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  Après une proposition de Patricia Jalade-Ricci,
  puis de Tilia et ses repérages.
  Merci !

Lien permanent 21 commentaires Pin it!

Commentaires

  • j'ai pensé à un gratte semelle (enfin à des... mais justement certains semblent trop hauts pour cela !

  • oui en cliquant ça se confirme très, très nettement... et c'est toujours entre des ouvertures, au dessus d'une bande de mur nu - une fixation pour quelque chose qui serait plaquée contre le mur, non c'est idiot ... vois pas pourtant v'est certainement fait pour maintenir

  • Un repose pigeon ;-)

    Peut-on savoir si les photos ont été prises dans la même rue, le même quartier et/ou s'il en existe beaucoup d'autres IM ?

  • Tilia en a répertorié 37.
    Il n'y en a qu'un seul par maison.
    Il y en a parfois plusieurs dans la même rue.
    Guima qui propose que ce soit un support pour une boite de dérivation électrique a peut-être bien la bonne réponse.

  • Une idée comme une autre:
    remonte à la première électrification servait à reposer une boite de "dérivation"

  • Très bonne piste ! J'y avais pensé aussi ;-) mais pour bien comprendre, si c'était une pratique systématique, associée à l'arrivée de l'électrification en ville, on devrait en retrouver beaucoup plus, non ?

  • L'idée de Guima, comme l'a dit Michel, est fort pertinente.
    Au fil de mes repérages dans Street View, j'ai aussi fini par penser à un lien avec les fils électriques qui courent sur les façades.

    Pour la plupart de ces supports (appelons les ainsi, vu qu'il y a de fortes chances que ce soit là leur fonction) leur emplacement va dans ce sens, car on les trouve juste au-dessus du bandeau séparant le premier du deuxième étage, là où se trouve justement les fils électriques.

    Ces supports sont presque toujours placés en bout de façade, à la limite avec un autre immeuble, et très exceptionnellement en milieu de façade.

    Par ailleurs, lorsqu'il y a plusieurs supports dans une rue (par exemple rue Thiers, rue Bonneterie, rue des Lices, rue J. Vernet) les supports se trouvent TOUS du côté des numéros pairs de la rue.
    Sur quarante-trois supports recensés (et mes repérages sont loin d'être terminés !) seuls les deux des 7 et 9 rue St André (avant dernière rangée dans les photos de Michel) font exception.

    Guima pourra peut-être expliquer pourquoi c'est toujours le côté PAIR de la rue qui présente ces supports...


    Autres exceptions notoires, par rapport à l'emplacement du support sur la façade :
    - très excentrique par sa position sous le toit, celui du 5 rue Joseph Vernet :
    https://goo.gl/maps/DYaK8Y4iTqmz3mqK7

    - sur l'appui d'une fausse fenêtre, celui du 16 rue Ledru Rollin :
    https://goo.gl/maps/KRGYi8bi8DgkwSPH6

    - juste au-dessus d'une porte, celui du 26 rue Guillaume Puy :
    https://goo.gl/maps/aiWb8PFK8csDFKWt9


    Autre exception, cette fois par la forme du support, en partie à claire-voie (et peint en blanc) celui du 42 rue Joseph Vernet :
    https://goo.gl/maps/wim9RF5uu2Stoghq8


    Que pensent les spécialistes de tout cela ?

  • Merci Tilla !!!
    Passionnante cette énigme, d'autant que le côté pair des "appliques" renforce le mystère...
    Ne pourrait-on imaginer que, loin d'accueillir des boitiers de dérivation électriques (qui d'ailleurs ne s'y trouvent pas logés la plupart du temps), ces barres métalliques serviraient à obstruer (de manière non-définitive) un trou de raccordement initialement prévu pour accéder à l'intérieur de l'habitation. On aurait peut-être la trace d'une forme ancienne de raccordement téléphonique, d'abord et uniquement envisagé du côté pair de chaque rue...
    Hypothèse que je livre bien sûr à votre sagacité et qui est prête à être démontée ;-)

  • Il faut remarquer que ces pièces métalliques ne sont pas simplement en forme d'agrafe, mais sont des cornières ouvertes vers le haut. Tout à fait dans l'optique d'accueillir un boitier.

  • en tout cas oui ça me parait juste Bravo

  • Une autre idée que j'ai eu au sujet de ces "supports" :
    lors de la pose des premiers câbles électriques en façade des immeubles, ces supports pouvaient servir à maintenir le câble à une extrémité de la façade pendant que le technicien le déroulait et le fixait au mur au fur et à mesure de sa progression vers l'autre extrémité de l'immeuble.

    Mais je pense que la fonction de support de boîte de dérivation est plus plausible...

  • Je n'ai fait qu'une suggestion, je n'ai aucune connaissance en branchements électriques publics

  • Bien sur on ne peut exclure l'hypothèse du raccordement, mais les premières installations étaient aériennes, il y avait des fils qui se croisaient dans toute la rue, ils arrivaient sur les isolateurs en verre sur potence que lon peut encore voir sur certaines des photos. Cela ne fait pas avancer le schmilblick malheureusement.

  • Bonjour à tous,
    Je confirme l'intuition de Guima, je n'ai aucune connaissance en électricité mais j'ai découvert l'un de ces supports encore garni de sa boite rue Figuière, à gauche et en haut de la porte de l'ancien institut américain. Cela ressemble bien à une boite de dérivation électrique, des fils y entrent et en sortent et doivent être d'origine. Une autre à peine différente (le support n'est fait que de deux pièces se trouve en bas de la rue Rappe.
    Pardon à tous s'y j'ai dévoilé un peu le mystère, l'idée d'une énigme car seul le coté pair des rues en était doté me plaisait bien !

  • Merci Michel pour cette confirmation !
    On peut imaginer que dans une rue, les boites soient toutes du même côté de la rue pour une question de facilité de passage des fils. Ce pourrait être du côté impair également.

  • Pour Hervé Aliquot hélas je sais, sa compagne était une de mes collègues. J'ai travaillé à Utopia, au tout début. Je n'ai pas suivi l'histoire de l'institut.

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