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Quaranto-dous an après carriero dóu Vièi-Sestié 2

Quarante-deux ans après rue du Vieux-Sextier 2
Fourty-two years after Vieux-Sextier street 2

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Lien permanent 33 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Adieu les jeans du Stock Américain
    bonjour les caleçons « Froid, moi ? Jamais ! »

  • C'est vrai ces auvents sont impressionnants : il ne devait pas passer de hauts camions dans cette rue
    Je vais m'arrêter aux véhicules puisque je ne connais pas les petites rues d'Avignon !
    ça me fait vraiment plaisir de retrouver les 404, R16, 4L de l'époque où j'étais une petite fille. Y'a pas à dire elles avaient de la gueule nos "petites voitures" françaises... et n'est-ce pas une Peugeot décapotable (dont j'ai oublié le n°) qui s'en va au loin ??

  • Un reve sur deux le solex à gauche et la 404 (pas les moyens)
    Le magasin face et à côte du Stock ?
    Ce bout du rue avait il des tentures comme chez Theron?
    Les trottoirs à l'epoque etaient fait pour des gars pas trop epais....
    Camping ,loisirs et ski =Decatlon et bien non MORAND(2 boutiques à l'epoque)
    Le Dimanche matin en hiver (avec neige) un à deux cars via le Mont Ventoux(copilote Charly Herzog)

  • Les cas d'obésité augmentant à la folie, on a résolu le problème des trottoirs en rendant la rue entièrement ouverte aux piétons...

    Du point de vue architecture, chère Brigitte, toutes les fantaisies étaient possibles. Et ce décrochement en peut-être une à moins que le parcellaire en fasse obligation.

  • Brigetoun, peut-être une ancienne cheminée ?

    Pat, au loin je vois effectivement une 304 (sinon une 204).

    Michel, en face du Stock, un magasin de jouets sans âge tenu par une dame sans âge.
    À côté, je ne sais pas. Repris par Manufrance bientôt.

  • Une rue piétonne maintenant qui semble bien agréable, vue de chez moi.
    J'eus une R16 fut un temps.

  • Brigetoun, le décrochement porté par un superbe cul de lampe m'a aussi interpellé de longue date...

    Il faut regarder la fenêtre à sa droite pour s'apercevoir que l'immeuble du défunt Stock Américain (Petidis) faisait visiblement partie du projet de Franque. Mais entre lui et la boucherie s'insére une construction qui n'est pas en harmonie (façade bariolée en jaune actuellement).

    Le projet initial des Franque prévoyait de "fermer" la rue centrale de façon symétrique. Ceci s'est fait au couchant via les deux pavillons dont nous discutions il y a quelques jours, mais pas au levant. On doit donc en conclure que cet ensemble est, en fait, inachevé, et que l'immeuble jaunâtre en cause était voué à la disparition, au profit de constructions identiques aux pavillons de l'autre extrémité.

    Il faut se souvenir que la ville d'Avignon était, au XVIII° siécle, notoirement impécunieuse et qu'en plus les procédures d'expropriation d'intérêt public n'existaient pas chez nous sous l'ancien régime... En plus, les projets d'aménagement, de développement et d'embellissement de la ville ne faisaient pas l'unanimité au sein du Conseil de ville. Il y aux Archives une série de libelles contre les projets municipaux de l'époque qui éclairent tout ceci d'un jour inédit, et éclaboussent bien entendu Franque qui est considéré comme le "complice", sinon l'instigateur, de ces dliapidations...

  • Je n’étais pas un habitué du Stock Américain.. Mais il surfait encore sur le Rêve Américain, sur les idoles. Royaume du jean, des copains, du «fashion life» de l’époque. Des jeans empilés comme des assiettes avec partout, de la couture à la ceinture, les grands espaces qui te venaient à la tête quand tu t’embraillais : Kansas, Liberty, Free Horse, Genuine Jean, Colorado inscrits sur les poches ou la ceinture. Avec le jean, Levi’s ou Lee, nous bondissions dans l’âge adulte, finis le passage avec maman Au Bon Diable ou chez Old England ! C’est donc le moment de chanter, en souvenir:

    Quant ero pichounet ma maire m’embraiavo,
    Aro que siéu grandet m’embraivaie soulet !

    (Sur l’air de «Ils ont des chapeaux ronds…» et comme dans la chanson bretonne, la version provençale a aussi une suite très coquine)

    Auvents, vélums, toiles : voir les tableaux de Grivolas, de Flour..

    Décathlon a mis tout le monde d’accord. T’as le choix entre Décathlon et Décathlon. Tout made in Asie. Made in aqui, walou ! Et si tu n’est pas content t’as qu’à aller chez….Décathlon.

  • J'avais pour ma part, Claude, en ces époques, une 204 (blanche bien sûr).
    À la fois légère et d'une très bonne tenue de route.

    Bien intéressant tout ça, Alain...

    Il ne faudra pas, Lou, négliger les boutiques vintage et autres friperies tendance !

