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"Henri" Georges Charles Achille GIRARD, écrivain sous le nom de Georges ARNAUD, journaliste d'investigation et militant politique (1917-1987) est le fils de "Georges" Antoine Marie GIRARD (1891-1941).
Il a été acquitté du massacre en 1941 de sa famille, un triple homicide jamais élucidé, sa fille l'accuse aujourd'hui d'être l'assassin, déclenchant la colère du fils. Le livre de Catherine GIRARD "In violentia veritas" aux éditions Grasset est sorti le 20 août. Elle y écrit que son père, à qui elle demandait, adolescente, dans les années 1970, s'il était le meurtrier, lui répondit que oui.
" il épousa à Bouchet, Marie-Thérèse Fabre de Loye, fervente catholique et première bachelière du département de la Drôme. De cette union naquirent deux filles et trois garçons, Henri, René, Marthe, Marie et Antoine" dixit Wikipédia
Henri étant l'aîné des deux fils de Joseph Girard, pour moi René était son fils cadet.. non ?
Ah bon sang !!!
la photo de Réné Girard (dans le journal Le Soir) que j'ai mise en lien n'est pas celle du fils de Joseph Girard
c'est la faute à Gogol !
Aussi je me disais bien qu'à part la coiffure il ne ressemblait pas beaucoup à son père !
quelle idiote je suis :-(
Bon, j'ai trouvé (mais, chut ! je ne vais pas le clamer sur les toits)
La "médaille" n'en est pas une - les vraies, comme les décorations, se portent de côté sur la poitrine ou sur les revers de veston.
Je pense que bien plus prosaïquement, il s'agit d'une épingle de cravate. Un truc à peu prés autant tombé en désuétude que les fixe-chaussettes.
Commentaires
Salut
Impossible d'ouvrir ta photo ..! Merci
C'est réparé !
Avec mes excuses.
je vois la photo, mais suis bien incapable de répondre à la question
l'inventeur de la coiffure avec un aspirateur?
C'est bizarre, il me semble avoir déjà vu cette tête là quelque part, mais impossible de retrouver où :-/
Serait-ce une médaille d'un mérite quelconque que cet homme (politique, industriel, artiste) porte sur sa cravate ?..
Je ne sais pas ce que représente sa médaille, mais lui, il a fait l'objet de 6 publications sur ce blog ! ^_^
Ah ! mais c'est.. bien sûr :
JG
Joseph Girard ? Froid !
Une seule publication :
http://avignon.hautetfort.com/archive/2025/05/21/jouse-girard-6548844.html
Son fils cadet avait la même exubérance capillaire :
https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_606w/2025/08/24/node_694901/32700742/public/2025/08/24/47441455.jpeg?itok=YkjtzABT1756049454
"Henri" Georges Charles Achille GIRARD, écrivain sous le nom de Georges ARNAUD, journaliste d'investigation et militant politique (1917-1987) est le fils de "Georges" Antoine Marie GIRARD (1891-1941).
Il a été acquitté du massacre en 1941 de sa famille, un triple homicide jamais élucidé, sa fille l'accuse aujourd'hui d'être l'assassin, déclenchant la colère du fils. Le livre de Catherine GIRARD "In violentia veritas" aux éditions Grasset est sorti le 20 août. Elle y écrit que son père, à qui elle demandait, adolescente, dans les années 1970, s'il était le meurtrier, lui répondit que oui.
https://gw.geneanet.org/gntstararnaudgeorg?lang=fr&n=girard&p=henri+georges+charles+achille
https://www.bluewin.ch/fr/entertainment/leur-pere-est-il-coupable-le-mystere-dun-triple-meurtre-de-1941-dechire-un-frere-et-une-soeur-2838337.html
P.S. je n'ai rien trouvé sur le fils cadet de Joseph GIRARD : Pierre.
" il épousa à Bouchet, Marie-Thérèse Fabre de Loye, fervente catholique et première bachelière du département de la Drôme. De cette union naquirent deux filles et trois garçons, Henri, René, Marthe, Marie et Antoine" dixit Wikipédia
Henri étant l'aîné des deux fils de Joseph Girard, pour moi René était son fils cadet.. non ?
Ah bon sang !!!
la photo de Réné Girard (dans le journal Le Soir) que j'ai mise en lien n'est pas celle du fils de Joseph Girard
c'est la faute à Gogol !
Aussi je me disais bien qu'à part la coiffure il ne ressemblait pas beaucoup à son père !
quelle idiote je suis :-(
Bon, j'ai trouvé (mais, chut ! je ne vais pas le clamer sur les toits)
La "médaille" n'en est pas une - les vraies, comme les décorations, se portent de côté sur la poitrine ou sur les revers de veston.
Je pense que bien plus prosaïquement, il s'agit d'une épingle de cravate. Un truc à peu prés autant tombé en désuétude que les fixe-chaussettes.