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Plaço de la Coumèdi

Place de la Comédie
Comedy square

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Commentaires

  • Place de la comedie, place à la comédie, place Crillon, brave place, par quoi on rentre souvent en ville après avoir eu le choc en silhouette des couleurs du ciel, qui met au parfum le touriste qui débarque, piazza pour s'attabler,où la vie pesante devient marivaudage, apéritif architectural centré sur une version légère de Lainée, début d'un labyrinthe qu'il faudrait terminer sur un autre Lainée sommé du chef de St Jean, qui lui n'est pas qu'une belle façade.Les portes sont-elles ouvertes ?
    F.C

  • Place de la comedie, place à la comédie, place Crillon, brave place, par quoi on rentre souvent en ville après avoir eu le choc en silhouette des couleurs du ciel, qui met au parfum le touriste qui débarque, piazza pour s'attabler,où la vie pesante devient marivaudage, apéritif architectural centré sur une version légère de Lainée, début d'un labyrinthe qu'il faudrait terminer sur un autre Lainée sommé du chef de St Jean, qui lui n'est pas qu'une belle façade.Les portes sont-elles ouvertes ?
    F.C

  • Les plaques de rue ou de places sont d'apparition tardive, au 18ème siècle. Rambuteau en 1847 ? Auparavant, gravée dans le coin de mur.

  • La date exacte de ces inscriptions avignonnaises n'est pas vraiment déterminée.

    Fin XVIII° ou époque Restauration... le "Planet de Didier" laisse pencher pour la 1ère hypothèse...

  • Détail dans le détail : DE L n’est pas tout à fait aligné avec le reste. Regravage après restauration ? Les enseignes (dont celle de la pompe à essence passée) masquèrent longtemps cette inscription. A ses débuts France Bleu Vaucluse avait des jeux avec des questions intelligentes. Jacqueline Ponton officiait ce qui nous donnait l’occasion de jouer en s’instruisant. Je crois bien que la première question posée avait concerné la façade de cette Comédie.

    En déplacement quelques jours du côté de chez Jeandler je n’ai pu jeter qu’un œil rapide sur le blog ces derniers temps. Je reviens sur Picasso, Braque et leurs collages. Il y a plusieurs années, aux puces de Montfavet (délocalisées depuis à Bonpas) j’avais remarqué une pub ou un catalogue qui reproduisait la tapisserie d’un salle d’attente, vétuste, que je connaissais. Il me semble bien que c’était un papier de la fabrique Puig-Chantron rue Banasterie. Je n’avais pas un seul instant fait le rapprochement avec les supports utilisés par nos deux compères. Je ne l’ai fait, sans certitude comme je l’indiquais, qu’à l’occasion du questionnement de l’ami Chaillol sur la boutique où se serait rendu Picasso. Selon l’ouvrage de Pierre Daix elle aurait été en fait rue Joseph Vernet. Mais je n’ai rien trouvé dans mon annuaire de 1912 : aucun magasin de tapisserie, couleurs ou déco dans cette rue où l’on rencontrait essentiellement des rentiers, notables et professions libérales. Daix n’a cependant pas dû citer cette rue sans quelque raison. D’un autre côté il y aurait peut-être à trouver quelque chose du côté des archives (si elles existent) de l’Imprimerie Chantron si celle-ci a bien un rapport avec le fabricant de papiers peints. L’ASPPIV a peut-être quelque catalogue dans ses archives ?

  • FCdeC, j'aime bien votre commentaire !

    Lou, il a dû y avoir regravage à l'occasion de la réfection, car manifestement, le DE L est sur une pierre nouvelle.

    C'est quoi l'ASPPIV ?

  • Association pour la Sauvegarde (et parfois le sauvetage...) et la Protection du Patrimoine Industriel de Vaucluse.

    Ceci me rappelle une phrase de l'ancien ABF (a qui l'on doit une belle étude sur la Comédie de la place Crillon - autant que je vous dise de suite que son nom commence par Bruno et finit par Lallemand...), bref, qui me disait "Les Monuments Historiques en ont assez des églises, chapelles et châteaux, maintenant ils veulent des usines...".

  • Sauf qu'Avignon n'a pas vraiment produit d'architecture industrielle qui s'inscrive dans une qualité artistique et pérenne. Il y avait bien les moulins et les puits, mais on les a tous détruits... Il reste les roues des Teinturiers.
    Il y a plus d'architecture industrielle ancienne à Apt, par exemple.

  • Une autre source, Etudes sorguaises 1991, mentionne: " un jour de la fin août ou du tout début de septembre, lors d'une petite virée à Avignon, braque découvre dans la vitrine d'un marchand de couleurs, rue Horace vernet, un rouleau de papier peint mural imitant le bois de chêne."
    A suivre...
    F.C

  • Une autre source, Etudes sorguaises 1991, mentionne: " un jour de la fin août ou du tout début de septembre, lors d'une petite virée à Avignon, braque découvre dans la vitrine d'un marchand de couleurs, rue Horace vernet, un rouleau de papier peint mural imitant le bois de chêne."
    A suivre...
    F.C

  • Me voici âne bâté car j'ai dans ma bibli ce numéro d'Etudes Sorgaises qui contient l'article de Fanette Roche-Pezard. Je n'avais pas prêté attention à cette histoire de marchand de couleurs. Fanette R-P fait référence au catalogue de l'expo de 1982 à Pompidou. J'ai vu l'expo, pas lu le catalogue en détail. C'est Braque qui achète et non Picasso le fameux papier "faux bois". Pas trouvé de marchand de couleurs rue Horace Vernet (ancienne rue Victoire). Où pouvait donc se nicher une boutique dans cette rue étroite et longée de hauts murs ?

  • Pierre Daix: "Braque et Marcelle se sont installés à Sorgues et Derain avec Alice à Montfavet. " et lettre de Eva Gouel à Gertrude Stein du 23 juin 1914: " Mes chères amies. Nous n'avon pas pu rester à Tarascon; il n'y avait rien à louer. Nous sommes donc à Avignon. Ce matin Pablo à trouver une maison un peu Espagnole ( 14 rue st Bernard)dans la ville même, il doit aller voir le propriétaire, qui est trés riche et (franc-maçon) homme charmant de quatrevingt cinq ans qui croyait que Pablo était peintre en bâtiment et voulait déja lui trouver du travail."
    F.C

  • Pierre Daix: "Braque et Marcelle se sont installés à Sorgues et Derain avec Alice à Montfavet. " et lettre de Eva Gouel à Gertrude Stein du 23 juin 1914: " Mes chères amies. Nous n'avon pas pu rester à Tarascon; il n'y avait rien à louer. Nous sommes donc à Avignon. Ce matin Pablo à trouver une maison un peu Espagnole ( 14 rue st Bernard)dans la ville même, il doit aller voir le propriétaire, qui est trés riche et (franc-maçon) homme charmant de quatrevingt cinq ans qui croyait que Pablo était peintre en bâtiment et voulait déja lui trouver du travail."
    F.C

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