En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
un aussi joli nom que ses armes
et grand donataire aux Célestins - me plait
Curieuse de connaître la source du blasonnement, pas trouvé trace de ce généreux chanoine sur la toile...
On ne trouvera pas ce blason sur la toile.
Et je n'ai pas mes livres sous la main durant les fêtes.
Peut-être Alain Breton pourra citer des sources...
Parfaite illustration du fait que tout ne se trouve pas sur la toile (sans parler de la qualité de ce que l'on y trouve...).
Michel, tu as cité toi-même indirectement la source : le manuscrit du Père Nicolas Malet, historiographe du couvent des célestins d'Avignon au XVIIème siècle, et "ex-prior", non pas d'Avignon, mais de Vichy (Ah tiens ! Vichy Célestins !) comme j'ai eu l'occasion de le préciser il y a... quelques lustres.
Et la partie héraldique du manuscrit de Malet, passablement confus au demeurant, a été publiée en 1982 par Georges de Loye, en son temps conservateur du Musée Calvet, dans les Mémoires de l'Académie de Vaucluse. Bien entendu, une partie des blasons dessinés par Malet a disparu de l'église des Célestins, sans parler de ceux qui étaient dans d'autres parties du couvent encore moins respectées que l'église.
Commentaires
un aussi joli nom que ses armes
et grand donataire aux Célestins - me plait
Curieuse de connaître la source du blasonnement, pas trouvé trace de ce généreux chanoine sur la toile...
On ne trouvera pas ce blason sur la toile.
Et je n'ai pas mes livres sous la main durant les fêtes.
Peut-être Alain Breton pourra citer des sources...
Parfaite illustration du fait que tout ne se trouve pas sur la toile (sans parler de la qualité de ce que l'on y trouve...).
Michel, tu as cité toi-même indirectement la source : le manuscrit du Père Nicolas Malet, historiographe du couvent des célestins d'Avignon au XVIIème siècle, et "ex-prior", non pas d'Avignon, mais de Vichy (Ah tiens ! Vichy Célestins !) comme j'ai eu l'occasion de le préciser il y a... quelques lustres.
Et la partie héraldique du manuscrit de Malet, passablement confus au demeurant, a été publiée en 1982 par Georges de Loye, en son temps conservateur du Musée Calvet, dans les Mémoires de l'Académie de Vaucluse. Bien entendu, une partie des blasons dessinés par Malet a disparu de l'église des Célestins, sans parler de ceux qui étaient dans d'autres parties du couvent encore moins respectées que l'église.
Belle patine !
Joyeux Noël Bichel !