Quatre-vint-dix ans après 86 avenue Pierre-Sémard
Ninety years after Pierre-Sémard avenue 86
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Quatre-vint-dix ans après 86 avenue Pierre-Sémard
Ninety years after Pierre-Sémard avenue 86
Commentaires
c'est peut être toujours aussi sympathique pour les gens du coin, mais là il n'y avait personne pour poser, pas de table dehors (il semble que le trottoir soit devenu trop étroit), alors ça ne se voit pas
Oui, le trottoir est trop étroit hélas.. !
I like the chocolate cafe in the first photo
C'était quand même mieux avant.
On peut en déduire que ce sont des cheminots, du moins en partie...
C'est toi Guima qui a dit dès le début "Rotondes". Et par rapport à ta proposition sur Streetview, il m'a suffi d'aller voir quelques maisons plus avant.
il fait toujours bar tabac
les fenêtres ont changés d'aspect cet arrondi n'est pas , à mon avis, du meilleur goût.
http://www.pagesjaunes.fr/cartographie/360?bloc_id=043270099200000000C0001&no_sequence=0
Superbes ces photos anciennes. Je pense que la vente de tabac ne s'y fait plus (licence vendue ou retirée ?). La façade a été modifiée après les tirs (depuis l'extérieur) qui ont tué une personne dans l'établissement il y a quelques années (règlement de comptes). Comme le soulignait André Breton les débits de tabac(s) sont plus faciles à repérer que les autres commerces, mais ici c'étaient surtout les éléments de la façade et la présence du passage à droite qui étaient déterminants. Ce quartier n'est plus du tout ce qu'il était à la grande époque des ateliers des Rotondes. Exit les cheminots et la classe ouvrière. Seul doit subsister le Club des Cheminots (CGT). Le local de la Jeunesse Communiste lui est fermé depuis belle lurette...Hallal, kébabs, "Epicerie" (!) de nuit, etc. Seul Poirmeur est peut-être encore là.
PS: La Ruée vers l'Or: ce que m'avait dit le père Delorme c'est que lui ou un de ses amis s'étaient déguisés en clodo identique (avec landau) à celui de la photo. Il faudrait lui montrer cette photo pour savoir s'il la connaissait.
Je ne sais pas si André Breton s'occupait des débits de tabacs...
Il n'en demeure pas moins que la "stabilité" de ces établissements, qui vaut celle des boulangeries, est surprenante ! En effet, une licence tabac / débit de boissons se déplace sans grands problèmes, ce qui n'est pas le cas des fours de boulanger... Il y a quelques années, j'avais déterminé que la boulangerie du 22, rue des Trois Faucons (récemment fermée - auparavant, "specialité de pognes" si je me souviens bien ), était déjà là à la fin du XVII° siècle...
Pour "La Renaissance" de l'avenue Pierre Sémard, en effet les indices étaient nombreux. Parmi eux, la faible hauteur du décor sous les appuis de fenêtre à l'étage : dans la même avenue, il y en a d'autres de même style, mais elles sont plus hautes.
d'après les pages jaunes il est toujours débitant de tabac.
http://www.pagesjaunes.fr/cartographie/360?bloc_id=043270099200000000C0001&no_sequence=0
Lou Ravi, je me demande si un jour nous aurons une réponse sur cette photo "La Ruée vers l'Or".
pour moi je n'ai que le témoignage de cet ami disparu, qui avait identifié "l'ami karl"
Désolé de cet André pour Alain, mais je crois que je ne suis pas le premier..Comme quoi la célébrité est partout...Les boulangeries avant l'arrivée des installations prêtes à monter étaient effectivement "inamovibles" en raison du caractère bâti du four. Curieusement les boulangers locataires (à four construit) ont moins de droits que les autres paraît-il. La stabilité des tabacs tient probablement au contingentement et à la fidélité de la clientèle au "tabac du coin". Guima, je pensais que l'établissement avait perdu sa licence. Il s'appelait autrefois le Bar-Tabac des Rotondes je crois bien. Cette affaire d'assassinat a-t-elle conduit à une fermeture temporaire du débit de boissons ? Et cette nouvelle enseigne a-telle un rapport avec le passé, histoire de bien signifier que cet établissement a tourné la page. Si quelqu'un peut nous éclairer. sur ce point. Ma mémoire s'embue...
Je n'avais pas remarqué: "Tabac" est effacé (éffacé ou flouté ?)
Le commentaire de François Portery sur son blog :
« Pour la localisation du bar tenu par ma tante...
On peut la voir devant son établissement avec son mari, Léon Napoléon !
Sur le cliché de droite, mon beau père, serveur... L'exploitation se passait en famille ! »
http://avignonintramuros.blogs.midilibre.com/archive/2017/01/04/merci-a-michel-benoit-862872.html