débordement touffu de la glycine par dessus le mur.
Ne pas oublier que la liberté de l'artiste peut donner à un lieu un charme qu'il n'a pas forcément dans la réalité.
Dommage aussi que l'if cache maintenant le beffroi.
Joli, joli que tout ceci. De la lumière à foison, une charmante rue étroite que je serais tenté de nommer ruelle.
La glycine est devenue un peu profuse. Au printemps, si elle fleurit, une tache de mauve mais en été trop d'ombre dans cette ruelle. Ne faudrait-il pas lui apprendre la discipline à la glycine ?
Le charme de cette rue, et de bien d'autres était bien réel. Vionnet enjolive rarement mais joue parfois avec la lumière et les formes pour mieux rendre l'atmosphère des lieux. Dans l'ouvrage qu'elle lui a consacré l'amie Eliane écrit ceci: "Vionnet n'hésite pas, tout en suivant la même perspective, à modifier le dessin, à occuper différemment l'espace, créer une nouvelle architecture, diminuer le volume des maisons, abaisser la hauteur d'un mur pour laisser découvrir un paysage à l'arrière plan etc." De même je pense qu'il peuplait systématiquement ses vues de personnages, habillés presque toujours de la même façon comme l'étaient les gens du peuple.
Il y avait à l'époque un important laitier dans cette rue qui est particulièrement animée aujourd'hui pendant le Off. Le scandaleux Laurette Théâtre est là à gauche, lui qui fait payer une surtaxe téléphonique pour tout appel, y compris pour réserver...
Nathalie : Oui pour la même saison ! Mais j'étais dans les peintures...
Jeandler : Qui donc disait "Glycine sans discipline n'est que ruine de l'âme" ?
Lou : Sus au Off machine à sous !!!
Oui Bichel, ce qu'on aime dans les glycines c'est précisément leur profusion !
Oui aussi à la dénonciation des surtaxes téléphoniques. Réserver une place de spectacle devrait être gratuit.
A propos de surtaxes, j'ai découvert sur ma facture numéricable de ce mois-ci que j'avais été facturée pour un appel de 5 secondes aux îles Malouines. Surprise.
En vérifiant le numéro, je me suis aperçue qu'en composant un numéro d'appel gratuit en Australie commençant par 00 (international) 800, je m'étais trompée et j'avais composé le 00 500 ... J'ai reçu un message "le numéro demandé n'est pas attribué" mais j'ai été facturée 18 centimes pour un appel aux Malouines. Voilà dix-huit centimes tombés dans l'escarcelle d'un margoulin et ce vol restera impuni : qui va remuer terre et ciel pour 18 centimes ?