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Quaranto-dous an après carriero dóu Vièi-Sestié 1

Quarante-deux ans après rue du Vieux-Sextier 1
Fourty-two years after Vieux-Sextier street 1

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Lien permanent 14 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Du bon travail, si ce n'étaient ces fichus câbles électriques.
    Pourquoi sont-ils toujours noirs ? Ce ne devrait pourtant pas être bien difficile d'en faire des blancs...

    Sur la photo d'avant, quelque chose (angle de store ?...) dépasse en haut.
    Et sur celle d'aujourd'hui, un "truc" rouge fait lui aussi irruption dans le champ. Une enseigne en forme de clé, ou bien... ?

  • Amusant : la clé rouge d’AVS fait pendant au store du Bon Lait.

    Quand tu es né dans cette ville tu la vois d’oeil qui n’est pas toujours le bon. Parce que tu as grandi le nez au ras de ses rues, de son animation, son foisonnement, sa foule, ses commerces alors si riches et variés. Tu passes comme ici de chez Arbona à Mattéoda sans trop lever les yeux sur les belles façades parce que tu fais tes emplettes, tu bavardes avec ton voisin, ou tu espinches les filles qui passent…Ces auvents, débords, aménagements parfois struturicides tu ne les vois pas tant ils te sont familiers. Et puis n’étaient-ils pas un mal nécessaire pour que la ville vive et ne soit pas figée dans la froideur calme des restaurations ? Plus tard tu as jeté un autre œil sur Avignon. Grâce surtout à nos amis, nouveaux venus, dont le regard était différent, moins passionné et plus observateur. Et là tu t’es rendu compte que l’on aurait pu faire mieux. Je suis sûr que quand Nathalie va à Ceccano elle doit prendre le temps de s’étaler dans un fauteuil pour bader le plafond. Ce que ne fera jamais un avignonnais. Sauf s’il est historien d’art ou est accompagné par des amis touristes…
    Comment être une «Avignon ville d’art» tout en gardant une âme vive, populaire sans devenir un musée à ciel ouvert ? Beau challenge que d’autres ont su mieux réussir. Et là je pense que Maryse à Aix a fait mieux fait que Marie-Jo chez nous.

  • Plus de commerces que de "Banques ou resto rapides"
    Au magasin jaune le stock americain nos premiers jeans ( un an avant qu'ils soient souples)
    Que de voitures..mais la Rue Thiers etait en double sens et pas de parking en centre ville

  • Lou Ravi, on ne peux qu'adhérer à de tels propos. Rester une sorte de "Musée à ciel ouvert" et garder la vie, ce n'était pas facile...

    D'autant que d'autres facteurs que le simple "monumental" ont joué, l'exode des classes moyennes vers un habitat périphérique lointain, et surtout la création entre 1970 et 1990 de la couronne de supermarchés qui sont devenus de véritables barrières (comme l'octroi dans le temps...) privant le centre-ville du vrai nerf de la guerre, l'argent. Pas l'argent sale des magouilles sophistiquées de quelques uns, mais le bon argent simple qui circulait entre tous, permettait la vie de tous les jours, assurait la vie des PME et permettait un emploi réel dans l'intra-muros. Combien de commerces et d'entreprises authentiques, avec des cohortes de salariés, ont disparu en ville d'une photo à l'autre ?

    Et les "consommateurs" eux-mêmes ont peu à peu changé leurs habitudes. J'ai encore en mémoire l'émotion d'un digne maroquinier de la rue de la Ré, qui voyait son commerce périciliter et me rappelait que dans les années 50, on venait de Montpelleir acheter des sacs dans sa boutique... O tempora ! O mores !

  • La rue devenue piétonne et les façades retrouvé leur élégance.
    Toutes ces avancées commerciales étaient d'une belle horreur. Horreurs, comme le souligne Lou ravi, non remarquées pas les passants de l'époque. .. Je crois que de flâner ou de faire ses courses dans une telle rue, chacun, même s'il ne se toque pas d'art ou d'architecture, le ressens, la lumière, l'espace dégagé... C'est tout un environnement qui vous accompagne. Il suffit d'arrêter un instant le badaud et de lui montrer... Elle est belle la rue du Vieux-Sextier !

  • Brigetoun, je sais que les services architecturaux de la ville sont très mitigés quant au résultat de cette rénovation.

    Sur notre façade, Tilia, nous avons peint les fils inamovibles qui restaient de la même couleur que la pierre. C'est facile. Et Lou a répondu à tes questions !

    Ah ! le Stock Américain, Michel !

    Alain, je souscrit également aux propos de Lou Ravi et à son beau commentaire.

    On voit sur des photos qu'au siècle dernier, au début de ce siècle, et plus près encore mais de moins en moins, la marchandise des magasins envahissait les trottoirs. Pluie et soleil justifiaient les auvents, prolongés souvent par des tentures importantes. À l'instar des terrasses de cafés, ces commerces étaient-ils taxés pour cette occupation de l'espace public ? Et les timides présences d'articles aujourd'hui en dehors des boutiques le sont-elles, si oui depuis quand ?

    Il est vrai, Jeandler, que ces rues piétonnes ne sont pas désagréables. Mais comme dit BM, à condition de ne pas être envahi par des banques et des restaurants.

  • En zone piétonne, "par temps de pluie, je ralentis!"
    Duffaut doit avoir quelques col du fémur cassés à son actif avec ces dallages de marbres ultra glissant quand il pleut!

    Ten té galhard bessoun!

  • Il faut avoir des semelles en caoutchouc !

    Qu’acò noun te soucite, ai pas counfoundu Monsanto e ma santa !
    Siegues en bon èsse !
    À l'aqua-bar !

  • Nous habitions au Pontet et nos parents nous ammenaient nous habiller à la ville.(les 3 enfants)pour l'ecole simple même tes simple pour les occasions Bayard ( la veste de mon frere me servait 2 ans plutart)
    Pour le lycee Jean sport et le fameux maillot bleu et sa raie blanche assortie au schort( obligatoire)
    Je ne vous parle pas du 8 decembre et ces vitrines cachees en attendants la fête.
    Aujourdhui vas le faire à AUCHAN( passage rapide, reserve CB)
    J'ai trop de souvenirs et de nostalgie de cette rue

  • Nous aussi nous étions 3 frères et soeurs, comme nombre de nos camarades... apparemment le chiffre "standard" du baby-boom de l'après-guerre.

    Pour l ereste, nostalgie nostalgie... il y avait de la vie au milieu de façades un peu crades, aujourd'hui tout est nickel et un peu mort...

    Seule ombre au tableau, bien sûr, ce sont ces gros fils noirs entortillés qui courent le long des murs. Mais en contrepartie, nous avons vu disparaître une quantité impressionante de ces potences qui tenaient les fils en l'air via de gros isolateurs de verre... La version actuelle reste bien plus discrète !

    Et autre regret aussi, que l'on n'ait pas pu contraindre TOUS les propriétaires de la Boucherie à entreprendre le ravalement... les traveés les plus à l'Ouest font un peu tache !

  • J'ai raté le colloque de Cavaillon (avec Dominique, François et les autres). Quelqu'un y est-il allé ?

  • accord total avec Lou Ravi et puis il y a eu un beau travail sur les sculptures et avec des reprises de pierres non agressives qui ne font pas reconstitution

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