Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Carriero d'Avignoun 45000 Orléans

Rue d'Avignon 45000 Orléans
Avignon street 45000 Orléans
Avignon-Straße 45000 Orléans

1440621180.jpg
Merci Google !

Lien permanent 11 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Question qui me vient à l'esprit : combien de voies d’Avignon porte le nom d'une ville française ?
    Il me semble qu'il n'y en a pas dans l’intra-muros...

  • La voirie d'Avignon intra-muros est pratiquement figée depuis l'Ancien régime, et la quasi-totalité de la toponymie a été respectée.

    Les grands percements ou réalignements modernes, ainsi que quelques voies d'appellation "floue", ont reçu des noms de personnes entrées dans l'histoire contemporaine : Carnot, Ledru-Rollin, Raspail, Thiers, Kennedy, de Lattre et Leclerc... sans oublier quelques gloires locales telles Nicolas Saboly, Joseph Vernet, Guillaume Puy, Jean-Henri Fabre, les deux Mignard, ou encore (mais est-ce une gloire ?) Pourquery de Boisserin. On trouve également dans les quartiers récents quelques personnalités honorables, comme Buffon, Chateaubriand, Louis Pasteur ou Victor Hugo.

    J'en oublie sans doute beaucoup... mais il faut rappeler que le "grand" percement haussmannien a porté différentes appellations : cours Bonaparte, cours Pétrarque, cours Jean-Jaurés ... et rue de la République.

    Donc au final, en effet, il semble y avoir une mode qui est de n'utiliser rien que des noms de personnes, pas de noms à caractère géographique !

  • Ce n'est pas le cas dans l'extra-muros : entre l'avenue Monclar et le chemin de Lopy il y a plusieurs ville d'Algérie, et Tunis en prime.
    À l'opposé, Croix des Oiseaux, on a Metz et Verdun, ainsi que Strasbourg et Colmar (de part et d'autre de l'avenue de la Croix Rouge).

  • Je pense que les noms trahissent les dates de percement de ces voies. En tout cas, c'est assuré pour celles qui bordent l'avenue de la Croix Rouge : elles ont été ouvertes dans les années 1920 - confirmé par le témoignage de mon grand-père qui a édifié quelques maisons boulevard... de l'Armistice.

  • Par acquis de conscience, je viens de jeter un petit coup d'œil aux vues aériennes de 1926 : à cette date, entre la route de Marseille et le chemin de la Croix-Rouge, il n'y a que des champs. Tout juste si l'on distingue une petite activité constructrice côté carrefour - actuel Rent a Car ou à peu près. On voit aussi que la seule voie "propre" dans le quartier est le boulevard du Midi, dont la dénomination démontre qu'à l'époque de son baptême, il s'agissait dans l'esprit de ses constructeurs de l'extension la plus méridionale de l'urbanisme avignonnais !

    Quant à l'extrémité de Monclar, urbanisée bien plus tard, c'est la grande foire : les villes du Maghreb y côtoient des historiens ayant travaillé sur le passé avignonnais, et des musiciens qui n'ont qu'un lointain rapport avec la ville - il manque Franz Liszt qui donna pourtant ici deux concerts remarqués en 1845....

  • Merci Alain, pour ces précieuses précisions.

  • concernant les villes jumelées, il me semble que la ville ne les met pas vraiment à l'honneur par des panneaux aux entrées de ville par exemple
    quand on va à Arles, il y a toute une liste, idem à Nîmes, mais sauf erreur je n'en vois pas à Avignon

    pourtant, on adore mettre en avant des labels plus ou moins connus : ville fleurie, ville prudente, ville amie des enfants, ville active et sportive....
    voici toute la liste : https://www.avignon.fr/ma-ville/labels-et-reconnaissances/

  • Et rien avant 2019 ?          (^‿^)

  • Apprécions l'hommage des élus orléanais qui sont allés jusqu'à mettre les panneaux de Cécile!

Écrire un commentaire

Optionnel