Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Lou proujèt de 1838

Le projet de 1838
The 1838 project

3797131075.jpg

Projet de jardin au Rocher des Doms, 1838. AMA 53Fi260.

Lien permanent 6 commentaires Pin it!

Commentaires

  • je lis assez mal mais il me semble que les rampes sont les mêmes, qu'il n'y a pas de pièce ni de grand escalier menant du rocher/lac absent au point de vue

  • A l’époque de ce dessin, les aménagements du Rocher n’en étaient qu’à leur début, après les destructions révolutionnaires qui avaient entraîné la disparition de la Tour du Chapitre et de la chapelle Sainte-Anne avec son enclos.

    On note bien que la rampe qui part de sous la Croix de mission, passe devant la porte flamande du Petit-Palais et revient vers le portail de la Cathédrale est dite « rampe neuve », pendant que sa continuation vers le sommet de l’esplanade du Rocher est dite « non achevée ». Néanmoins, le tracé de cette dernière partie semble peu différent de ce qui existe.

    Par contre, les rampes doubles tournées vers la nef de la cathédrale ne sont même pas esquissées, preuve que ce dessin ne les envisageait pas encore… sauf sous la forme de cette curieuse alternance de points et de traits, que l’on retrouve d’ailleurs en maints autres endroits de la feuille, et où j’aurais tendance à voir des arbres séparés par des bancs de pierre…. Mais je peux me tromper !

    Pour le reste, la vaste dépression qui règne à l’est du Rocher (Trou des Masques) est bien présente, je pense qu’elle aura survécu jusqu’à l’aménagement début XXème des réservoirs de la ville.

    En fait, le Rocher nous apparait ici comme une vaste esplanade pelée, ce que confirme un fabuleux cliché postérieur de 20 ou 25 ans, et publié ici même :
    http://avignon.hautetfort.com/archive/2019/07/06/lou-roucas-di-doms-vers-1860-6162377.html#article-comments

    Pour finir, n’oublions pas tout les vestiges disparus portés sur ce plan : moulin, oratoire et cimetière sur le sommet, et une glacière au pied des escaliers de Sainte-Anne. Et ce document confirme également que la maison presbytérale qui nous a occupés il y a quelques temps n’était pas encore construite en 1838.

  • l'hospice des insensés....
    les appellations de l'époque résonnent bizarrement à nos oreilles d'aujourd'hui

  • Je trouve, LB, qu' "hospice des insensés" était beaucoup plus respectueux de l'humain qu' "asile de fous" !

  • oui, c'est vrai qu'hôpital psychiatrique n'est pas non plus très joli comme nom (mais il doit bien exister un acronyme incompréhensible et donc "insensé")

Écrire un commentaire

Optionnel