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Lien permanent 23 commentaires Pin it!

Commentaires

  • dignes et avec la peau qu'il faut et les casquettes

  • Si c'est bien à-n-Avignon, le pylône me fait penser à la rue Notre Dame des 7 Douleurs...
    Sinon, j'ai un doute : la mention manuscrite ne fait que reproduire ce qui figure sur le cachet de la poste.

  • Le pylône de la rue Notre-Dame-des-7-Douleurs est le dernier. Il devait y en avoir beaucoup plus à l'époque.
    Personnellement, j'avais pensé à la rue Joseph-Vernet.

  • D'accord Michel, ce n'est pas le dernier pylône : un petit tour dans Street View m'en a convaincue ;-)
    Mais pour situer l'endroit, les pylônes présents sur cette photo sont un indice de taille (c'est le cas de le dire !).
    Deuxième indice :
    "Défense d"entrer - Alioth"

    Résultat de ma recherche :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_d'%C3%A9lectricit%C3%A9_Alioth
    "Dans la littérature technique de l'année 1889, il est spécifié que la maison R. Alioth et Cie était connue mondialement pour ses très nombreuses réalisations et ses réseaux industriels de force et de lumière en courant alternatif dès 1888.."

    Ainsi, il y a des chances que ce soit là le site de l'usine électrique du Clos des Trams,
    avec en arrière plan les "Bureaux" (mention inscrite au linteau de la porte).

    À vérifier...
    .

  • Oui, j'étais actuellement sur le constructeur (lyonnais) de moteurs et je pensais qu'il pouvait avoir une agence commerciale à-n-Avignon.
    Clos des Trams à creuser...

  • Bon courage pour trouver la marque de la voiture ! Surtout qu'a l époque il y avait un grand nombres de constructeurs.

  • Merci Florent.
    Oui, il est bien possible que les autos soient le résultat de la coordination de plusieurs constructeurs.

  • À propos de l'usine électrique du Clos des Trams, on peut lire ce qui suit dans la partie n°10 de cette page :
    https://www.expositions-archives.avignon.fr/epatant-patrimoine

    "Des logements dans l’ancienne usine électrique

    L’histoire de la production d’électricité à Avignon est directement liée à l’histoire du tramway. L’usine électrique de la route de Lyon, clos Saint-Véran, est construite en 1905, juste à côté de l’entrepôt des trams. Son rôle premier est effectivement de fournir une alimentation au réseau de tramway à « traction électrique par réseau aérien ». En 1911, 1,8 millions de voyages en trams sont comptabilisés sur le réseau.

    Cette double implantation (usine électrique et dépôt des trams) a durablement marqué la ville. Aujourd’hui, 80 ans après la fin de la circulation des anciens trams, on parle encore du « Clos des trams » pour désigner le quartier.

    L’usine électrique a été plusieurs fois restructurée pour s’adapter aux évolutions. En 2004-2005, le groupe Bouygues rachète les anciens locaux dans le cadre d’un projet immobilier : l’usine électrique est conservée et transformée en résidence privée."

    Je me demande si l'escalier menant à la porte où il est écrit "Défense d"entrer - Alioth" ne serait pas celui de l'entrée sud du bâtiment de l'ancienne usine électrique du Clos des Trams :
    http://avignon.hautetfort.com/archive/2010/02/09/lou-claus-di-tram-vendu-a-bouygues.html

  • Oui Michel, grand dommage que le beau bâtiment des Bureaux de l'usine électrique n'ait pas été conservé.

    Quant à la correspondance entre le bâtiment du "Clos des Trams" avant sa transformation en résidence, et celui de la photo "Alioth" des années antérieures à 1908, je suis persuadée qu'elle est pleine et entière.
    La disposition des pierres d'angles est identique :
    https://maps.app.goo.gl/nz5LEmSrDFVtxH186

  • En tout cas, Tilia, bravo et merci de nous avoir amenés au Clos des Trams !

  • La voiture est une Rochet Schneider avec une transmission à cardan produite en 1902.

  • Hola ! Magistral, cher Guima, mais je ne trouve hélas rien avant 1910 qui ressemble.

  • Moi non plus je n'ai rien trouvé qui corresponde a ce modele.

  • Tillia ,il ya une ressemblance generale surtout la 2ème mais de plus pres ca ne corresponds pas.

  • Beaucoup de voitures étaient livrées nues : roues chassis moteur et habillées par des carrossiers au début de l'automobile.

  • Ne sais pas si ça peut aider à l'identification de la voiture, mais les phares ont une disposition particulière, avec une lentille centrale maintenue par une étoile à trois branches. Ce sont des phares à acétylène "autogénérateurs" de marque Blériot - avant de construire des avions et d'en amener un à travers la Manche en 1909, Louis Blériot fabriquait des appareils de chauffage et éclairage, dont des accessoires pour automobiles incluant phares et avertisseurs.

  • J'ai essayé de travailler sur la plaque, elle semble correspondre à la numérologie active de 1928 à 1950 pour le département de la Seine, s'agirait-il d'une reconstitution?
    Entre 1901 et 1928 il n'y avait qu'une lettre par arrondissement géographique, exceptionnellement deux, à moins qu'à la fin du système on ait redoublé le V de l'arrondissement de Marseille.
    Cette voiture semble pourtant plus proche de 1900 que de 1928.
    De quand date l'usine électrique?

  • Pardon 1905...
    J'ai l'impression que l'on faisait n'importe quoi avec les immatriculations en ce temps là. ;-)

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