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des voitures et les chaussures Charles... il reste la forme de la place
On peut regretter la diversité des carrosseries à cette époque
mais pas la prolifération des voitures en stationnement !
c'était signe de bonne santé économique, ce fut aussi le temps où l'espérance de vie a le plus progressé ;-)
Perso je me rappelle de cette période très prospère. Beaucoup de petits magasins les halles et les commerces drainaient une bonne partie de la région. Merci aux grands centres, aux zones non taxées, qui ont vidé le centre ville. Surtout ne parlons pas de la catastrophique circulation que nous vivons actuellement (une heure montre en main pour Morières / place Pie).
Au lieu de chercher et mettre en œuvre des solutions efficaces, les différentes communes du Grand Avignon se réfugient dans l'esprit de l'écologie punitive, celui qui rend coupables ceux qui résident à distance de leur lieu de travail et ne pense qu'à leur empoisonner la vie !
On imagine sans peine la conversation tenue au service voirie, dont le chef rentre du Conseil municipal :
- Notre projet pour le quartier des Limaces est retoqué !
- Vous pensez, chef, 70 m. de voie quasi rectiligne, ça ne pouvait pas passer !
- On a pourtant disposé le maximum d'obstacles dans la voie principale, stops, dos d'ânes et zigzags entre les voies de bus et les arrêts, sans parler d'un bon réseau de sens interdits qui obligent à emprunter l'artère la plus encombrée... J'y perds mon latin.
- Y'a pourtant une solution, chef...
- Oui ?
- Facile, chef... vous voyez l'impasse qui débouche au milieu de nos 70 m. ? Il n'y a qu'à y mettre un feu rouge. Bien réglé, évidemment : 10 secondes de temps de passage pour la rue, 50 s. pour l'impasse.
- Ah oui... ce n'est pas mal pensé. Vous irez loin !
- Loin ? Peut-être, chef, mais pas très vite....
Plus minérale de nos jours certes, mais tout de même plus esthétique.
votre commentaire me fait penser à "Mort à Venise" d'autant que de près c'est dégueulasse et que le soir c'est la zone :-)
au vu des commentaires, la nostalgie a de beaux jours devant elle
Commentaires
des voitures et les chaussures Charles... il reste la forme de la place
On peut regretter la diversité des carrosseries à cette époque
mais pas la prolifération des voitures en stationnement !
c'était signe de bonne santé économique, ce fut aussi le temps où l'espérance de vie a le plus progressé ;-)
Perso je me rappelle de cette période très prospère. Beaucoup de petits magasins les halles et les commerces drainaient une bonne partie de la région. Merci aux grands centres, aux zones non taxées, qui ont vidé le centre ville. Surtout ne parlons pas de la catastrophique circulation que nous vivons actuellement (une heure montre en main pour Morières / place Pie).
Au lieu de chercher et mettre en œuvre des solutions efficaces, les différentes communes du Grand Avignon se réfugient dans l'esprit de l'écologie punitive, celui qui rend coupables ceux qui résident à distance de leur lieu de travail et ne pense qu'à leur empoisonner la vie !
On imagine sans peine la conversation tenue au service voirie, dont le chef rentre du Conseil municipal :
- Notre projet pour le quartier des Limaces est retoqué !
- Vous pensez, chef, 70 m. de voie quasi rectiligne, ça ne pouvait pas passer !
- On a pourtant disposé le maximum d'obstacles dans la voie principale, stops, dos d'ânes et zigzags entre les voies de bus et les arrêts, sans parler d'un bon réseau de sens interdits qui obligent à emprunter l'artère la plus encombrée... J'y perds mon latin.
- Y'a pourtant une solution, chef...
- Oui ?
- Facile, chef... vous voyez l'impasse qui débouche au milieu de nos 70 m. ? Il n'y a qu'à y mettre un feu rouge. Bien réglé, évidemment : 10 secondes de temps de passage pour la rue, 50 s. pour l'impasse.
- Ah oui... ce n'est pas mal pensé. Vous irez loin !
- Loin ? Peut-être, chef, mais pas très vite....
Plus minérale de nos jours certes, mais tout de même plus esthétique.
votre commentaire me fait penser à "Mort à Venise" d'autant que de près c'est dégueulasse et que le soir c'est la zone :-)
au vu des commentaires, la nostalgie a de beaux jours devant elle