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Mai que cènt an après carriero Jóusè-Vernet

Plus de cent ans après rue Joseph-Vernet
More than hundred years after Joseph-Vernet street

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Commentaires

  • le mur décrépit est remplacé par une grille, un, bâtiment neuf a été construit au fond du jardin faisant la liaison, et au premier plan, sur la rue, c'est tellement restauré que me demande si ce n'est pas neuf

  • L'absence d'ouverture, hors la petite porte de service portant inscription (?) plus affiche (?), signifie-t-elle le maintien du jardin derrière le mur, dans la propriété de l'ancien couvent de Sainte-Praxède ? A l' époque de la photo l'hôtel (devenu Collège littéraire puis Chambre de Métiers) appartient toujours à la famille De l'Espine. Tout à fait à droite, avant le rachat par le conseil général, il y avait un dépôt de Barles (matériaux, briques et tuiles) puis on a connu le garage (avec station de carburant) Régina dont je ne sais s'il avait un rapport avec l'hötel ou le bar.
    A gauche, probablement, l'Institution Joseph Vernet puis, avant l'Oratoire, la guérite des bureaux militaires.
    Exit la grande fonderie d'Avignon (entrée principale rue Vernet ex-Calade) qui occupait tout le quartier Annanelle-Victor Hugo et qui a fermé ses portes une cinquantaine d'années avant. Charreton probablement à bras, rue quasiment vide, sans crottin (nettoyée ou peu roulante à cheval ?).

  • Rue déserte, aucun "équipement urbain" genre éclairage au gaz voire électrique... le cliché doit remonter aux années 1880 si ce n'est plus. Mais bien peu d'éléments pour une datation précise !

    Pour le mur, il fermait effectivement le jardin s'ouvrant au midi de l'hôtel Barbier de Rochefort, construit après 1770 sur l'emplacement du couvent de Ste Praxède (les religieuses avaient vendu leurs bâtiments de la rue Calade l'année précédente, lorqu'elles s'étaient transportées dans l'ancien noviciat des Jésuites qu'elles venaient de racheter).

    Les photos aériennes de 1926 aux années 50 montrent un jardin à la française, avec un bel ovale central de gazon. Le mur oriental du jardin était celui de la chapelle gothique du couvent, dont il constituait (et constitue encore) l'unique vestige. Au lendemain de la guerre, on voit apparaître dans un second jardin sis au midi du premier, le grand hangar qui fut le garage dont parle Lou Ravi (façade sur la rue Joseph Vernet, faîtage perpendiculaire à la voie).

    Enfin, les clichés de 1964 montrent les travaux entrepris pour transformer les lieux en "centre iittéraire universitaire".

  • Quelle idée farfelue d'aller installer la CM en plein centre ville, sans possibilité de stationnement.
    Elle était très bien Bd. Saint Roch avec un parking.
    A déménager choisir Agroparc ,où toutes les activités se regroupent.
    A la limite la ZI de Courtine ou de Fontcouverte !

  • Pour rebondir sur le commentaire de Guima, qui dénonce le manque de places de stationnement, je pense au parking de l'Oratoire dont la sortie piéton se trouve rue du Rempart de l'Oulle, non loin de la Chambre des Métiers en empruntant le passage de l'Oratoire, mais j'en ignore le tarif !....

  • Il devait, Guima, y avoir un parking dans la cour.

    Il y a un accès piéton, Tilia, au numéro 28 de la rue Joseph-Vernet !

  • Comme Alain Breton je serais tenté de dater ce cliché bien avant 1900. Mais ne voit-on pas sur la façade de l'hôtel, au-dessus et au droit des deux passantes, juste sous la génoise, une accroche métallique avec isolateurs ? Elle paraît identique à d'autres vues dans la même rue pour des photos "1900" en particulier celles prises pour des Fêtes de la Mi-Carème. Toutefois je ne vois ni fils ni d'autre potence plus loin...Si quelqu'un a une meilleure vue que moi...

  • intriguée par le graphisme de l'affiche qui figure sur le mur, je dirais 1910 (ou approchant) ;-)

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