Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dous-vint an après Lou Grand Bar

Quarante ans après le Grand Bar
Fourty years after the Grand Bar

241000294.jpg3923040040.jpg

Lien permanent 17 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Ces balcons qui dépassent de la façade moderne me font l'effet de tiroirs non remis en place après une fouille approfondie !

  • Le Grand Bar n'est pas ici sous son meilleur angle avec l'excroissance du restaurant Payan et le mur de l'immeuble de gauche. Il va être démoli sous peu. Deux pages fort intéressantes à lire sur son histoire dans "Les Boutiques d'Avignon". Suis très intrigué par l'immeuble avec fronton triangulaire que l'on voit au fond de la rue Molière ???

  • Je pensais non pas aux" Boutiques" mais aux "Cafés d'Avignon" (de Jean Mazet, toujours disponible au contraire des "Boutiques", épuisé)

  • Ce quartier est d'une laideur ! Aucune architecture ,aucun cachet sinon celui d'imaginer vivre dans le 16ème ,sécurisé ,sous caméras.Un quartier pour vieillards précoces ,hargneux tels certains roquets qui défendent leur territoire de leur mâchoire mal chaussée...Des immeubles à tiroir ? Une morgue sans dignité !! Quand on connait le prix du mètre carré dans le quartier de la Balance ...Tristesse,...T'as pas d'autres photos ,l'ami ?

  • Ce quartier est d'une laideur ! Aucune architecture ,aucun cachet sinon celui d'imaginer vivre dans le 16ème ,sécurisé ,sous caméras.Un quartier pour vieillards précoces ,hargneux tels certains roquets qui défendent leur territoire de leur mâchoire mal chaussée...Des immeubles à tiroir ? Une morgue sans dignité !! Quand on connait le prix du mètre carré dans le quartier de la Balance ...Tristesse,...T'as pas d'autres photos ,l'ami ?

  • On a certes du mal à se faire à l'architecture nouvelle mais ce quartier n'est plus le coin le plus bourge de la ville (même s'il reste un des plus chers) loin s'en faut. Des jeunes s'y sont installés. L'insécurité, le bruit (la cour qui résonne au moindre bruit), les rôdeurs et pisseurs de nuit le plombent peu à peu. Voir les locaux inoccupés du rez-de-chaussée et le nombre de proprios qui cherchent à revendre. Lors de sa création tous ces problèmes n'existaient pas, ou peu.
    J'aime bien l'image de "tiroirs" mal refermés. De la terrasse du haut on doit avoir la même vue que depuis celle du Grand Bar qui paraît-il était fort belle...

  • Il avait de l'allure le grand bar !
    Pourquoi l'avoir débarqué ?
    Une histoire à tiroirs, sans doute.

  • Cette fois-ci, j'étais perdue ! En regardant la photo du grand bar, dont j'ignorais et l'existence et bien sûr l'histoire, je me demandais dans quelle ville j'étais : rien à première vue ne me rappelait Avignon. Puis, en visionnant la seconde photo, je découvre et reconnu le quartier, et cet immeuble atroce.

    @Lou ravi : c'est tout à fait l'impression que l'on a, les pas résonnent lorsque l'on marche dans la grande cour, et on a un sentiment de malaise à la traverser (d'autant plus qu'elle est en plein soleil, étouffant en été). Je la contourne toujours lorsque je passe dans ce quartier. Et les accès sont sales, sombres et effectivement peu rassurants. Je ne reviens pas sur l'architecture, je l'ai déjà dit, une horreur.

    @Pascal : excellente description en ce qui concerne cet immeuble, effectivement, un carré de béton qui fait verrue. Mais le quartier de la balance se prolonge derrière, et là c'est tout autre chose : les maisons ont été retapées, des placettes créées, des passages sous les maisons l'aèrent... On peut reprocher à l'ensemble d'être un brin artificiel et toujours très bourgeois, mais je trouve que c'est plutôt réussi.

    @Tilia : belle et juste métaphore !

  • Des tiroirs et des fonds de tiroirs... suite de la conversation. On est passé d'un ensemble de bric et de broc au charme désuet à des immeubles d'une froideur telle que bien souvent on préfère passé sans les voir.

  • Personne aux balcons !
    et ils ont raison
    j'aurais bien trop peur
    de tout casser.
    Les plantes en sont vertes de trouille...

  • cher magnifique MIchel, j'adore ta photo, langle est unique, j'ai une sensation que la photo est bien coupé -entre deux mondes temporel.
    merci
    bises

  • Merci pour ce travail de mémoire et ce terrible constat architectural...c' est incroyable comment l'homme oublie vite... et s'habitue à tout... heureusement qu'il y a les photos !

  • Flatté de vous accueillir ici, cher Gemelli.
    Mais pourquoi rester anonyme, alors que vous avez tant de belles choses à montrer ?

Écrire un commentaire

Optionnel