Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Cènt-trent'an après porto de l'Oulo encaro

Cent-trente ans après porte de l'Oulle encore
Hundred and thirty years after L'Oulle gate again
Hundertdreißig Jahre nach dem L'Oulle-Tor erneut

1727095339.jpg

4157018327.jpg

Cent-trente ans après porte de l'Oulle

Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • la couleur aidant je trouve ça moins horriblement dommage finalement

  • eh bé... heureusement que tu dis que c'est la même parce que, comme ça, au premier coup d'œil ?!?!

  • En fait, impossible de prendre le même cliché, le pont Daladier ne se trouvant pas du tout au même endroit que le pont suspendu qu'il remplace, et où le photographe Belle Epoque s'était placé.

    Sans oublier que pour affiner le cadrage la végétation moderne cache bien des choses. Mais qui se plaindrait d'un peu de verdure - en dehors de celle qui ronge nos murailles, bien entendu - ? .

  • Tilia citait récemment (7 mai) un article de Georges Brunel qui faisait observer avec raison que jusqu'au XIXème siècle, les architectes ont réparé, reconstruit et même créé les portes dans le style de leur époque - classique pour Franque et Péru, néo-gothique pour Viollet le Duc et Révoil.

    Mais depuis Pourquery de Boisserin, il n'y a a plus de style, rien que des trous.

    Ah ! oui, j'oubliais, on ne parle pas de trous, mais de brèches... tout est dans la sémantique.

  • Voilà quoi proposer pour le vote du budget participatif :
    construire un portail pour chaque brèche.

  • Merci Fédéric pour cette piqûre de rappel ! j'avais un peu oublié cette publication, c'est bien de me l'avoir remise en mémoire.
    C'est vrai qu'à 14 ans d'écart ces deux aquarelles se répondent.
    En les comparant, je viens de remarquer que dans les deux on aperçoit un plateau de balance (semble-t-il) dans l'ombre de la porte.
    Octroi ? je pense...

Écrire un commentaire

Optionnel