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Lou palais di papo en 1608

Dessin dóu fraire Estève Martellange
Dessin du frère Étienne Martellange
Drawing by the brother Etienne Martellange

610851186.jpg

Lien permanent Tags : dessin, martellange, palais des papes, xviie 11 commentaires Pin it!

Commentaires

  • perspective à l'assaut du ciel, et beaux noirs - mais aimé puisque de Martelange (ce n'est pas l'auteur de l'Oratoire ? je me trompe peut-être)

  • Grosso modo, un siècle plus tard
    ça prend forme et s'arrondit ...

    Quand la photo n'était pas là, le dessin plus précis et synthétique.

  • Troisième image... Remarquablement semblable à travers les siècles quand même, cette façade aujourd'hui à peine différente. Ca a quelque chose d'émouvant je trouve.

    Que restera-t-il dans quelques siècles de ce qui se construit aujourd'hui.

  • Concernant le frère Martellange, je me souviens d'avoir lu (mais ne retrouve pas la page) qu'il n'aurait jamais été ordonné prêtre et ne portait donc pas le titre de "père".
    Des précisions sur le site des jésuites :
    http://www.jesuites.com/histoire/architecture.htm

    et, surprise ! dans les liens de jésuites.com, celui intitulé "Une trace du passage des jésuites en Avignon" envoie vers le blog de Fardoise :
    http://www.jesuites.com/sites/jesuite.htm

  • Joseph Girard, dans "Évocation du vieil Avignon", dit qu'Étienne Martelange (avec un seul L) était un ancien frère jésuite devenu architecte.
    Michel Feuillas, dans "Histoire d'Avignon" (Edisud) cite "le père Martellange".
    Quant à Fernand Benoit, dans "Avignon au double visage", il écrit "le père Etienne Martelange"...

    Palsambleu ! Les jésuites sont toujours parmi nous !

  • On peut quand même leur faire confiance pour savoir quel titre portait Martellange ;-)

    Je n'ai pas retrouvé la page où j'ai lu que Martellange est resté "simple" frère toute sa vie.
    Par contre, j'ai retrouvé l'article (en deux parties) que Nicolaï consacre au frère Martellange et à ses travaux, c'est bien écrit et très complet :
    http://nicolai.over-blog.com/article-29317563.html

  • Frère et coadjuteur ne sont pas des termes incompatibles.
    "Dans le lang. de la Compagnie de Jésus : a) Coadjuteur temporel : Des frères, qu'on nomme avec solennité les coadjuteurs temporels, font le marché, la cuisine, le ménage..." :
    http://www.cnrtl.fr/definition/coadjuteur

    Le Littré précise "Dans l'ordre des jésuites, coadjuteur temporel, simple frère jésuite ; coadjuteur spirituel, jésuite qui fait en public les trois voeux de religion, mais qui ne fait pas le quatrième, qui est d'aller en mission où il plaira au pape. "

    L'article "coadjuteur " du Wiktionary ne fait que confirmer.

    Martellange était coadjuteur temporel
    "Le 29 mars 1603, il prononce ses vœux de coadjuteur temporel à Chambéry."
    (extrait de "Martellange, première partie" par Nicolaï)

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