Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Hyacinthe Libelli

1876719246.png

2990513764.jpg
D'après une photo d'Alexandre Bretinière. Merci !

 

Hyacinthe Libelli (1616-1684), 38ème vice-légat d'Avignon de 1672 à 1673 et 18ème archevêque d'Avignon de 1673 à 1684.
Coupé d'azur et d'or au lion coupé d'or et d'azur ; à la fasce de gueules chargée de trois étoiles d'or brochant sur le tout.
Notre-Dame-des-Doms, sur le mur du jardin et au plafond de la chapelle de la Résurrection dite chapelle Libelli, due à l'initiative de l'archevêque Libelli et construite par l'architecte François Delbène de 1677 à 1682.

Pour en savoir plus... (5 pages)

Lien permanent 19 commentaires Pin it!

Commentaires

  • oh qu'elles me plaisent ces armes ! un côté (je sais, sans aucun doute pas désiré mais) farceur

  • Le cliché de droite est clairement la clef de voûte du dôme de la chapelle de la Résurrection à la Métropole.

    Mais l'autre, où est-ce ?

  • Alain, ce n'est pas de vous de ne pas bien lire les notes (sous les photos, après la description des armes) !

  • Oooops ! En effet, réponse avant même la question.... donc tout tourne autour de la chapelle, dedans comme dehors....

  • Bon, pour me faire pardonner de cette impardonnable bévue, voici un portrait pas très connu de Hyacinthe Libelli :

    https://imagizer.imageshack.com/img924/9430/CNUqDU.jpg

    Ce qui me permet de transformer l'essai en un gentil quizz : où est conservé ce portrait ?

  • Oui Tilia, c'est vrai ! Ceci dit, je ne suis pas encore convaincu par ce système de réponse au commentaire car on perd la chronologie, d'autant que souvent, on répond spontanément dans un nouveau commentaire.

    En ce qui concerne la queue du lion, j'en ai vu un peu dans tous les sens et je n'ai pas encore trouvé de description en tenant compte. Donc pas grand-chose à en dire.

  • J'essaie sagement de répondre au bon endroit, mais c'est vrai que l'arborescence des question-réponse-remarque annexe-réponse-rebifurcation-etc. n'est pas toujours facile à suivre.
    L'emplacement du portrait ? Je ne le "sens" ni à Avignon ni dans une grande institution. Peut-être dans un bureau de la sous-préfecture de Carpentras, ou dans une sacristie.
    Qu'y a-t-il d'écrit sur le papier que tient notre homme-au-lion ? "M.°(onseigneur) Hy(acinthe) Libelly ordinis pred.(icatorum)" ? Donc c'était un dominicain ?
    Si je relie tout ça, je place le tableau dans le bureau du supérieur d'un couvent dominicain encore en activité, le plus proche que j'ai trouvé étant rue de la Tête-d'Or (au sud du parc d'itou) à Lyon.
    c.q.f.d., ou approchant !

  • Jusqu'ici tout le monde à commenté sous ma remarque à propos de la queue "contournée" du lion,
    mais on dirait que le sujet du blason n'intéresse personne, pas même Michel Benoit ce qui m'étonne un peu...

  • Mea culpa, Tilia, c'est mon message initial qui n'a pas été bien positionné... décidément, il y a des jours comme ça...

  • Bon, finalement, Frédéric, c'est un peu l'arroseur arrosé car le fait que Libelli ait été Dominicain est précisé dans l'étude de restauration de la chapelle (notice du Chanoine Bréhier, recteur de la Métropole).

    Ceci étant, ce n'est pas du côté des dominicains qu'il faut chercher le lieu de conservation de ce tableau, mais plutôt de l'autre côté du Rhône, tout en restant dans le ressort de l'ancien diocèse d'Avignon...

  • Je n'avais pas eu le courage de me lancer dans la lecture annoncées des 5 pages... (dans la notice du Chanoine Bréhier, il parle d'un manteau "de chur" rouge, késako ?)(et est-ce que le titre de recteur de la Métropole a remplacé celui de doyen du chapitre ?).

    Je troque ma proposition de sacristie pour la section "moderne" (XVII°-XVIII°) du musée Pierre-de-Luxembourg, y'a la même ambiance encaustiquée.

  • @Alain : En quatrième page du dossier sur la restauration de la chapelle de la Résurrection mis en lien par Michel, dans le texte de Julie Tugas sur la statuaire, il y a une note qui cite un article des Mémoires de l'Académie de Vaucluse de 1984...

  • Oui dans cet article de 1984 je concluais, preuves à l'appui, que les deux sainte Marthe et sainte Marie-Madeleine qui ornent les deux niches en regard dans le narthex de la Métropole, étaient en fait deux des Vertus sculptées par Jean Péru pour le tombeau de saint Bénézet aux Célestins. Vertus "travesties" au moyen de quelques modifications mineures, notamment en plaçant dans leurs mains des accessoires ou attributs (pot à onguent pour Madeleine, goupillon pour Marthe).

    Et je pense également qu'une troisième Vertu se trouve dans la chapelle de la Résurrection - celle-là est restée les mains vides, comme toutes devaient l'être à l'origine. De nos jours identifiée comme une "sainte Marie Madeleine", ce qui est un peu osé vu l'absence d'attributs. Néanmoins, les autres statues présentant des témoins de la Résurrection du Christ (Pierre, Jean, Thomas...) il était naturel que le seul personnage féminin de la série soit assimilé à la sainte myrophore.

    .On ignore où a pu passer la quatrième Vertu que Péru avait sculptée en 1693. Peut-être déjà détruite aux Célestins au début de la Révolution...

    Bon ... Et comme il se fait tard, on va dire que le portrait de Hyacinthe Libelli se trouve dans l'église de Roquemaure.

Écrire un commentaire

Optionnel