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Un exemple parmi tant d'autres des tribulations dans lequelles nous sommes plongés depuis que la pandémie est venue s'ajouter au dérèglement climatique...
Cela arrive lorsque celui qui est responsable de l’affichage n’est pas celui qui est responsable de la bonne marche de l’accueil.
Du temps où j’étais en activité, mon administration avait développé, pour l’accueil du public, un concept du « chemin de l’usager » (à faire régulièrement pour détecter ces anomalies) et j’ai signalé plusieurs fois certaines incohérences dans l’affichage destiné au public, afin que mes collègues responsables du service concerné puisse y remédier…
La plupart me remerciaient et faisaient rectifier, sauf un qui n’a même pas compris pourquoi je venais l’emmerder dans SON service ;-)
Il y a un certain nombre de services publics que le public dérange...
Exactement, Alain…
J’ai été prof et certains collègues étaient en mode « ce serait tellement bien sans les élèves » (à quoi je faisais remarquer que sans élèves nous aurions été juste au chômage)…
Ensuite j’ai bossé dans les services du ministère de l’Interieur, où j’ai vécu l’anecdote citée plus haut. Et bien d’autres assez croustillantes…
Les voies de l'administration sont impénétrables...
Personnellement j’ai pénétré l’administration et j’y ai été dans l’encadrement durant plus de 40 ans jusqu’à ma retraite…
L’administration est faite d’hommes et de femmes.
J’ai passé près de 30 ans dans différents services préfectoraux où j’ai expliqué à mes collaborateurs mais aussi à mes supérieurs lorsque ça partait en sucette que cette administration où le plus con se voit récompensé n’est pas une fatalité et que si on est d’accord que ce n’est pas l’administration qu’on veut on a le pouvoir de faire autrement.
Avec les préfets ou sous-préfets, j’ai ainsi « vendu » plusieurs fois ma solution qui était en rupture avec les pratiques courtelinesques et j’ai pu poser ma pierre pour une administration que j’appelle plus moderne.
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Un exemple parmi tant d'autres des tribulations dans lequelles nous sommes plongés depuis que la pandémie est venue s'ajouter au dérèglement climatique...
Cela arrive lorsque celui qui est responsable de l’affichage n’est pas celui qui est responsable de la bonne marche de l’accueil.
Du temps où j’étais en activité, mon administration avait développé, pour l’accueil du public, un concept du « chemin de l’usager » (à faire régulièrement pour détecter ces anomalies) et j’ai signalé plusieurs fois certaines incohérences dans l’affichage destiné au public, afin que mes collègues responsables du service concerné puisse y remédier…
La plupart me remerciaient et faisaient rectifier, sauf un qui n’a même pas compris pourquoi je venais l’emmerder dans SON service ;-)
Il y a un certain nombre de services publics que le public dérange...
Exactement, Alain…
J’ai été prof et certains collègues étaient en mode « ce serait tellement bien sans les élèves » (à quoi je faisais remarquer que sans élèves nous aurions été juste au chômage)…
Ensuite j’ai bossé dans les services du ministère de l’Interieur, où j’ai vécu l’anecdote citée plus haut. Et bien d’autres assez croustillantes…
Les voies de l'administration sont impénétrables...
Personnellement j’ai pénétré l’administration et j’y ai été dans l’encadrement durant plus de 40 ans jusqu’à ma retraite…
L’administration est faite d’hommes et de femmes.
J’ai passé près de 30 ans dans différents services préfectoraux où j’ai expliqué à mes collaborateurs mais aussi à mes supérieurs lorsque ça partait en sucette que cette administration où le plus con se voit récompensé n’est pas une fatalité et que si on est d’accord que ce n’est pas l’administration qu’on veut on a le pouvoir de faire autrement.
Avec les préfets ou sous-préfets, j’ai ainsi « vendu » plusieurs fois ma solution qui était en rupture avec les pratiques courtelinesques et j’ai pu poser ma pierre pour une administration que j’appelle plus moderne.