Cent-trente ans après porte de l'Oulle encore
Hundred and thirty years after L'Oulle gate again
Hundertdreißig Jahre nach dem L'Oulle-Tor erneut
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cent-trente ans après porte de l'Oulle encore
Hundred and thirty years after L'Oulle gate again
Hundertdreißig Jahre nach dem L'Oulle-Tor erneut
Commentaires
la couleur aidant je trouve ça moins horriblement dommage finalement
eh bé... heureusement que tu dis que c'est la même parce que, comme ça, au premier coup d'œil ?!?!
En fait, impossible de prendre le même cliché, le pont Daladier ne se trouvant pas du tout au même endroit que le pont suspendu qu'il remplace, et où le photographe Belle Epoque s'était placé.
Sans oublier que pour affiner le cadrage la végétation moderne cache bien des choses. Mais qui se plaindrait d'un peu de verdure - en dehors de celle qui ronge nos murailles, bien entendu - ? .
Tilia citait récemment (7 mai) un article de Georges Brunel qui faisait observer avec raison que jusqu'au XIXème siècle, les architectes ont réparé, reconstruit et même créé les portes dans le style de leur époque - classique pour Franque et Péru, néo-gothique pour Viollet le Duc et Révoil.
Mais depuis Pourquery de Boisserin, il n'y a a plus de style, rien que des trous.
Ah ! oui, j'oubliais, on ne parle pas de trous, mais de brèches... tout est dans la sémantique.
Voilà quoi proposer pour le vote du budget participatif :
construire un portail pour chaque brèche.
Les avignonnais sont invités à déposer leurs projets pour la 5e édition du budget participatif du 15 mai au 15 juin 2024.
https://www.avignon.fr/toutes-les-actualites/actualite/budget-participatif-2024
On est pile-poil dans le créneau !
Aux archives, il y a une aquarelle de Jean-Baptiste Brunel représentant la porte d' l'Oulle avant sa démolition (d'après lui en Septembre 1900) :
https://archives.avignon.fr/4DCGI/Web_VoirLaNotice/34_01/2Fi184/ILUMP28107
Michel nous avait déjà montré celle-ci : http://avignon.hautetfort.com/archive/2022/06/16/jan-batisto-brunel-6387308.html
de 1886, où la paysanne rentre en ville au lieu d'en sortir...
Merci Fédéric pour cette piqûre de rappel ! j'avais un peu oublié cette publication, c'est bien de me l'avoir remise en mémoire.
C'est vrai qu'à 14 ans d'écart ces deux aquarelles se répondent.
En les comparant, je viens de remarquer que dans les deux on aperçoit un plateau de balance (semble-t-il) dans l'ombre de la porte.
Octroi ? je pense...