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Atmousfèro 1900 : à l'ipoudrom

Atmosphère 1900 : à l'hippodrome
Atmosphere 1900 : at the racecourse

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Lien permanent 14 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Derriere ces gens etait le stand de la pâtisserie ,il doit être 16 h l'heure du thé..
    Plus tard pour ceux qui ont connu Jacky ( miko miko par si ,miko miko par là)

  • Bravo Tilia pour la réplique !
    L'hippodrome était encore en territoire avignonnais (rattachement du Pontet en 1925). Public de bourges, détestable. Les gens du peuple allaient plutôt voir vélos, courses libres et corridas aux arènes de Bagatelle.

    BM: déjà la pâtisserie ? J'ai connu celle qui existait dans les années 65-70. Mais qui la tenait ? Salel (notre ancien boulanger des Corps Saints) ou un autre ?. La buvette c'était Pépin qui avait le Celtic Bar à côté de l'Américain. Ah, la mère Pépin, raspias de première, qui surveillait son personnel pour que les doses de sirop soit au mini dans les verres...

    J'étais jeune, c'était les années 70. A l'arrière, il y avait une rambarde qui courait comme celle que l'on voit ici avec le type accoudé. A l'abri des regards on "furait" avec les filles qui comme nous s'étaient introduites "clandestinement" en se faisant passer pour des équipières des écuries.

  • linons, petits plis (et femmes de chambre pour y veiller) et chapeaux sublimes, c'est pour moi

  • C'était plutôt l'Olympic Bar (famille Pépin) et non le Celtic.
    La grande gigue emplumée tout comme celle au chapeau-arapède au premier plan méritaient le détour. Une bourgeoisie avignonnaise probablement hautaine, triomphante, qui devait chanter -Prouvençau e Catouli- à Saint-Pierre ! Lou Manant.

  • C'était et ça l'est peut-être encore, la course au plus grand et au plus beau chapeau.
    Môme, je suis allée une fois à une course de chevaux à Paris avec ma Tata et mon Tonton, ce dernier étant turfiste invertébré. Je me rappelle avoir perdu dans l'herbe les rondelles de saucisson de mon casse dalle.

  • Les tenues des femmes ! De ces femmes-là. Extraordinaire.
    Les costume des hommes a moins évolué par comparaison.

    Mon cher, auriez-vous un petit tuyau ? À moins que la dame tente de lui soutirer un petit billet, rien qu'un petit billet, pour s'amuser...

  • a lire un petit livre de A Moreau sur les courses de chevaux à Avignon.
    Nous comprenons mieux les cafes ou autres à la montee des Angles....

  • Je crois plutôt que les cafés (du moins ceux situés à la sortie du pont) étaient plutôt liés au passage sur le Rhône, à l'octroi. Mais ils devaient aussi capter la clientèle de ceux qui se rendaient, du côté de la route d'Aramon, au champ de course des Angles. Peut-être sur une des propriétés Melly, vers les Issarts ? Faudrait relire Maureau.

  • D'apres ce que j'ai compris ,ce serait à l'ancien champs de tir aux Angles.
    Il ne faut pas oublier que nos anciens allaient prendre le frais ou l'air du côte de Candeau.
    Mais pour les courses une ruee affolante..( en millers)

  • Heu, moi je le situe au contraire en bas (on voit mal la foule se taper la montée de Candau). Et Euréka pour le champ de tir: il me semble bien qu' A. Maureau en parle mais il fait allusion à celui qui était en Courtine (probablement là où il y a eut le terrain d'aviation dont AB nous a fourni une photo). Le terrain des Angles abandonné les courses furent disputées un temps sur ce champ de tir avant de migrer dans la propriété Thomas (Roberty) au Pontet.

    L'air frais aux Angles les soirs d'été. Vague souvenir mais mes parents me disaient que le plateau était un quasi désert où il faisait bon aller s'aérer au calme les soirs de canicule. Aujourd'hui tu en reviens la tête encoucourdée de bruit et de pollution !

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