  • En 1970 Rue de le Philonarde qui a connu Stephanys ou Babas ( Laurenzo aujourdhui face à St Agricol)( Continental)La hyper jeune mais je jouais au rugby alors jamais ma taille...
    Le stock pour bosser l'autre pour danser......

  • Je n'ai connu qu'un seul "Baba'z", qui était à l'origine rue Carnot (l'actuel restaurant "L'Hédoniste". Je ne me souviens plus du nom du patron (chauve et sympa).
    Nous y achetions des chemises cintrées et des "pattes d'éph."
    Venait-il de la rue Philonarde ?
    Il a ensuite émigré au carrefour de la rue de l'Oriflamme et de la rue de Picpus.

  • Baba'z ne se nommait-il pas, tout simplement Babaz ? Je ne le vois pas installé rue Philonarde.

    Avez-vous remarqué que le STOCK AMERICAIN se doublait d'un discret Stock Jamaïcain (le bandeau en diagonale sur le côté de l'enseigne) ?

    Ganja, ganja !!!!

  •  
     
     
     
     
     
                                                                 :D)

  • Ce babaz a tenu un resto Place Pie au ancien Ets Morey ( je crois quil est mort aujpurdhui)
    Laurenzo= Drey
    Au bout de la Rue "Molineris" L'homme que je n'ai jamais vu rire..

  • Alors le blaze de ce Babaz...

    Moi je le vois plutôt du côté des Teinturiers et avec des initiales bien connues, non ?

    Tiens, l'ami Dray...Il m'habillait parfois, mais c'était dans sa boutique de la Bonneterie.

  • Au depart ils formaient un trio dans les fringues redoutable puis ils se sont separes
    Dray rue Bonneterie? sa femme oui un magasin de linge de maison un cran au dessus de Hello
    Babaz resto ou bar (le gars un peu beaucoup gros)et toujours un immense cigare aux levres
    et le 3° Rue Joseph Vernet (vers Façonnable)

  • décrochement ?... échauguette ?... cul de lampe ?... cheminée ?...
    Mais de quoi parlez-vous ? suis complétement larguée !!!

    À propos des cheminées
    marrant de voir que celles de l'immeuble abritant Damart ont disparu
    « Froid, moi ? Jamais ! » :))

  • Je suis peut-être sous l'effet de la fumette. Mais je suis sûr de moi pour Dray (Raymond je crois). Je l'ai connu à ses débuts alors qu'il vendait (en famille ?) des vêtements pour hommes à l'angle de la Bonneterie et des Fourbisseurs (DC Shoes ou Store je crois aujourd'hui). La boutique a été ensuite transformée plusieurs fois.
    Sur la photo ancienne on voit les Tissus Bérard et Molinéris (qui tint ensuite le bar côté place Pie ?). Mais en face ??? (plus tard s'installera le deuxième Manufrance).

  • Babaz:

    Au début rue Philonarde, puis Chipie rue l'Arc de l'agneau (immeuble aujourd'hui disparu vers la place de l'horloge) et enfin Grand Bazar du Majestic (angle banasterie carreterie).

    Le chauve: Jeannot ELBAZ

    Le gros avec le cigare: Loulou AZOULAY ou Gros Louis, patron (ou plutôt mari de la patronne) du Commerce, rue St Jean Le Vieux, grand libertin devant l'éternel, effectivement décédé depuis quelques années.

    Ils faisaient partie de ces "jeaners" avignonnais qui ont lancé début 70 Babaz, Chipie puis Chevignon.

    La génération d'après a donné Charlie, rue Bonneterie, puis le cocasse Christian Audigier.

    Il restait un fripier "jean" petite rue entre joseph vernet et place crillon.

    Nous achetions nos premiers LeVIS 501 brut braguette à boutons chez FILIZOLLA Matteodi, rue du Vieux Sextier ou au Leclerc, rue des 3 faucons.

  • têtue je suis !
    puisque personne n'a répondu à ma question
    je la repose :

    décrochement ?... échauguette ?... cul de lampe ?... cheminée ?...
    Mais de quoi parlez-vous ? suis complétement larguée !!!

  • Il s'agit de la maison de droite, plus basse que les autres.
    Au milieu de la façade, entre les deux fenêtres, il y a une partie qui avance.
    La vois-tu ?

  • Vu ! merci.
    Intéressante particularité, elle me fait penser à l'emplacement muré d'une ancienne lucarne, type lucarne à foin. À moins qu'il ne s'agisse d'un support d'enseigne.
    Il faudrait pouvoir le regarder de face pour mieux se rendre compte. Dommage que la ggogle-bike (celle qui est passée sur le pont du Gard) n'ait pas eu l'idée de parcourir cette rue !

  • vous allez rire ce matin mon idée est de me souvenir des magasins de la rue du vieux sextier, et je tombe sur votre page , le local du stock americain je le connais bien , je l ai exploité 10 ans avec la solderie PROMA et avant moi c'était un magasin d enfants Z.
    je l ai pas connu mais le magasin d en face avec la grande bache était un magasin de jouets avec Antoinette notre mamie de la rue ,

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