Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Trento an après 2 avengudo de Sant-Ru

Trente ans après 2 avenue de St-Ruf
Thirty years after St-Ruf avenue 2

3339914352.jpg

Lien permanent 12 commentaires Pin it!

Commentaires

  • moins moche maintenant quand meme mais on voit bien que la nouvelle structure va vite être abîmé par le temps c'est vraiment dommage on est loin du style 19eme

  • Me serais-je trompé, Michel ?
    Le bar des Sports et le garage Catto étaient-ils en face de la porte Limbert et non de la porte St-Michel ?

  • Non, je ne me suis pas trompé, Michel, car sur la photo on voit la plaque "Avenue St-Ruf".

    Tilia, Jérôme, Pat, je suis bien de votre avis !

  • Le Bar des Sports et de l'autre côté ce fut le bar Curtat. Catto émigra ensuite, toujours face aux remparts, après la gare. Les alentours de la ville étaient marqués d'entrepôts, fabriques, garages, ateliers et casernes. Bâtiments à l'allure banale mais en prise directe avec la vie d'Avignon. On aurait pu, en les rasants en faire de vastes parking (parc des Equipages, îlot Catto, caserne de Salles etc) aux portes de la ville ce qui aurait eu le mérite de délester celle-ci de son flot asphyxiant de circulation et de dégager la vue sur les remparts. Honte à nos élus successifs qui ont laissé faire ces immeubles hideux (ici mais aussi face à Ste Marthe..) presque au pied des remparts séculaires. Et ce n'est peut-être pas fini, hélas !

  • Ben dis donc, ça a changé du tout au tout. Comme dit Tilia, du moche pour du moche. Ce qu'il y a de bien maintenant, c'est qu'on peut re boire un coup.
    Bon week-end !

  • J'ai dit Bar Curtat en pensant à l'exploitant que je connaissais. L'enseigne devait être Le Carrefour ou quelque chose comme cela. La mère Curtat tenait une petite épicerie dans la rue Bourguet, l'enseigne "Alimentation" existe toujours. Je reviens à la photo des années 70. Lors du chantier de la gare routière dont on voit l'entrée signalée en bleu à gauche, une large inscription, qui faisait mal, fut tracée le long du mur qui subsistait "Mort aux arabes". Cela ne paru guère émouvoir les responsables du chantier. Les bâtiments anciens, à moitié démolis, murés, n'étaient guère jojos. Mais ils ne constituaient pas un coupe-gorge comme l'est aujourd'hui la gare routière. Sombre, encafournée, mal famée, sale, c'est peut-être l'endroit le plus détestable de la ville.

Écrire un commentaire

Optionnel