Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quatre-vint an après carriero de la Republico

Quatre-vingts ans après rue de la République
Eighty years after Republic street

774090561.jpg 

Lien permanent 13 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Il ya des décorations tout au long de la rue,
    mais les dames sont bras nus.
    Si ce n'est pas Noël, quelle fête est-ce donc ?...

  • nostalgie!!!!!!! le BAR REGINA aujourd'hui disparu (2003)mon lieu de travail pendant 25 ans........................photo d'archive très rare que je ne connaissais pas .merci Michel!!!

  • C’était quelques années avant la mort de René, sous la municipalité Louis Gros, grand maire, vrai socialiste, républicain et patriote. Depuis 1935 les autobus avaient remplacé le tramway disparu comme on le voit sur la photo (rails). Mais les employés de ces autobus continuaient, comme ceux du tram, à fréquenter le Bar Toulonnais (famille Aubrespin que notre ami aperçu dans ces comms, serveur moustachu, a connu) devenu Le Régina.
    Souvenir, en face, de la Taverne Alsacienne que son patron, Mortz venait de vendre à Hugon et Payan propriétaires de la Brasserie de Ruoms en Ardèche. Cafés, banques (mais déjà, la Banque des dépôts remplaçait le Grand Café des Négociants), cinémas participaient d’une vie commerciale animée et joyeuse malgré les difficultés des temps.
    César avait connu les grandes fêtes estivales avec gardians et chevaux. Les grandes corridas avec Pouly et Chiclanero à la Barthelasse. Il en restait encore de ces brillantes fêtes et la rue se parait alors d’oriflammes comme sur la Canebière. Fêtes du Rhône, fêtes du 7ème Génie (dans la caserne là où l’on a déposé les aigles sans les remettre en place vous devriez en faire un billet) et surtout fêtes du Vin organisées avec le concours de l’armée. Celles de 1938 furent éclatantes. Le buste de Mistral était régulièrement honoré.
    Sur la photo encore : on venait en ville tout endimanché, les mères choisissaient les tissus de leur robe chez Bouchara, les enfants mangeaient des gâteaux et des glaces de chez Fournier (souvenir aussi de la fameuse confiserie Cotte qui perdura longtemps) pendant que leur père sirotaient de ces Pernod que Jules allait permettre de devenir, juste avant guerre, des «45» en déposant la marque…

  • Où est-il passé ce respect d'autrui qui faisait que l'on "s'habillait" pour venir, ou sortir en ville ? Les tenues estivales sont particulièrement moches avec les shorts et autres bermudas. Si on ajoute les sacs à dos et chaussures de marche, on se croirait plutôt en rando qu'en ville. Nous avons gagné en confort ce que nous avons perdu en élégance. Je dirais tout de même, heureusement qu'il y a les Avignonnais pour apporter une touche d'élégance, la photo ne doit montrer que des touristes :-)

  • J'ai connu Bouchara, très jeune j'aimais déjà ces rouleaux de tissus collés les uns au autres, ou empilés, les étoffes, les couleurs, le toucher, j'ai toujours aimé ça. Il y avait d'autres magasins de tissus en ville, mais Bouchara était le plus grand.
    La disparition de ces magasins en centre ville est aussi une révélation sociétale : mondialisation, vêtements bon marché, la fabrication maison devenue au final plus chère que ces prêts-à-porter.
    Bouchara a fermé en quelle année ?
    Merci Michel pour cette belle photo d'archive.

  • Brigetoun :
    Il y a bien des choses qui ont changé...

    Tilia :
    Je n'ai pas la réponse !

    Marcpat :
    Le 26, je publie une photo du "Rich Tavern" qui devrait te rappeler quelque chose...

    Sainte-Praxède :
    Vos commentaires sont une véritable nourriture.
    Les aigles, j'y pense depuis longtemps déjà. Ça viendra sûrement un de ces jours.

    Fardoise :
    C'est curieux cette habitude des gens de s'habiller en touristes quand ils font du tourisme !

  • Lireaujardin :
    Le dernier marchand de tissus est en train de fermer en haut de la rue Bonneterie...
    Je ne sais pas répondre à ta question pour Bouchara. Je dirai fin 70 début 80 ?
    J'aimerais bien trouver une photo de l'Épicerie Parisienne qui était un peu plus bas.

  • Ce qui est amusant : le reverbère, à gauche, a conservé ses trois globes !

    Une voie réservée aux bus ? Ya bien des voitures en contravention...

  • Jeandler :
    Celui de droite aussi ! Ils sont toujours là.
    C'est un fait rue de la République : la voie de gauche est régulièrement prise par des stationnements sauvages... donc, tout le monde circule sur la voie de bus !!!
    Mais que fait la police ??? Le maire dit qu'elle n'a pas assez d'effectifs.

  • Moi aussi épatée par l'enseigne Bouchara, que j'ai connue, petite, au marché St Pierre à Paris, au pied de Montmartre. Ne savais pas qu'il y en avait un ici. Oui le prêt à porter bon marché a remplacé les tissus... Je crois que le Bouchara parisien existe toujours.

    Fardoise déçue par la tenue des touristes ? Pas moi. "S'habiller" a toujours été un calvaire pour moi. S'endimancher ? L'horreur. Vive les bonnes sandales de marche, les shorts et les sacs à dos.

    Comme Tilia intriguée par les décorations de la rue. Aimerais bien en connaitre la raison.

Écrire un commentaire

Optionnel