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1935 : li passarello dóu seten Gèni

1935 : les passerelles du septième Génie
1935 : the footbridges of the seventh Engineering

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Photo APA - Poux - Albi.

Lien permanent 14 commentaires Pin it!

Commentaires

  • merci à eux - zut sont plus là
    ça avait monté aussi haut rue de la République ? la rue du Limas devait être sous l'eau

  • Oui, comme toujours et malgré l'eau, il y a foule rue de la République. Impressionnant !

  • Bonjour,

    Mon père qui faisait son service militaire au septième génie, avait participé au ravitaillement des fermes isolées dans la région de MORNAS;

    à cette occasion ils avaient bénéficié du repas prévu pour le banquet des anciens combattants de 14 18 qui n'avaient pas pu faire le déplacement!

  • En ce temps là les pontonniers du 7e Génie étaient au service de la population.
    Avec la dissolution de leur régiment, leur savoir-faire est sans doute en perdition...

  • sur l'ile piot il y avait l'école des ponts du génie pour les sapeurs pontoniers

  • En France, les années 1870 voient la création du 2e régiment d'artillerie-pontonniers (1878) dissous par la loi de réorganisation militaire du 29 juin 1894. Les pontonniers sont remplacés par deux nouveaux régiments du génie, les 6e et 7e régiment qui s'installent respectivement à Angers et à Avignon. Après les lois cadres de 1912 et les circulaires d'applications d'avril 1914, le Génie Français se décida à recréer 2 bataillons de Pontonniers, le 23e et le 24e du 7e régiment du génie. Seul, le 7e R.G regroupe deux bataillons de pontage d'armée en activité pendant la Première Guerre mondiale.

    Les premières formations de ponts lourds furent constituées en décembre 1914, sous le nom d'équipe du Génie Maritime. Au mois d'août 1916, elles furent transformées en Compagnies du Génie Maritime rattachées au 3e régiment du génie, et prirent au 1er janvier 1920, la dénomination de Compagnies de ponts-lourds. Elles furent alors intégrées au 7e régiment du génie.

  • de l'eau rue de la République cela n'est pas étonnant.
    Dans les années 50 j'habitais rue Portail Magnanem et les pompiers venaient nous chercher en barque pour aller au petit Lycée Mistral.

  • Bonjour,

    Effectivement dans les années 50, le boulevard Saint Ruf était entièrement inondé , l'eau arrivait jusqu' a la jonction du Chemin du Moulin et de la Cabrière.

    Là nous prenions les camions du génie jusque aux écoles où nous embarquions dans les bateaux des pompiers ou du génie jusque a la porte Saint Michel.

    Pour nous les gamins c'était un grand évènement; nous faisions de nombreux aller-retour dans la journée!

    ( les premières remontées d'eau se situaient devant l'école de filles de Monclar)

  • Ma vieille tatie me racontait que les soldats chargés de ravitailler la population embarquaient aussi parfois dans leurs barges ceux et celles qui le leur demander, mais plus facilement les jeunes demoiselles que les autres ! Elle, elle avait 15 ans en 1935 ...

    Je crois que mes grands-parents habitaient déjà aux cités Louis-Gros toutes neuves, mais je n'en suis pas sûr : monsieur Lou, n'y a-t-il pas une photo montrant le chantier de Louis-Gros inachevé et inondé lui aussi en 35 ?

  • Voui, Voui...La Durance "donnait" aussi et la cité Louis Gros fut atteinte, le chantier étant retardé par cette inondation. Quelques appartements avaient donc été livrés avant 1936 ? L'inondation de 1935 était la plus importante après celle de 1856. Toute la ville eut les pieds dans l'eau. Il existe plusieurs photos de la cité, un album fut publié avec notamment celles prises par Bartésago. La Semaine de Provence et Les Tablettes d'Avignon en publièrent aussi.

  • Bonjour,
    En 1994 la Durance connaissait une crue exceptionnelle.

    La barge de CALLET avait rompu les3/4 de ses amarres et menaçait le pont de ROGNONAS, un commando venu de l'ARDOISE était prêt à la faire sauter.

    Je me souviens très bien dans les années 50, avant qu'elle ne devienne un ruisseau et égout à ciel ouvert , de l'entendre rouler ses galets la nuit par fortes crues, où l'eau montait sur le chemin de hallage et affleurait la deuxième digue.

    Avant guerre il est arrivé au Génie de faire un brèche dans la digue coté CHATEAURENARD et inonder la plaine pour préserver AVIGNON.

    Etant né à 800 mètres de de la Durance il y a 75 ans et y vivant toujours je connais bien ce " fléau de la Provence "

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