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et la fée sur le pas de sa porte - un monde qui a disparu, on jette, et tant pis pour les pleurs
C’est on en quelle année cette boutique à ferme ?
Aujourdhui mot terrible c'est du "consommable " ..........
Pire que consommable il y a: L'obsolescence programmée aussi appelée désuétude planifiée!
Elle a bien raison d'avoir le sourire cette brave dame elle faisait un métier fabuleux
Oh, souvent entendu parler, jamais vue cette boutique qui était rue Bonneterie, à côté du resto Ripert (à vérifier). Aujourd'hui tu vas chez ToitRusse ou chez CoingJoué acheter de la pacotille made in China pour tes enfants tout en te lamentant sur la fermeture de nos fabriques françaises...
Pour répondre à Tilia (sujet précédent):
Jusque vers la fin du XIXème siècle les portes extérieures étaient peintes à l’huile, avec des teintes soutenues. Cela pouvait avoir de la gueule sur des immeubles XVIIIème aux pierres encore éclatantes. Aujourd’hui le calcin, le vieillissement et la pollution ont assombris ces façades dont l’aspect est beaucoup plus esthétique avec des huisseries plus discrètes. Les matériaux bruts, bois décapés ou laissés à l’état naturel résultent d’une mode et sont anachroniques dans la plupart des immeubles XVIIIème voire XVIIème. Les belles portes anciennes non peintes (et il y en avait tout de même quelques unes, sculptées) sont autorisées mais elles doivent normalement être traitées à l’huile de lin. Beaucoup de propriétaires font de réels efforts, demandent conseils et embellissent au mieux pour le cachet de leur propre bien ce qui rejailli positivement sur celui de l’ensemble du quartier. Mais beaucoup d’autres s’en fichent et n’ont même pas idée de la laideur ou du raté de leurs réalisations. Et la mairie n’a guère l’air de s’en soucier sauf en quelques endroits «stratégiques». J’espère me tromper. Quand à la lutte anti-tags elle pourrait commencer par de vraies sanctions contre ceux qui se font chopper. Par exemple 6 mois de travaux de nettoyage, gratos, dans les rues d’Avignon.
super photo d'un autre temps ,de métiers oubliés ....................... une perle!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais cela existe toujours les cliniques de poupées. Heureusement d'ailleurs ! C'est un beau métier que d'opérer et restaurer des poupées, surtout les anciennes.
Aujourd'hui les cliniques de poupées n'ont plus pignon sur rue. Elles sont en chambre.
Blog super efficace la porte du 36 est repeinte !
Sans doute la deuxième couche, non ?
Deux choses en rapport avec cette photo :
1. Félix ASTAY (1862-1942) peintre, graveur et lithographe a obtenu une médaille de bronze en 1904 au concours artistique organisé à l'occasion du VIe centenaire de la naissance de Pétrarque par l'Académie de Vaucluse.
2. "A la Clinique des Poupées" 2 rue Chavanne à Lyon (fondée en 1860) aurait peut-être des infos sur l'ancienne boutique d'Avignon (son adresse mél est indiquée sur son site)...
Commentaires
et la fée sur le pas de sa porte - un monde qui a disparu, on jette, et tant pis pour les pleurs
C’est on en quelle année cette boutique à ferme ?
Aujourdhui mot terrible c'est du "consommable " ..........
Pire que consommable il y a: L'obsolescence programmée aussi appelée désuétude planifiée!
Elle a bien raison d'avoir le sourire cette brave dame elle faisait un métier fabuleux
Oh, souvent entendu parler, jamais vue cette boutique qui était rue Bonneterie, à côté du resto Ripert (à vérifier). Aujourd'hui tu vas chez ToitRusse ou chez CoingJoué acheter de la pacotille made in China pour tes enfants tout en te lamentant sur la fermeture de nos fabriques françaises...
Pour répondre à Tilia (sujet précédent):
Jusque vers la fin du XIXème siècle les portes extérieures étaient peintes à l’huile, avec des teintes soutenues. Cela pouvait avoir de la gueule sur des immeubles XVIIIème aux pierres encore éclatantes. Aujourd’hui le calcin, le vieillissement et la pollution ont assombris ces façades dont l’aspect est beaucoup plus esthétique avec des huisseries plus discrètes. Les matériaux bruts, bois décapés ou laissés à l’état naturel résultent d’une mode et sont anachroniques dans la plupart des immeubles XVIIIème voire XVIIème. Les belles portes anciennes non peintes (et il y en avait tout de même quelques unes, sculptées) sont autorisées mais elles doivent normalement être traitées à l’huile de lin. Beaucoup de propriétaires font de réels efforts, demandent conseils et embellissent au mieux pour le cachet de leur propre bien ce qui rejailli positivement sur celui de l’ensemble du quartier. Mais beaucoup d’autres s’en fichent et n’ont même pas idée de la laideur ou du raté de leurs réalisations. Et la mairie n’a guère l’air de s’en soucier sauf en quelques endroits «stratégiques». J’espère me tromper. Quand à la lutte anti-tags elle pourrait commencer par de vraies sanctions contre ceux qui se font chopper. Par exemple 6 mois de travaux de nettoyage, gratos, dans les rues d’Avignon.
super photo d'un autre temps ,de métiers oubliés ....................... une perle!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais cela existe toujours les cliniques de poupées. Heureusement d'ailleurs ! C'est un beau métier que d'opérer et restaurer des poupées, surtout les anciennes.
Aujourd'hui les cliniques de poupées n'ont plus pignon sur rue. Elles sont en chambre.
Blog super efficace la porte du 36 est repeinte !
Sans doute la deuxième couche, non ?
Deux choses en rapport avec cette photo :
1. Félix ASTAY (1862-1942) peintre, graveur et lithographe a obtenu une médaille de bronze en 1904 au concours artistique organisé à l'occasion du VIe centenaire de la naissance de Pétrarque par l'Académie de Vaucluse.
2. "A la Clinique des Poupées" 2 rue Chavanne à Lyon (fondée en 1860) aurait peut-être des infos sur l'ancienne boutique d'Avignon (son adresse mél est indiquée sur son site)...