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Parvis di Celestin

Parvis des Célestins
Celestins' forecourt
Vorhof das Celestins

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D'après une carte postale Maison Universelle "Nouvelles Galeries".
Photo Georges Estève (1890-1975).
Photo Patrice Molinard (1922-2002).
Photo MB 2012.

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Commentaires

  • je préfère la photo Estève - tu n't es pour rien mais c'est vraiment nettoyé comme un os de sèche maintenant

  • Ce qui nous remémore qu'à partir de la Révolution, l'occupation militaire condamna la rue Courte-Joie, privant la place des Corps Saints de son débouché du côté sud-ouest, qui n'était donc qu'un cul de sac.

    Ce n'est qu'en 1955 que fut percée l'avenue de Lattre de Tassigny, et le grand immeuble qui la borde au Nord sera élevé encore plus tard, soit au début des années 1960, par Fernand Pouillon (l'architecte du Vieux Port à Marseille) sur l'emplacement de masures pas très reluisantes.

  • Je suppose que sur la dernière photos ce sont des lampadaires modernes.
    On dirait des projecteurs. c'est pas génial surtout avec le container entre et là où c'est..

  • Projecteurs de théâtre, supports en forme de diapasons... il y a un petit clin d'œil à l'usage des lieux pour le Festival. Et, surtout, une idée sympathique, celle de projeter au sol la structure des piliers gothiques manquants de cette église inachevée. Malheureusement, il semble que les ampoules grillées n'aient jamais été remplacées...

  • Bonjour Claude, je suis tout-à-fait de ton avis !

  • L'emplacement du container à verre me semble effectivement déplorable.
    Quant aux diapasons, il me plaisent bien avec leur dynamique verticalité !

  • Il me semble qu'un peu de bon sens aurait dû prévaloir, dans une ville de patrimoine, avant d'installer un container face à un monument historique. Quelle belle photo d'ensemble rapporterons nos visiteurs de retour dans leurs pays respectifs. De surcroit je ne suis pas certain de l'efficacité du message de l'affiche vu la hauteur de son positionnement. C'est à s'interroger si quelqu'un a une vision d'ensemble.

  • Michel, ta publication d’aujourd’hui semble démontrer qu'à moins de se placer de biais, il n'est guère possible de faire une photo de l'ensemble de la façade des Célestins sans avoir ces "diapasons" au premier plan :-/
    Et ces projecteurs n'ayant aucune utilité en journée, les visiteurs qui souhaitent garder une image de cette église ne voit sûrement pas l'intérêt de ce dispositif ...

  • Je pense, Tilia, qu'avec un objectif de grand angle suffisant, on peut, en se plaçant dos aux diapasons, photographier toute la façade. Mais ce n'est pas mon cas.

  • C'est le propre de la modernitude, que de chercher à laisser à tout prix des traces de son passage... même si cette trace est fondée. Ceci étant, pour les Célestins, l'idée de départ était séduisante et la réalisation assez réussie. Reste à voir si un jour ou l'autre cela s'éclairera encore.

    Dans le même ordre d'idée, et à titre de contre-exemple, on peut garder à l'esprit le bâtiment de l'hôpital Sainte-Marthe. Sur 175 mètres de long, sa façade est parfaitement unifiée : elle est pourtant le fruit de quatre campagnes successives, qui s'échelonnent de 1638 à 1835, soit pratiquement deux siècles !

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